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LES CAS GAGNES

PAR NOS ANTENNES

DANS LA RUBRIQUE
"DOSSIERS GAGNES"


LE COUP DE GUEULE DU CONSOMMATEUR

Vous désirez  exprimer votre colère aprés une arnaque ou un litige qui pourrait intéresser l'ensemble des consommateurs

Envoyer votre message sur la messagerie : indecosacgt17@gmail.com, nous le mettrons dans notre rubrique "le coup de gueule du consommateur"

26 décembre 2018 3 26 /12 /décembre /2018 16:16

TRAINS RETARDES OU ANNULES :

QUELS SONT VOS DROITS ?

 

par Bercy Infos, le 04/04/2018 – Consommation

https://www.economie.gouv.fr/files/styles/articles_vous_orienter/public/train550.jpg?itok=lTrtpped

Toute personne voyageant en train en France ou dans un autre pays de l'Union européenne (UE) dispose de droits, en cas de retards à l'arrivée, de correspondances manquées, de trains reportés ou annulés ... Les connaissez-vous ?

 

La responsabilité des entreprises ferroviaires en cas de retards, de correspondances manquées ou d’annulation est régie par le règlement CE n°1371/2007 du Parlement européen et du Conseil du 23 octobre 2007 sur les droits et obligations des entreprises ferroviaires.

Quel remboursement en cas de grève ?

Durant la grève nationale annoncée à partir du 3 avril 2018, la SNCF indique sur son site Internet que des remboursements sont possibles pour les voyageurs n'ayant pas pu prendre le train.

Les modalités de remboursement et d'échange dépendent du type de train sur lesquels vous aviez prévu de voyager (TGV, Ouigo, TER, TGVMax, TGV Lyria, Eurostar...)

En savoir plus sur le site de la SNCF

 

Quelle indemnisation pour un retard de train ?

Le voyageur qui subit un retard entre son lieu de départ et le lieu de destination indiqués sur le billet peut être indemnisé par l’entreprise ferroviaire.

Les indemnisations minimales sont les suivantes :

  • 25 % du prix du billet en cas de retard d’une durée comprise entre 60 et 119 minutes;
  • 50 % du prix du billet en cas de retard de 120 minutes ou plus.

Une indemnisation est également prévue pour les voyageurs qui détiennent une carte de transport ou un abonnement et sont confrontés à des retards ou à des annulations récurrents pendant sa durée de validité.

L’indemnisation relative au prix du billet doit être payée par l’entreprise ferroviaire dans le mois qui suit le dépôt de la demande d’indemnisation. L’indemnisation peut prendre la forme de bons et/ou d’autres services. Elle peut être payée en espèces à la demande du voyageur.

Un seuil minimal en-dessous duquel aucune indemnisation n’est payée peut être fixé par l’entreprise ferroviaire, sans qu’il ne dépasse 4€.

Lire aussi : Séjour à l'hôtel : comprendre vos droits en 5 questions

 

Comment faire la demande d'indemnisation auprès de la SNCF ?

Pour la SNCF, la demande d'indemnisation peut se faire via un formulaire en ligne ou par courrier à : Service G30 SNCF - CS 69150 - 14949 Caen Cedex 9.

Il est nécessaire d'indiquer : la référence de son dossier figurant sur le billet (référence à 6 lettres), la date du voyage, le numéro du train, ses nom et prénom, ses coordonnées postales. Il faut également joindre son billet, ainsi que le bulletin de retard original remis en gare à l'arrivée du train.

>> Retards et remboursements : Aide en ligne sur le site de la SNCF

À noter

Le voyageur n’a droit à aucune indemnisation :

  • s’il a été informé du retard avant d’acheter le billet ;
  • si le retard imputable à la poursuite du voyage à bord d’un autre train ou à un réacheminement reste inférieur à soixante minutes.

Lire aussi : Bagage perdu ou endommagé... La compagnie aérienne vous doit des comptes

 

Quelle assistance aux voyageurs en cas de retard de train ?

En cas de retard de trains à l’arrivée ou au départ, l’entreprise ferroviaire doit tenir les voyageurs informés de la situation, ainsi que des heures de départ et d’arrivée prévues, dès que celles-ci sont disponibles.

Si le retard est supérieur à soixante minutes, les voyageurs se voient offrir gratuitement, dans la mesure du possible :

  • des repas et des rafraîchissements ;
  • un hébergement, ainsi que le transport entre la gare et le lieu d’hébergement, si un séjour d’une ou de plusieurs nuits devient nécessaire ou qu’un séjour supplémentaire s’impose ;
  • si le train est bloqué sur la voie, le transport entre le lieu où se trouve le train et la gare, l’autre point de départ ou la destination finale du service.

Si le service ferroviaire ne peut plus se poursuivre, les entreprises ferroviaires mettent en place dès que possible d’autres services de transport pour les voyageurs.

À la demande du voyageur, le contrôleur du train certifie sur le billet que le service ferroviaire a été retardé, qu’il a fait manquer une correspondance ou qu’il a été annulé, selon le cas.

Lire aussi : Refus d’embarquement pour cause de surbooking : quels sont vos droits ?

 

Remboursement et réacheminement en cas de retard de train

Lorsqu’on peut s’attendre à ce qu’un train arrive avec plus de soixante minutes de retard, les voyageurs doivent se voir proposer :

  • le remboursement intégral du billet ainsi que, s’il y a lieu, un voyage de retour jusqu’au point de départ initial dans les meilleurs délais;
  • la poursuite du voyage ou un réacheminement vers la destination finale, dans des conditions de transport comparables, dans les meilleurs délais ou à une date ultérieure, à leur convenance.

Lire aussi : Tous les conseils pour des vacances d’été réussies

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR VOYAGE TRANSPORT
26 décembre 2018 3 26 /12 /décembre /2018 16:14

FRAIS D’AUTO-ÉCOLES :

QUELLE RÉGLEMENTATION ?

 

par Bercy Infos, le 24/09/2018 – Consommation

https://www.economie.gouv.fr/files/styles/articles_vous_orienter/public/002_consommation_auto-ecole.jpg?itok=JBwNAWET

Quelle réglementation s'applique aux auto-écoles ? Quelles obligations en termes de tarification ? Toutes les explications.

 

Les obligations réglementaires des auto-écoles

Les prestations

Les auto-écoles disposent d'une liberté pour fixer leurs tarifs. Néanmoins, elles sont soumises à une obligation d'affichage visible de leurs prix, affiché par prestation.

Le contenu des prestations doit être également détaillé, ainsi que sa durée dans le temps.

Le contrat

Toute inscription d'un candidat dans une auto-école donne lieu à la rédaction d'un contrat. Il doit faire figurer un certain nombre de mentions :

  • la raison ou dénomination sociale de l'établissement et toutes les informations de base le concernant (exploitant, police d'assurance...)
  • les informations du candidat (nom, adresse...)
  • l'objet du contrat
  • une évaluation préalable du niveau du candidat et le prévision d'heures de formation si nécessaire
  • le programme de la formation ;
  • les moyens pédagogiques et techniques à disposition du candidat
  • le mandat consenti à l'auto-école pour recevoir des informations ou faire des démarches auprès de l'administration au nom du candidat ainsi que la durée du mandat
  • les obligations des parties
  • les conditions de résiliation ou de rupture du contrat et les frais éventuels qui s'y rattachent
  • le tarif des prestations de formation et/ou de gestion administrative
  • les modalités de paiement (avec la précision de l'échelonnement du règlement)
  • l'existence ou l'absence de souscription par l'établissement à un dispositif de garantie financière

La délivrance d'une note

Pour toute somme supérieure à 25 €, l'auto-école est dans l'obligation de délivrer une note.

Ce qui ne peut pas faire l'objet de frais

Le transfert de dossier

Chaque candidat peut changer d’auto-école sans frais, quelle qu’en soit la raison, en cas de déménagement ou pour faire jouer la concurrence. Cette obligation ne s'applique pas dans le cas où des frais de rupture de contrat avaient été prévus dans le contrat initial.

La restitution du dossier

Les candidats doivent pouvoir obtenir une restitution gratuite de leur dossier sur simple demande.

L'examen

La présentation au permis de conduire ne peut faire l'objet d'aucuns frais complémentaires.

 

Textes réglementaires

Décret n° 2015-578 du 27 mai 2015 relatif aux conditions d'application de l'article L. 213-2 du code de la route

Article L213-2 du Code de la route

 

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR AUTOMOBILE
24 décembre 2018 1 24 /12 /décembre /2018 14:45

BAGAGE PERDU OU ENDOMMAGE...

LA COMPAGNIE AÉRIENNE

VOUS DOIT DES COMPTES

par Bercy Infos, le 17/12/2018 –

 

https://www.economie.gouv.fr/files/styles/articles_vous_orienter/public/bagages910.jpg?itok=QZC5nvgNPerdu, retardé ou endommagé... Votre bagage n'est pas à l'aéroport d'arrivée ? La compagnie aérienne est tenue de dédommager les passagers jusqu’à un certain plafond. Dans quelle mesure et comment ? Le détail de ce à quoi vous avez droit.

 

Retard de bagages : vos droits

Un bagage est considéré comme retardé lorsqu’il n’est pas présent à votre descente de l’avion mais qu’il vous est livré ultérieurement. Si pendant la période d’absence de votre bagage, vous avez dû acheter des produits de première nécessité (produits d’hygiène, sous-vêtements, etc.), vous pouvez en demander le remboursement à la compagnie aérienne sur présentation des factures.

Vous avez 21 jours à compter de la date de mise à disposition du bagage, pour vous plaindre par écrit au transporteur. A défaut de réclamation écrite dans ce délai, toute action contre la compagnie est irrecevable.

Si vous constatez que votre bagage n’est pas là à votre arrivée, signalez-le immédiatement au guichet de la compagnie qui a effectué le dernier vol afin qu’elle puisse enregistrer votre réclamation et le cas échéant lancer la recherche de votre bagage.

S’il n’y a pas de guichet, contactez le plus rapidement possible la compagnie aérienne pour signaler l’absence de votre bagage et obtenir un numéro de dossier. Si vous êtes en vacances, n’attendez pas d’être rentré chez vous.

Perte de bagages : vos droits

Si le transporteur admet la perte de vos bagages enregistrés ou si vos bagages ne sont pas arrivés à destination dans les 21 jours qui suivent la date à laquelle ils auraient dû arriver, ils sont considérés comme perdus. Vous êtes alors en droit de réclamer le remboursement de vos biens et de votre valise perdus.

Vous pourrez obtenir un dédommagement dans la limite d'un plafond de 1330 € environ. Sachez toutefois qu’en cas de perte des bagages, les compagnies aériennes ne remboursent pas les effets personnels perdus sur la base de leur valeur neuve mais appliquent souvent une décote.

Vous devez adresser une demande écrite à la compagnie aérienne en joignant les factures d’achat des biens perdus. Si vous ne disposez pas de justificatifs, un dédommagement au poids peut vous être proposé (environ 20 € par kg).

En cas d’absence de bagage, la compagnie peut parfois vous fournir un kit de première nécessité ou vous donner un avoir pour couvrir vos premières dépenses dues à l’absence de votre valise, mais ce n’est pas une obligation.

Dommages aux bagages : vos droits

Si vous constatez à la réception de votre bagage que celui-ci a été abîmé ou détruit pendant le transport, vous pouvez demander le remboursement du prix de votre valise et des biens détériorés au transporteur.

Vous devez pour cela écrire à la compagnie dans un délai de 7 jours suivant la réception de votre valise en fournissant un maximum d’éléments concernant les biens endommagés pendant le transport (photographies des biens endommagés, factures d’achat…).

Lire aussi : Refus d'embarquement pour cause de surbooking : quels sont vos droits ?

Bagages perdus ou endommagés : les indemnités dues par la compagnie aérienne

Les textes internationaux applicables en cas de détérioration ou de perte de bagages sont la convention de Varsovie [PDF - 37,34 Ko] et la convention de Montréal

La convention de Montréal [PDF - 29,88 Ko] s'applique :

  • à un vol entre 2 États qui l'ont ratifiée ;
  • à tous les vols des compagnies de l'Union européenne (quelle que soit leur destination).

La convention de Varsovie [PDF - 95,05 Ko] s'applique quelle que soit la nationalité de la compagnie :

  • à un vol entre 2 États qui n'ont pas ratifié la convention de Montréal ;
  • à un vol entre 2 États dont l'un seulement à ratifié la convention de Montréal.

Les plafonds de responsabilité sont fixés en unités de compte du Fonds monétaire international (FMI) dites DTS (Droits de Tirage Spéciaux) variant en fonction des fluctuations monétaires. Ils peuvent s'élever à :

  • 1000 DTS (environ 1 330 €) par passager pour la convention de Montréal ;
  • 17 DTS par kg de bagage, soit environ 20 € par kg, pour la convention de Varsovie.

Si votre préjudice est inférieur à ces plafonds, vous ne pourrez prétendre qu’au remboursement du montant de votre dommage.

Si le montant de votre dommage prouvé est supérieur au plafond de responsabilité, vous ne pourrez prétendre qu’à une indemnisation égale à ce plafond.

Lire aussi : Annulation d'un billet d'avion : quel remboursement pouvez-vous obtenir ?

Bagages perdus ou endommagés : Que faire en cas de litige ?

En cas de refus d’indemnisation par votre compagnie, vous pouvez déposer une réclamation en ligne auprès de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) ou saisir le Médiateur Tourisme Voyage (MTV) afin de trouver une solution amiable.

Si vos démarches amiables n'aboutissent pas, vous pouvez saisir la justice et demander des dommages et intérêts pour le préjudice subi (remplacements des objets, perte ou détérioration des bagages). La juridiction compétente dépend des sommes en jeu dans les litiges :

Tribunal d’instance (TI) pour un litige inférieur à 10 000 € ;

Tribunal de grande instance (TGI) pour un litige supérieur à 10 000 €;

Vous avez 2 ans pour engager un recours en responsabilité à l’encontre de la compagnie ou auprès des tribunaux.

Lire aussi : Séjour à l'hôtel : comprendre vos droits en 5 questions

 

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR VOYAGE
23 décembre 2018 7 23 /12 /décembre /2018 15:48

LA LANTERNE 1ER TRIMESTRE 2019

RETROUVER LE DERNIER NUMÉRO DU BULLETIN D'INFORMATION DE VOTRE ASSOCIATION INDECOSA CGT 17

https://fr.calameo.com/read/0054993063f83368543c5

 

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR VIE DE L'ASSOCIATION
19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 17:30

RÉSULTATS DES ÉLECTIONS

DES REPRÉSENTANTS

DES LOCATAIRES 2018

RESULTAT ELECTIONS DES LOCATAIRES 2018
BAILLEURS Dépts Inscrits Votants Nuls Exprimés AFOC CLCV CNL INDECOSA
Immobilières Atlantic Aménagement 17 - 33 - 79 - 85 - 86 15 819 2 295 309 1 986 313 521 634 518
pourcentage 15,76% 26,23% 31,92% 26,08%
nombre de siège   1 1 1
ELU INDECOSA CGT  Mme Dominique BEDIN
OPH ROCHEFORT Océan 17 2 396 452 47 405 247     158
pourcentage 60,99%     39,01%
nombre de siège 2     2
ELU INDECOSA CGT  Mme Marie Claude CREMOIS - M. Emmanuel BOUGY
OPH CDA DE LA ROCHELLE 17 6 442 1 325 35 1290 428   508 354
pourcentage 33,18%   39,38% 27,44%
nombre de siège 1   2 1
ELU INDECOSA CGT  M. Jean Dominique CANTIN
SOCIETE D'ECONOMIE MIXTE IMMOBILIERE DE SAINTONGE (SEMIS) 17 3 395 776 45 731 141 343   247
pourcentage 19,29% 46,92%   33,79%
nombre de siège   1   1
ELU INDECOSA CGT  Mme Marie José LARRALDE
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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR LOGEMENT VIE DE L'ASSOCIATION
18 décembre 2018 2 18 /12 /décembre /2018 06:57

DONS AUX ASSOCIATIONS :

QUELLES RÉDUCTIONS D’IMPÔT ?

 

le 07/09/2018 – par Bercy Infos -Réductions et crédits d’impôts

 

https://www.economie.gouv.fr/files/styles/articles_vous_orienter/public/Dons_association.jpg?itok=-0L1PvHHLes dons au profit des associations ouvrent droit à une réduction d'impôt sur le revenu de 66 % voire 75 % du montant versé, selon l’association choisie, dans la limite de 20 % du revenu imposable. Retour sur ce dispositif fiscal et sa prise en compte dans le cadre du prélèvement à la source.

 

Prélèvement à la source et réductions d'impôt

Le bénéfice de la réduction d'impôt pour dons à des associations acquis au titre de 2018 est maintenu. Dès le 15 janvier 2019, vous recevrez un acompte de 60% de la réduction d'impôt dont vous avez bénéficié l'année précédente (réduction payée en 2018 au titre des dépenses engagées en 2017).

Le solde vous sera versé à compter de juillet 2019, après la déclaration de revenus qui permettra de déclarer le montant des dépenses engagées au profit d'associations en 2018.

En savoir plus sur le site du prélèvement à la source

 Lire aussi : Prélèvement à la source : les réductions fiscales pour les dons sont maintenues

 

Quelles sont les associations concernées ?

Pour être éligibles à la réduction d’impôt, les dons doivent être désintéressés et ne comporter aucune contrepartie. Ils doivent être effectués au profit d’associations, de fondations, d’œuvres, de fonds de dotations ou d’organismes publics ou privés. Ils doivent être reconnus d'utilité publique ou d’intérêt général à but non lucratif. Le Code général des impôts précise dans son article 200 dans quels secteurs ils doivent œuvrer. Les domaines d'activité suivants sont principalement concernés :

  • philanthropique, cultuel, éducatif, scientifique, social, familial, humanitaire, sportif ou culturel ;
  • mise en valeur du patrimoine artistique ;
  • défense de l'environnement naturel ;
  • diffusion de la culture, de la langue, et des connaissances scientifiques françaises ;
  • présentation au public de spectacles ;
  • enseignement supérieur ou artistique public ou privé ;
  • financement d'une entreprise de presse, financement électoral...

Lire aussi : Tout savoir sur le crédit d'impôt services à la personne

 

Quels types de dons sont éligibles ?

Sont retenus par l'administration fiscale les types de dons suivants :

  • les sommes d'argent versées à une ou plusieurs associations ;
  • les dons en nature (dans ce cas, la valeur du don est déterminée lors de sa remise au bénéficiaire) ;
  • les revenus auxquels les particuliers décident de renoncer au profit des associations (par exemple, en cas de mise à disposition d'une association d'un local à titre gratuit) ;
  • les frais engagés par les bénévoles dans le cadre de leur activité associative et pour lesquels ils renoncent au remboursement.

 

Le don par SMS.

Le don par SMS permet aux associations d'élargir leur communauté de donateurs. Simple et immédiat, le donateur doit envoyer par SMS au numéro transmis par l'association concernée. Le montant du don est prélevé sur sa facture téléphonique et l'opérateur téléphonique reverse le montant collecté à l'association, sans transmettre l'identité du donateur.

 

Important

Pour bénéficier de la réduction d'impôt, l'association concernée doit vous remettre un reçu à titre de justificatif de don auprès de l'administration fiscale.

Lire aussi : Personnes âgées : quelles réductions d'impôt en établissement d'hébergement ?

 

Comment calculer votre réduction d'impôt pour dons à des associations ?

Dons à des organismes d'intérêt général ou reconnu d'utilité publique

Les dons ouvrent droit à une réduction d'impôt sur le revenu égale à 66 % du montant versé dans la limite de 20 % du revenu imposable. Un don de 50 € ouvre par exemple droit à une réduction d'impôt de 33 €, un don de 100 € à une réduction de 66 €, etc.

Dons à des organismes d'aide aux personnes en difficulté

La réduction d'impôt est de 75 % des versements retenus dans la limite de 536 €*. La fraction au-delà de 536 € ouvre droit à une réduction d'impôt de 66 % dans la limite de 20 % du revenu imposable.

Lorsque le montant des dons excède la limite de 20 % du revenu imposable, l’excédent est reporté sur les 5 années suivantes et ouvre droit à la réduction d’impôt dans les mêmes conditions, sauf cas particuliers.

(*) Seuil pour les dons effectués en 2018.

 

Comment obtenir votre réduction d'impôt pour dons à des associations ?

Dons à des organismes d'intérêt général ou reconnu d'utilité publique

Chaque année, au moment de votre déclaration annuelle de revenu, vous devez indiquer dans la case 7 UF de la déclaration n°2042 - RICI le montant des versements que vous leur avez effectués.

Dons à des organismes d'aide aux personnes en difficulté

Chaque année, au moment de votre déclaration annuelle de revenu, vous devez déclarer dans la case 7 UD de la déclaration n°2042 - RICI le montant des sommes que vous leur avez versées.

Lire aussi : Particuliers : les réductions et crédits d'impôt auxquels vous pouvez prétendre

 

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR IMPOTS
15 décembre 2018 6 15 /12 /décembre /2018 11:50

COMMUNIQUE DE PRESSE DES ASSOCIATIONS DE LOCATAIRES

LOGEMENT : LE PRESIDENT MACRON N’EN A PAS DIT UN MOT.

COMMUNIQUE DE PRESSE DES ASSOCIATIONS DE LOCATAIRES

Il est passé à côté : La principale dépense des ménages et celle qui a le plus augmenté ces dernières décennies c’est le logement ! Et il n’en a rien dit…

 

Le logement cher asphyxie progressivement le budget d’une grande part des ménages, locataires ou accédants à la propriété, et même celui des propriétaires à part entière qui souvent doivent financer le logement de leurs enfants...

 

Le quart des ménages les moins riches, locataires du privé ou accédants à la propriété, consacre en moyenne plus de 40% de ses revenus pour se loger. Le 2e quartile consacre plus de 30%. Jamais nous n’avons payé aussi cher pour nous loger.

 

Les fins de mois sont difficiles, voire angoissantes pour les habitants des quartiers dégradés, des secteurs périurbains ou des quartiers HLM, à la merci de la moindre hausse des dépenses contraintes, tels le loyer, traites, charges, énergie, transports, carburant, soins, maladie, baisse de revenu, séparation. Alors le cauchemar de l’expulsion se dessine…

 

La question du logement cher devrait être en première ligne des débats publics, c’est ce qui préoccupe de nombreux gilets jaunes et manifestants.

 

Les choix du gouvernement et les politiques d’urbanisme alimentent la hausse des taux d’efforts des locataires et des accédants, la spéculation immobilière, la cherté des loyers, et nourrissent la grande précarité du logement et son cortège tragique : expulsions, sans abris, effondrements d’immeubles à Marseille, insalubrité…

 

La loi ELAN, la ponction de 3,5 milliards sur les APL, la marchandisation du logement social ou l’ubérisation des locataires du privé en sont quelques exemples.

 

Pourtant en 2017 le logement cher a rapporté à l’état 32,5 milliards net et a enrichi les milieux immobilier, intermédiaires, promoteurs, banques, rentiers …

 

La colère qui s’exprime aujourd’hui ne pourra être calmée durablement par quelques mesures cosmétiques. Il faut réduire les coûts du logement pour les ménages et mettre en œuvre le droit

  • un logement stable, décent, durable et accessible pour toutes et tous.

 

A cette fin nous demandons :

 

    • L’encadrement des loyers à la baisse et la hausse des APL, afin que le logement ne dépasse pas un cinquième des revenus de chacun-es (taux d’effort net à 20%), pour redonner du pouvoir d’achat ;

 

    • L’apurement massif de la dette des accédants en difficulté, par les banques ;

 

    • La taxation des profits spéculatifs immobiliers et fonciers pour stopper la spéculation et l’arrêt des baisses d’impôts pour les riches investisseurs immobiliers;

 

    • Le renforcement du droit au maintien dans les lieux des locataires, l’arrêt des expulsions et le respect de la loi DALO ;

 

    • La réalisation massive de vrais logements sociaux financés par l’état (aides à la pierre) ;

 

    • Zéro SDF : le vrai relogement des sans abris et la réquisition des logement vacants…

 

AFOC, CGL, CLCV, CSF, DAL, Indecosa-CGT

 

13/12/2018

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15 décembre 2018 6 15 /12 /décembre /2018 11:46

AFFAIRE DU VALSARTAN :

TOUT SAUF UN HASARD !

 

AFFAIRE DU VALSARTAN : TOUT SAUF UN HASARD !

Montreuil, le 14 décembre 2018.

Une nouvelle fois le VALSARTAN qui est un médicament utilisé pour stabiliser la tension artérielle, afin de prévenir la survenue ou la récidive d’AVC ou d’infarctus du myocarde, fait parler de lui. L’agence nationale de sécurité des médicaments vient encore de demander le rappel de boites issues de différentes marques.

 

Dès le mois de juillet une alerte avait été déclenchée sur la présence d’un produit potentiellement cancérogène dans la molécule de ce médicament.

 

Les entreprises incriminées ont un point commun c’est l’exploitation de ce médicament sous sa forme générique. Pour réduire les coûts de production il est fabriqué par des sous-traitants en Inde et en Chine et souvent les firmes pharmaceutiques ne font qu’apposer leurs marques sur les packagings.

 

Le tout générique voulu par les pouvoirs publics se fait une nouvelle fois sur des considérants purement économiques et cela au détriment des patients.

 

Pire encore dans le cas du VALSARTAN cela entraîne par ricochet d’autres conséquences. Contrairement à certains médicaments il est indispensable et sa rupture d’approvisionnement peut être très problématique à terme.

 

Même si en attendant de trouver d’autres moyens de substitution on indique aux patients de ne pas arrêter leur traitement on se pose forcément la question du contrôle réel que subissent certains médicaments en particuliers les génériques qui souvent produits biens loin de nos frontière. Est-on en train d’instaurer insidieusement une politique du risque acceptable pour faire des économies à tout prix et permettre aux laboratoires de faire des bénéfices de notre sécurité.

 

Pour INDECOSA-CGT cette situation est inacceptable sachant que le VALSARTAN est produit depuis 2012 sous sa forme générique. Il est impératif que le gouvernement et les autorités sanitaires fassent toute la lumière et que soit diligentée une commission d’enquête parlementaire. Il faut également sécuriser au maximum les médicaments indispensables à notre pharmacopée en maintenant une production contrôlée en France.

 

Pour INDECOSA-CGT

 

Arnaud Faucon

 

Secrétaire national

 

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11 décembre 2018 2 11 /12 /décembre /2018 06:16

TESTAMENT QUELLES SONT

LES RÈGLES A RESPECTER ?

 

le 19/10/2018 –

https://www.economie.gouv.fr/files/styles/articles_vous_orienter/public/testament.jpg?itok=nxlX0R11En quoi consiste un testament ? Qui peut rédiger un testament ? La présence d'un notaire est-elle obligatoire ? Découvrez les réponses à toutes vos questions.

 

Le testament, qu'est-ce que c'est ?

Le testament est un document écrit dans lequel une personne peut désigner les bénéficiaires de ses biens et leur répartition.

Lire aussi : Testament, héritage, donation, indivision... Tout savoir sur le sujet succession

 

Qui peut rédiger un testament ?

Le testament est un document individuel qui ne peut être rédigé que sous les conditions suivantes :

  • être sain d’esprit
  • avoir la capacité juridique de disposer de ses biens

Lire aussi : Comment faire une donation ?

 

Le testament doit-il être rédigé devant un notaire ?

Le testament peut être rédigé par une personne seule (testateur) sans faire appel à un notaire. Il s’agira alors d’un testament olographe. S’il est réalisé par un notaire devant deux témoins ou un deuxième notaire, il s’agira d’un testament authentique. Il existe un dernier cas, le testament mystique, remis dans une enveloppe fermée à un notaire en présence de témoins ou de deux notaires et qui a pour particularité d’être tenu secret jusqu’au décès de la personne l’ayant rédigé.

Lire aussi : Succession : l'indivision, c'est quoi ?

 

Devez-vous faire enregistrer votre testament par un notaire ?

Non, vous n'avez aucune obligation de faire enregistrer votre testament. Vous pouvez néanmoins décider de le faire.

Testament enregistré par un notaire

Si vous souhaitez passer par un notaire, vous pouvez lui confier votre testament et il s'assurera de sa conservation ou le fera enregistrer au fichier central des dispositions de dernières volontés (FCDDV).

Testament enregistré par vos soins

Vous pouvez faire vous-même enregistrer votre testament auprès du fichier central des dispositions de dernières volontés (FCDDV), afin de lui donner une date certaine. Vous devrez alors payer un droit fixe de 125 €.

Testament non enregistré

Votre testament est valable même s’il n’est pas enregistré. Mais dans ce cas, il faut que vous ayez informé vos proches de son existence et le lieu où il se trouve.

Comment savoir si un testament existe ?

Vous avez perdu un proche ? Souhaitez savoir si un testament existe ? Vous disposez de l'acte de décès du défunt ? Pour 18 €, vous pouvez interroger le fichier central des dispositions de dernières volontés (FCDDV).

Interroger le fichier central des dispositions de dernières volontés (FCDDV)

Lire aussi : Succession : l'indivision, c'est quoi ?

 

Quelles sont les obligations à respecter dans un testament ?

Si vous disposez d’héritiers réservataires (descendants ou conjoint), vous devez respecter la part de réserve héréditaire au moment de la rédaction de votre testament. (La réserve héréditaire constitue la fraction de la succession dont le défunt ne peut priver certains héritiers, dits héritiers réservataires.)

Vous pourrez donc léguer à d’autres personnes ou entités la part restante, appelée quotité disponible.

Il est également possible de léguer une partie de ses biens à des associations lorsque celles-ci sont habilitées.

La succession en l’absence de testament 

Lorsque le défunt n’a pas rédigé de testament, c’est la loi qui désigne les héritiers des droits de succession. Il s’agit alors d’une dévolution légale. Les héritiers sont désignés dans l’ordre suivant et en fonction de leur degré de parenté avec le défunt :

Les enfants et leurs descendants (aucune distinction ne doit être faite entre les enfants, que leurs parents soient mariés ou non).

Les parents, les frères et sœurs et les descendants de ces derniers.

Les ascendants autres que les parents.

Les collatéraux autres que les frères et sœurs et les descendants de ces derniers.

Lire aussi : Droits de succession : que devrez-vous payer sur votre part ? | Succession : à quels frais de notaire vous attendre ?

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11 décembre 2018 2 11 /12 /décembre /2018 06:12

COMMENT SE PREMUNIR

CONTRE LE PHISHING ?

10/12/2018

https://www.economie.gouv.fr/files/styles/articles_vous_orienter/public/Phishing_0.jpg?itok=POBGKgNwUsagers du web, vos données sont précieuses et les pirates le savent. C’est pourquoi ils redoublent d’imagination pour tenter de vous les soutirer. L’un de ces moyens est le phishing. Qu’est-ce que c’est et comment s’en prémunir ? Comment signaler facilement une tentative d’hameçonnage ?

 

 

Qu’est-ce que le phishing ou hameçonnage ou filoutage ?

Selon l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI), « le phishing ou hameçonnage vise à obtenir du destinataire d’un courriel d’apparence légitime qu’il transmette ses coordonnées bancaires ou ses identifiants de connexion à des services financiers, afin de lui dérober de l’argent».

Il s’agit de l’un des principaux vecteurs de la cybercriminalité. Ce type d’attaques peut être également utilisé dans des attaques plus ciblées pour essayer d’obtenir d’un employé ses identifiants d’accès aux réseaux professionnels auxquels il peut avoir accès.

Pour renforcer le sentiment de légitimité, le courriel frauduleux n’hésitera pas à utiliser logos et chartes graphiques des administrations ou entreprises les plus connues. Le contenu du message repose en général sur deux stratégies :

  • soit il vous est reproché de ne toujours pas avoir réglé une certaine somme d’argent (factures, impôts, électricité...) et on vous enjoint à le faire sous peine de pénalités de retard voire de saisine de la justice ;
  • soit on vous signale une erreur d’ordre financier en votre faveur (impôts, banque...) et on vous invite à suivre des indications pour vous faire rembourser.

D’autres méthodes existent (fax en attente, cadeaux...). Restez vigilant !

Lire aussi : Sécurité sur le web : découvrez le site web cybermalveillance.gouv.fr

 

Comment vous protéger contre le phishing ?

Si un courriel vous semble douteux, ne cliquez pas sur les pièces jointes ou sur les liens qu’il contient ! Connectez-vous en saisissant l’adresse officielle dans la barre d’adresses de votre navigateur.

Si vous réglez un achat en ligne et que vous devez donc fournir des informations relatives à votre carte bancaire, vérifiez que vous le faites sur un site web sécurisé dont l’adresse commence par  « https ».

Ne communiquez jamais d'informations confidentielles par mail. Aucun site web fiable ne vous le redemandera !

Vérifiez que votre antivirus est à jour pour maximiser sa protection contre les programmes malveillants.

Utilisez le filtre contre le filoutage du navigateur internet : la plupart des navigateurs existants proposent une fonctionnalité d’avertissement contre le filoutage. Leurs principes peuvent être différents (liste noire, liste blanche, mot clé, etc.) ces fonctions aident à maintenir votre vigilance.

Utilisez un logiciel de filtre anti-pourriel ou les fonctionnalités de classement automatique en tant que spam de votre boite de réception : même si ces filtrages ne sont pas exhaustifs, ils permettent de réduire le nombre de ces courriels.

Lire aussi : Dix règles à respecter pour être (presque) sûr de vous faire pirater votre ordinateur

 

Signalez l’abus d’utilisation d’informations personnelles aux autorités compétentes

Si vous pensez avoir été victime d’une escroquerie ou d’une tentative d’escroquerie par phishing signalez-le sur signal-spam.fr

Signal Spam résulte d’un partenariat public-privé. Il donne la possibilité aux internautes de signaler tout ce qu’ils considèrent être un spam dans leur messagerie afin de l’assigner ensuite à l’autorité publique ou au professionnel qui saura agir pour lutter contre le spam signalé.

La Hack Academy

La campagne de prévention Hack Academy présente, avec humour, les cyber-risques auxquels s’exposent quotidiennement les internautes. Une initiative d’intérêt public soutenue par l’ Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI) et le ministère de l’Intérieur.

Selon l'ANSSI, « la campagne nationale de sensibilisation anti-hacking est destinée à mieux alerter sur les risques de la vie numérique. Une action qui s’inscrit dans la mission de l’association – mieux comprendre comment le monde numérique transforme notre vie et nos entreprises – et répond à une problématique sociétale majeure. Veiller sur ses données sensibles, c’est aussi contribuer à enrayer les menaces affectant la cybersécurité nationale ».

Lire aussi : Sécurité de vos données : les 7 méthodes de piratage les plus courantes

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