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N'OUBLIEZ PAS D'ALLER CONSULTER

LES CAS GAGNES

PAR NOS ANTENNES

DANS LA RUBRIQUE
"DOSSIERS GAGNES"


LE COUP DE GUEULE DU CONSOMMATEUR

Vous désirez  exprimer votre colère aprés une arnaque ou un litige qui pourrait intéresser l'ensemble des consommateurs

Envoyer votre message sur la messagerie : indecosacgt17@gmail.com, nous le mettrons dans notre rubrique "le coup de gueule du consommateur"

23 janvier 2018 2 23 /01 /janvier /2018 06:34

DIAGNOSTICS IMMOBILIERS :

DECRYPTER LES DIFFERENTS SIGLES

Date de publication : 22/01/2018 - Logement/immobilier

DIAGNOSTICS IMMOBILIERS : DECRYPTER LES DIFFERENTS SIGLES

DDT, DTG, DPE... Difficile de décrypter les différents sigles applicables aux diagnostics immobiliers demandés lors d'une vente ou d'une location. L'Institut national de la consommation vous aide à les décrypter.

 

1 - "CREP"

2 - "DDT"

3 - "DPE"

4 - "DPE" COLLECTIF

5 - "DTG"

6 - "ERNT"

 

Fiche pratique J 298 : https://www.inc-conso.fr/content/diagnostics-immobiliers-decrypter-les-differents-sigles

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR FICHE PRATIQUE LOGEMENT
20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 21:44

LE CHEQUE ENERGIE 

DANS VOS BOITES AUX LETTRES :

OUI MAIS QUAND ?

Publié le 16 janvier 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

LE CHEQUE ENERGIE   DANS VOS BOITES AUX LETTRES :  OUI MAIS QUAND ?

Si le chèque énergie remplace, depuis le 1er janvier 2018, les tarifs sociaux de gaz et d'électricité, ce n'est qu'à partir du 26 mars 2018 que les foyers bénéficiaires pourront l'obtenir. C'est en effet ce que vient de préciser le ministère de la Transition écologique et solidaire dans un communiqué du 5 janvier 2018.

Environ 4 millions de ménages seront éligibles à ce chèque dont le montant moyen devrait s'élever à 150 € (entre 48 € et 227 € en fonction du niveau de revenus et de la composition du ménage).

Pour les foyers concernés, il n'y aura aucune démarche particulière à effectuer pour le recevoir puisque le chèque énergie sera envoyé automatiquement par voie postale.

Une fois obtenu, il servira à régler directement auprès du fournisseur d'énergie toute sorte de dépenses d'énergie (gaz, électricité, fioul, bois...) sachant qu'il sera également possible avec certains fournisseurs d'utiliser ce type de chèque en ligne.

Ce chèque pourra également être utilisé pour financer des travaux d'efficacité énergétique (travaux répondant aux critères d'éligibilité du crédit d'impôt transition énergétique).

  À savoir :

Pour vérifier votre éligibilité et le montant auquel vous pouvez prétendre mais aussi pour utiliser votre chèque en ligne, déclarer la perte ou le vol de votre chèque ou tout simplement vous informer sur ce nouveau dispositif, vous pouvez consulter le nouveau site www.chequeenergie.gouv.fr proposé par le ministère de la Transition écologique et solidaire.

Et aussi

Chèque énergie (gaz, chaleur, électricité)

Crédit d’impôt pour la transition énergétique (Cite) 

Pour en savoir plus

Chèque énergie : des précisions sur le nouveau dispositif 

 

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR ENERGIE PRIX
18 janvier 2018 4 18 /01 /janvier /2018 12:33

LA "VENTE A LA BOULE DE NEIGE"

LA VENTE PYRAMIDALE

Date de publication : 17/01/2018 - Commerce/services

 

https://www.inc-conso.fr/sites/default/files/vente-pyramidale_2-252.png

Le terme de "vente à la boule de neige" n'est pas associé à une pratique hivernale ou à la vente de souvenirs décoratifs. Il s'agit d'un système pyramidal de vente avec donc une progression constante du nombre d'acheteurs recrutés par les acheteurs eux-mêmes provoquant un effet boule de neige, d'où ce nom de "vente à la boule de neige".

 

Cette fiche pratique vous explique comment reconnaître cette pratique commerciale interdite ainsi que tous les autres procédés de vente analogues. Elle vous informe sur vos droits et sur vos recours en cas de litige.

 

 

1- Qu'est-ce qu'une vente "à la boule de neige" ?

2- Une pratique interdite en toutes circonstances

3- Les autres procédés de vente pyramidaux prohibés

4- Les sanctions

5- Vos recours

 

Fiche pratique J 309 : https://www.inc-conso.fr/content/la-vente-la-boule-de-neige-la-vente-pyramidale

 

 

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16 janvier 2018 2 16 /01 /janvier /2018 20:40

VETEMENTS : LES 6 INDICATIONS

A BIEN REPERER SUR LES ETIQUETTES

VETEMENTS : LES 6 INDICATIONS A BIEN REPERER SUR LES ETIQUETTES

10/01/2018

 

Vous vous apprêtez à acheter un vêtement ? Prenez le temps de bien lire les étiquettes. Que ce soit la composition, l'entretien ou l'origine du produit, elles apportent des informations essentielles pour bien faire votre choix et conserver vos achats en bon état autant que possible. Tour d'horizon des 6 mentions à avoir à l'oeil, avec la direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF).

 

1. La composition

S'agit-il d'une mention obligatoire : Oui

La composition d'un vêtement doit obligatoirement être bien lisible et rédigée en français, pour l'ensemble des articles commercialisés en France. Elle doit être « fixée de manière définitive au produit, par exemple cousue », explique la direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF).
L'étiquette doit indiquer les fibres textiles utilisées, avec le pourcentage correspondant, dès lors qu'aucune des fibres n'atteint 85 % du poids total du vêtement. En-dessous de 10 %, les matières peuvent être mentionnées par un simple « autres fibres ». Si l'étiquette indique « 100 % ... », « pur ... » ou « tout ... », le vêtement doit être composé en totalité de la fibre en question.

Lire aussi : Soldes : consommateurs, quels sont vos droits ?

 

2. La taille

S'agit-il d'une mention obligatoire : Non

La taille peut varier nettement selon les pays et les fabricants, prévient la DGCCRF. De plus, elle est parfois indiquée sous forme de chiffres (38, 40, 42... voire 1, 2, 3...) ou de lettres (S, M, L...).  Des tables de conversion existent, mais elles sont surtout indicatives. Il vaut donc mieux essayer un produit avant de l'acheter, dans la mesure du possible.

Lire aussi : Alimentation : comment lire les étiquettes nutritionnelles ?

 

3. L'entretien

S'agit-il d'une mention obligatoire : Non

Les explications d'entretien des vêtements peuvent être indiquées en toutes lettres. Toutefois, elles prennent souvent la forme de pictogrammes, qui sont des marques déposées par le Groupement international d'étiquetage pour l'entretien des textiles (Ginetex). « Les traitements recommandés par les symboles doivent empêcher des dommages irréversibles qui pourraient être infligés aux articles textiles », estime l'organisation.

Les indications de lavage sont représentées par un bac (ou cuvier). Le nombre inscrit à l'intérieur indique la température maximale recommandée. Les éventuels traits sous le bac indiquent un essorage modéré (un trait) ou minimal (deux traits).

Le triangle correspond à l'utilisation de l'eau de Javel et autres produits de blanchiment.

Le carré indique les possibilités de séchage. Un trait vertical dans le carré correspond à un séchage sur fil. Un trait horizontal à un séchage à plat. Un rond dans le carré signifie que l'utilisation d'un sèche-linge est possible.

Le repassage est symbolisé par un fer à repasser. « Les niveaux de température maximale sont représentés par un (110°), deux (150°) ou trois (200°) points placés à l'intérieur », précise le Ginetex.

Enfin, le rond signifie qu'il faut recourir à un nettoyage professionnel. La lettre à l'intérieur du pictogramme correspond au type de produits. P pour nettoyage à sec au perchloréthylène et aux hydrocarbures, F pour nettoyage à sec aux hydrocarbures, W pour nettoyage à l'eau.

« Tout symbole barré signifie qu'il ne faut pas utiliser le procédé qu'il représente », ajoute la DGCCRF.

>> Pour en savoir plus sur les indications d'entretien : consulter la brochure du Ginetex [PDF - 600 Ko]

Lire aussi : Nutri-Score, l'étiquetage qui rend l'information nutritionnelle plus lisible

 

4. Le prix

S'agit-il d'une mention obligatoire : Oui

Le prix du vêtement doit être indiqué de manière visible, par étiquetage ou affichage, et toutes taxes comprises (TTC). « Vous devez être en mesure de connaître immédiatement son prix de vente, sans avoir à interroger un vendeur », rappelle la DGCCRF. En cas de réduction, comme lors des soldes, l'étiquette doit mentionner l'ancien prix barré et le nouveau. Toutefois, « une annonce globale, -25 % en caisse par exemple, suffit si le taux de réduction est identique pour tous les articles faisant l'objet de cette promotion ».

Lire aussi : [Vidéo] Qu’est-ce qu’un produit « made in France » ?

 

5. L'origine

S'agit-il d'une mention obligatoire : Non

L'indication de l'origine des vêtements n'est pas obligatoire en France. Par contre, une origine indiquée qui serait mensongère peut faire l'objet de sanctions, « au titre de la publicité mensongère ou de la tromperie sur la marchandise », met en garde la DGCCRF.

Lire aussi : Le commerce équitable, c'est quoi ?

 

6. L'état

S'agit-il d'une mention obligatoire : Oui

Un vêtement qui ne serait pas neuf mais d'occasion doit obligatoirement être signalé par un écriteau. Dans le cas des produits d'occasion, « l'indication de composition du textile n'est pas obligatoire », ajoute la DGCCRF.

Lire aussi : [Vidéo] Produits bio, quelles garanties pour les consommateurs ?

 

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR SECURITE
16 janvier 2018 2 16 /01 /janvier /2018 20:38

UN PROBLEME DE RESEAU TELEPHONIQUE,

INTERNET, POSTAL ?

ALERTEZ L’ARCEP !

UN PROBLEME DE RESEAU TELEPHONIQUE, INTERNET, POSTAL ? ALERTEZ L’ARCEP !

09/01/2018

 

Depuis fin 2017, l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep), met à disposition des particuliers ainsi que des entreprises et des collectivités, une plateforme en ligne qui permet de signaler les dysfonctionnements rencontrés avec les opérateurs/réseaux fixes, mobiles, internet et postaux. Explications.

 

L’Arcep est notamment chargée du contrôle de la qualité du service rendu par les opérateurs ou encore du déploiement des réseaux de téléphonie et d’internet sur tout le territoire. L'Arcep fixe également les objectifs de qualité du service universel de La Poste.

Faire un signalement à l’Arcep, un processus très simple

Grace à sa plateforme dédiée utilisable depuis octobre 2017, vous pouvez, en quelques minutes, alerter l’Arcep sur les dysfonctionnements éventuels que vous rencontrez avec les opérateurs fixes, mobiles, internet et postaux. Cette procédure de signalement se déroule en trois étapes :

Décrire qui je suis :

Tout d’abord il faut indiquer si vous êtes un particulier, un entreprise, ou une collectivité/un élus. Ces informations permettent à l’Arcep d’analyser au mieux votre situation pour ensuite vous apporter les conseils les plus adaptés à vos spécificités ;

Décrire mon problème :

Lors de cette seconde étape vous devez répondre à plusieurs propositions qui permettent d’expliquer le problème auquel vous faites face. Vous avez la possibilité d’ajouter des commentaires libres à la fin de cette étape  ;

Accéder aux conseils de l’Arcep :

Lors de cette dernière étape vous pouvez accéder aux fiches-conseils de l’Arcep et plus particulièrement à celles qui sont les plus pertinentes au regard de la description que vous avez faite de votre problème.

Lire aussi : Comment identifier la couverture mobile de sa région ? | Ondes électromagnétiques : vous pouvez faire mesurer votre exposition gratuitement

 

Signaler son problème à l’Arcep c’est participer à l’amélioration des services

Pour le particulier, l’entreprise ou la collectivité, alerter l’Arcep c’est tout d’abord la possibilité de bénéficier de conseils adaptés à sa situation. Mais c’est également un partage précieux d’expérience qui permet à l’État d’améliorer la régulation de ces marchés et d’inciter les opérateurs à améliorer leurs services et à développer leurs réseaux.

 

Attention, l’Arcep n’est pas chargée du règlement des litiges individuels entre utilisateurs et opérateurs. Pour obtenir des renseignements sur les aides dont vous pouvez bénéficier pour ce type de litige, vous pouvez notamment consulter le site de la DGCCRF.

Pour l’Arcep, ce recueil des alertes est essentiel puisqu’il permet de suivre en temps réel les difficultés rencontrées par les utilisateurs et d’identifier l’ampleur des dysfonctionnements. L’agence peut ainsi être plus efficace dans ses actions de régulation des opérateurs.

Lire aussi : Droits du consommateur : les démarches à suivre en cas de litige avec une entreprise | Assurance, banque, commerce... : plus de 150 modèles de lettres pour régler vos litiges

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR INTERNET LA POSTE
16 janvier 2018 2 16 /01 /janvier /2018 20:35

SECURITE DES CONSOMMATEURS :

RETRAIT ET RAPPEL DES PRODUITS

SECURITE DES CONSOMMATEURS : RETRAIT ET RAPPEL DES PRODUITS

12/01/2018

 

Jouets, vêtements, automobiles, produits alimentaires, etc..., de nombreux produits sont retirés régulièrement de la vente, après avoir été commercialisés, en raison des risques qu'ils peuvent présenter pour les consommateurs. Comment les produits sont rappelés? Comment s'effectue la surveillance des produits?

 

Retrait ou rappel des produits

Les produits de consommation, alimentaires ou non, qui présentent des risques pour la santé ou la sécurité des personnes peuvent faire l'objet d'un retrait ou d'un rappel.

Le retrait peut intervenir tant que le produit est disponible dans les magasins mais n'est pas encore vendu. Les professionnels les retirent des rayons ou des entrepôts.

Le rappel intervient pour les produits qui sont déjà sur le marché. Les particuliers doivent alors rapporter aux magasins les produits défectueux ou les détruire. Des campagnes d'information (presse, radio, etc) relaient ces mesures de rappel.

Retraits-rappels de produits de nutrition infantile Lactalis

Toutes les informations sur les retraits-rappels de produits de nutrition infantile fabriqués par Lactalis

Lire aussi : Soldes : consommateurs, quels sont vos droits ? | Se prémunir contre les faux avis de consommateurs sur internet

 

Le rôle de la DGCCRF dans le retrait ou le rappel des produits

La direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) qui relève du ministère de l'Économie et des Finances reçoit les signalements des produits dangereux de différentes sources :

par l'intermédiaire de ses services déconcentrés qui peuvent constater des problèmes de sécurité des produits, dans le cadre de leur mission de surveillance du marché ;

par le biais des consommateurs qui peuvent également alerter la DGCCRF en signalant des effets ou anomalies constatés sur certains produits ;

par les autorités de surveillance des autres États membres de l'Union européenne, en application de la réglementation européenne, par le biais du réseau d'alerte européen.

Le système d'alerte européen pour les produits dangereux non alimentaires facilite l'échange rapide d'informations entre les autorités nationales de 31 pays et la Commission européenne sur les produits dangereux trouvés sur le marché.

Comment signaler un produit présentant un risque de sécurité ?

Le consommateur ayant identifié un produit présentant un risque de sécurité doit contacter les services administratifs de son département. Il s'agit généralement de la direction départementale de la la protection des populations (DDPP) ou de la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP).

Le service saisi déclenchera alors une enquête : accéder au formulaire courrier sur le portail du ministère de l'Économie et des Finances

À noter : Depuis mars 2017, les professionnels de santé comme les usagers peuvent signaler aux autorités sanitaires  les effets indésirables constatés sur des produits de santé sur le site signalement-sante.gouv.fr.

En savoir plus : Signalement des produits | Sécurité des produits industriels et des services

Lire aussiComment acheter en ligne en toute sécurité | Aide et conseils gratuits aux consommateurs : les Centres européens des consommateurs en Europe

 

Consulter les avis de rappels de produits

Les avis de rappels de produits de la DGCCRF

Les alertes sanitaires du ministère des Solidarités et de la Santé

Les alertes sur les produits alimentaires du ministère de l'Agriculture

Lire aussi : Livraison : quels sont vos droits ? | Dépannage à domicile : comment repérer et éviter les abus ?

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR BERCY INFOS SECURITE
16 janvier 2018 2 16 /01 /janvier /2018 20:30

IMPOT SUR LE REVENU :

QU'ALLEZ-VOUS PAYER EN 2018 ?

IMPOT SUR LE REVENU : QU'ALLEZ-VOUS PAYER EN 2018 ?

10/01/2018

Le simulateur de calcul de l'impôt 2018 sur les revenus 2017 est disponible. Rendez-vous sur le site impots.gouv.fr pour déterminer si vous êtes ou non imposable et calculer le montant de votre impôt.

 

Comment calculer le montant de votre impôt 2018 ?

Le simulateur prend en compte l’ensemble de la législation applicable en 2018.

Le simulateur de calcul sur impots.gouv.fr

L'administration fiscale propose deux versions du simulateur.

Le modèle simplifié. Il s'adresse aux personnes qui :

  • déclarent des salaires, des pensions ou des retraites, des revenus fonciers, des gains de cessions de valeurs mobilières, de droits sociaux et de titres assimilés;
  • déduisent les charges les plus courantes (pensions alimentaires, frais de garde d'enfant, dons aux œuvres ...).

 

Le modèle complet (déclaration de base + complémentaire).

Il s'adresse à ceux qui déclarent, en plus des revenus et charges ci-dessus, des revenus d'activité commerciale, libérale, agricole, des investissements dans les DOM-COM, des déficits globaux...

> Accédez au simulateur de calcul sur impots.gouv.fr

Lire aussi : Impôt sur le revenu : déclarer en ligne | Impôt sur le revenu : payer en ligne | Première déclaration de revenus, mode d’emploi

 

Quelles nouveautés fiscales en 2018 ?

Le simulateur de calcul vous permet de savoir si vos revenus vous permettent de bénéficier de la baisse (puis de la suppression) par tiers d’ici 2020 de la taxe d'habitation de votre résidence principale. D'un simple clic, vous pourrez ensuite vous rendre directement sur le simulateur de la réforme de la taxe d'habitation.

En 2018, chaque paiement relatif à l'impôt sur le revenu supérieur à  1 000 euros doit obligatoirement être effectué par voie dématérialisée ;

Mise en place du prélèvement forfaitaire unique sur les revenus du capital (article 28 de la loi de finances pour 2018)

Dès cette année, un prélèvement forfaitaire simplifiera et allégera la fiscalité des revenus des capitaux mobiliers (intérêts, dividendes) et des plus-values mobilières, avec un taux unique à 30 %. Les contribuables les plus modestes pourront choisir d'être soumis au barème de l’impôt sur le revenu s'il est plus favorable. Les produits d'épargne populaire (livret A et livrets réglementés) resteront exonérés. Le régime actuel sera maintenu sur les contrats d'assurance-vie inférieurs à 150 000 €, ainsi que sur les PEA et PEA-PME.

Quel que soit le montant de votre impôt, vous pouvez adopter le prélèvement mensuel ou à l'échéance.

 

Le prélèvement à la source entrera en vigueur le 1er janvier 2019

À partir de mi-avril 2018, si vous déclarez vos revenus en ligne, votre taux de prélèvement à la source, ainsi que vos éventuels acomptes applicables à compter du 1er janvier 2019 seront présentés à la fin de votre déclaration. Si vous le souhaitez, vous pourrez alors accéder au service en ligne « Gérer mon prélèvement à la source » et choisir vos options facultatives pour adapter votre prélèvement à la source à compter du 1er janvier 2019.

Le site du prélèvement à la source

Lire aussi : Évaluez vos droits à des prestations sociales en quelques clics | Droits de succession : que devrez-vous payer sur votre part ?

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR IMPOTS
13 janvier 2018 6 13 /01 /janvier /2018 16:22

LIMITATION DE VITESSE,

TELEPHONE AU VOLANT... :

CE QUI VA CHANGER SUR LES ROUTES

Publié le 10 janvier 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

LIMITATION DE VITESSE,  TELEPHONE AU VOLANT... :  CE QUI VA CHANGER SUR LES ROUTES

Limitations de vitesse, mesures contre le téléphone ou l'alcool au volant, protection des deux roues motorisés, amélioration de la sécurité des piétons... Dans le cadre du Comité interministériel de la sécurité routière du 9 janvier 2018, un certain nombre de nouveautés ont été annoncées par le Premier ministre.

Voici une sélection de ces nouveautés dont la mise en place s'étale entre 2018 et 2021 :

Pour 2018

  • réduction de 90 km/h à 80km/h des vitesses maximales autorisées sur les routes à double sens sans séparateur central en dehors des routes à deux fois deux voies et des routes à trois voies - mise en place prévue juillet 2018 ;
  • lutte contre la conduite sous l'emprise de l'alcool en étendant notamment l'usage des éthylotests anti-démarrage (EAD) ;
  • possibilité pour les forces de l'ordre de suspendre temporairement les systèmes de localisation de leur contrôle d'alcoolémie et de stupéfiants ;
  • autorisation de l'allumage de jour des feux de brouillard pour les motocyclistes ;
  • possibilité de vidéo-verbalisation des infractions liées au non-respect des règles de priorité de passage accordées aux piétons ;
  • mise à disposition gratuitement pour tout acheteur de véhicule d'occasion d'un historique des réparations importantes sur le véhicule acheté ;
  • publication sur le site internet de la sécurité routière d'une carte présentant l'implantation des radars automatiques sur le territoire, le lien entre leur implantation et l'accidentalité.

Pour 2019

  • durcissement de l'interdiction de tenir en main son téléphone tout en conduisant en donnant la possibilité aux forces de l'ordre de retenir le permis de conduire d'une personne sanctionnée pour conduite avec usage de téléphone tenu en main dès lors que le conducteur commet en même temps une infraction menaçant la sécurité d'autrui ;
  • placement immédiat en fourrière du véhicule d'un conducteur commettant une infraction grave au code de la route (conduite sans permis, conduite après usage de stupéfiants...) ;
  • amélioration de la protection des piétons en augmentant notamment la visibilité des piétons par un meilleur aménagement des abords immédiats des passages piétons.

Et après

  • possibilité pour un conducteur en excès de vitesse de plus de 40 km/h qui fait l'objet d'une suspension de permis de continuer à conduire à condition d'être équipé d'un véhicule avec contrôleur électronique de vitesse.

Et aussi

Infractions routières

Pour en savoir plus

Comité interministériel de la sécurité routière du 9 janvier 2018 

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13 janvier 2018 6 13 /01 /janvier /2018 16:20

TAUX ZERO : QUOI DE NEUF EN 2018 ?

 

Publié le 10 janvier 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

TAUX ZERO : QUOI DE NEUF EN 2018 ?

Vous projetez d'acheter un logement ? Vous connaissez peut-être déjà le prêt à taux zéro (PTZ) mais connaissez-vous les conditions à remplir pour en bénéficier en 2018 ? Réponses avec Service-public.fr.

Le PTZ est un prêt aidé permettant d'acheter un logement dès lors que vous n'avez pas été propriétaire de votre résidence principale au cours des deux dernières années. Cet achat peut concerner tout aussi bien une acquisition dans le neuf ou dans l'ancien (avec travaux).

La fiche de Service-public.fr sur le prêt à taux zéro (PTZ) revient sur :

  • les conditions à remplir pour en bénéficier (notamment les conditions de ressources, le nombre de personnes devant occuper le logement, la commune de votre futur logement) ;
  • le type d'achat immobilier concerné (neuf ou ancien, le logement étant destiné à devenir la résidence principale) ;
  • les montants (montant maximum de l'opération immobilière et montant maximum du PTZ, établis en fonction du nombre de personnes devant occuper le logement et de la commune où se situe votre futur logement) ;
  • la durée de remboursement (qui dépend de vos revenus, de la composition du foyer et de la zone géographique où se situe le logement que vous voulez acheter) ;
  • les établissements de crédit proposant le PTZ (qui doivent avoir passé une convention avec l'État).

Et aussi

Loi de finances 2018 : quels effets pour les particuliers ?

Pour en savoir plus

PTZ : ce qui change pour les offres de prêts émises à partir du 1er janvier 2018 

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13 janvier 2018 6 13 /01 /janvier /2018 16:16

VOITURE ANCIENNE (DIESEL OU ESSENCE) : 

AVEZ-VOUS PENSE A LA PRIME

A LA CONVERSION POUR LA REMPLACER ?

 

Publié le 05 janvier 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

VOITURE ANCIENNE (DIESEL OU ESSENCE) :   AVEZ-VOUS PENSE A LA PRIME  A LA CONVERSION POUR LA REMPLACER ?

Vous avez une voiture diesel ou essence assez ancienne et vous souhaitez en changer ? Vous pouvez peut-être bénéficier d'une aide pour la mise au rebut de votre vieille voiture et l'achat d'un véhicule neuf ou d'occasion moins polluant !

Barèmes, démarches pour en bénéficier, questions fréquentes ou encore téléservice : vous trouverez toutes les informations nécessaires sur le dispositif de la prime à la conversion à partir du site proposé par le ministère de la Transition écologique et solidaire www.primealaconversion.gouv.fr .

Pour qui ?

Cette aide concerne les personnes qui souhaitent acheter un véhicule neuf ou d'occasion en échange de la mise à la casse d'un vieux véhicule (voiture ou camionnette dont le poids total autorisé en charge n'excède pas 3,5 tonnes) qui répond aux critères suivants :

  • véhicule au diesel immatriculé avant 2001 (pour les ménages imposables) ;
  • véhicule au diesel immatriculé avant 2006 (pour les ménages non imposables) ;
  • véhicule à essence immatriculé avant 1997 (ménages imposables ou non).

  À noter :

Dans ce cas, le vieux véhicule doit être mis au rebut dans un centre agrée de véhicules hors d'usage (VHU).

Quel montant ?

Le montant de la prime à la conversion varie en fonction du véhicule acheté et de la situation fiscale du foyer :

  • 1 000 € pour un foyer imposable en cas d'achat d'un véhicule électrique d'occasion ou un véhicule à essence ou au diesel Crit'air 1 ou 2, neuf ou d'occasion émettant moins de 130 grammes de CO2/km ;
  • 2 000 € pour un foyer non imposable en cas d'achat d'un véhicule électrique d'occasion ou un véhicule à essence ou au diesel Crit'air 1 ou 2, neuf ou d'occasion émettant moins de 130 grammes de CO2/km ;
  • 2 500 € sans condition de revenus pour l'achat d'un véhicule électrique neuf.

  À savoir :

En cas d'achat d'un deux-roues, trois-roues ou quadricyle électrique neuf, vous pouvez bénéficier d'une aide de 100 € si votre foyer est imposable ou 1 100 € s'il est non imposable.

Et peut-on cumuler cette aide avec le bonus écologique ?

Oui, il est toujours possible de cumuler cette aide aide avec le bonus écologique qui concerne par contre seulement l'achat de véhicules électriques neufs.

Textes de référence

Décret du 29 décembre 2017 relatif aux aides à l'acquisition ou à la location des véhicules peu polluants

Et aussi

Prime à la conversion pour remplacement d’un ancien véhicule (diesel ou essence)

Certificat qualité de l’air (Crit’Air)

Destruction des véhicules hors d’usage (VHU)

Pour en savoir plus

Prime à la conversion : une nouvelle aide accessible à tous 

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