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LES CAS GAGNES

PAR NOS ANTENNES

DANS LA RUBRIQUE
"DOSSIERS GAGNES"


LE COUP DE GUEULE DU CONSOMMATEUR

Vous désirez  exprimer votre colère aprés une arnaque ou un litige qui pourrait intéresser l'ensemble des consommateurs

Envoyer votre message sur la messagerie : indecosacgt17@gmail.com, nous le mettrons dans notre rubrique "le coup de gueule du consommateur"

30 avril 2020 4 30 /04 /avril /2020 21:05

DECONFINEMENT :

 DEPLACEMENTS ET OFFRE

DE TRANSPORTS LIMITES

DECONFINEMENT : DEPLACEMENTS ET OFFRE DE TRANSPORTS LIMITES

Publié le 30 avril 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

Illustration 1

Quelles seront les interdictions de déplacement après le déconfinement ?

Quelles mesures barrières seront mises en place dans les transports publics ?

Le Premier ministre, Edouard Philippe, a présenté, mardi 28 avril à l'Assemblée nationale, le plan de déconfinement progressif à partir du 11 mai 2020 si les indicateurs épidémiologiques sont favorables. Les modalités du déconfinement dans les domaines clés de la vie des Français et notamment les mesures qui concernent les déplacements et les transports publics ont été définies.

Déplacements sans attestation limités à 100 km du domicile

A partir du 11 mai 2020, les attestations de déplacement dérogatoire ne seront plus nécessaires pour les trajets de proximité.

Les déplacements à plus de 100 km de son domicile ne seront possibles que pour un motif professionnel ou familial impérieux.

Transports collectifs

Afin d'éviter une recrudescence de l'épidémie de coronavirus, le port du masque sera obligatoire dans tous les transports en commun. De plus, le maintien de la distanciation physique devra également être respecté dans les transports publics.

Afin de limiter les flux et de rendre possible la distanciation sociale en particulier aux heures de pointe, l'offre de transport urbain va être augmentée à partir du 11 mai. Sur les réseaux de la RATP, 70 % du trafic sera disponible contre 30 % aujourd'hui.

Les usagers sont invités à limiter leurs déplacements au strict nécessaire. Pour faire baisser la demande, le télétravail et l'étalement des horaires seront favorisés.

Une réservation sera obligatoire dans tous les trains, TGV ou autre train.

Dans les taxis ou VTC, le port du masque sera obligatoire si le véhicule ne dispose pas de protection en Plexiglas.

Les transports scolaires seront remis en service. Le port du masque sera obligatoire pour les chauffeurs et les collégiens. Seul un siège sur deux sera pourvu.

Et aussi

Épidémie Coronavirus (Covid-19) : ce qu’il faut savoir

Plan de déconfinement progressif à partir du 11 mai 2020

Déconfinement : réouverture progressive des crèches, écoles et collèges

Pour en savoir plus

Déclaration du Premier ministre sur la stratégie nationale du plan de déconfinement à l'Assemblée nationale 

 

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30 avril 2020 4 30 /04 /avril /2020 16:47

FICHE CONSEIL – CONFINEMENT

L’EAU DU ROBINET

ON PEUT CONTINUER A LA BOIRE

EN TOUTE SÉRÉNITÉ

30 Avril 2020 N°32

FICHE CONSEIL – CONFINEMENT  L’EAU DU ROBINET  ON PEUT CONTINUER A LA BOIRE  EN TOUTE SÉRÉNITÉ

Si nous avons retrouvé des traces du Covid-19 dans le réseau d’eau non potable de la ville de Paris, il ne faut surtout pas céder à la panique.

 

En effet, l’eau du robinet, propre à la consommation est un des produits alimentaires les plus surveillés. Depuis la source jusqu'au domicile, elle est régulièrement contrôlée. Pour connaître la qualité de l’eau de son réseau, il suffit de contacter sa mairie qui publie régulièrement des informations sur la qualité de l’eau.

 

Consommez-la sans hésiter, de plus ce geste limite votre empreinte environnementale. Il faut savoir que les boissons en bouteille ou en canette nécessitent beaucoup d’emballages et leur transport est plus polluant. Le contenant plastique des bouteilles c’est une moyenne de 10 kg par an et par personne dans nos poubelles.

 

Quant à l’aspect financier, il n’y a pas photo. L’eau du robinet est, en effet, de 100 à 200 fois moins chère que celle en bouteilles.

 

 

 

Pendant le confinement des personnes ont fait état d’une odeur plus forte en chlore par endroits : Est-ce lié au coronavirus ?

 

 

Non pas directement, la présence de chlore est tout à fait normale, c’est un désinfectant qui permet de maintenir la qualité de l’eau pendant la distribution.

 

En période de confinement l’utilisation de l’eau peut être plus importante et plus fréquente dans les zones d’habitation. Cela provoque un renouvellement plus soutenu dans certaines canalisations, et qui explique que l’apport d’eau en provenance des usines de production d’eau potable est plus fraichement chloré.

 

  • l’inverse dans les zones où l’activité industrielle et tertiaire est plus intense en temps normal, le ralentissement provoque moins de circulation de l’eau dans les canalisations. À ce moment-là on procède à une réévaluation et un ajustement du taux de chlore.

 

Petites astuces pour se débarrasser de l’odeur de chlore : après avoir rempli d’eau une carafe, laissez l’eau s’aérer. Le chlore va progressivement s’échapper dans l’air. Vous pouvez aussi accélérer le processus en plaçant la carafe au réfrigérateur ou en ajoutant un morceau de charbon végétal.

 

 

 

Arnaud FAUCON

secrétaire national

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29 avril 2020 3 29 /04 /avril /2020 17:23

BILLET D’HUMEUR DU JOUR D’INDECOSA-CGT

GRANDE DISTRIBUTION ET CONFINEMENT BIENVENU AU ROYAUME DE PINOCCHIO

29 Avril 2020 N°31

BILLET D’HUMEUR DU JOUR D’INDECOSA-CGT  GRANDE DISTRIBUTION ET CONFINEMENT BIENVENU AU ROYAUME DE PINOCCHIO

A l’heure du confinement les directions des hypermarchés sont plutôt discrètes. En ce moment elles font pourtant l’objet de nombreuses accusations notamment de faire du profit en augmentant les prix sur de nombreux produits frais comme les fruits et légumes. L’argument massue c’est que désormais nous mangeons Français et c’est pour cela que c’est plus cher !

 

Par contre nous  ne disposons pas informations  claires sur  les contreparties d’un  éventuel

 

  • gentleman agreement » entre certains représentants de la FCD (Fédération du Commerce et de la Distribution), et la FNSEA (Fédération Nationale des Syndicats d’Exploitants Agricoles) pour garantir un approvisionnement continu en matières premières agricole le temps du confinement.

 

Le plus important pour nos chers distributeurs c’est de maintenir une marge confortable sur chaque produit de l’ordre de 20 à 25 %. Quant aux autres français, ils doivent se serrer la ceinture pour garantir la survie de la maison France.

 

Bien sûr cela ne peut se faire que sous le haut patronage du Président et de son gouvernement. Le retour en grâce du productivisme vaut bien une balade sur les terres des gros céréaliers de notre pays au grand dam de l’agriculture biologique. À ce rythme-là va-t-on assister à la réhabilitation du glyphosate (molécule utilisée dans des herbicides) pour 2021 ?

 

De leur côté la plupart des associations caritatives font grises mines déplorant le manque de générosité ambiante des géants de la distribution. Les frigos des banques alimentaires sont quasi vides et bientôt ce sera l’estomac des ayants droits !

 

Il faut dire que de nombreux « gentils » directeurs des hypers on fait les choses biens afin de répondre fidèlement à l’appel du Président de la République qui s’est présenté lors de sa première allocution comme le « Clemenceau » des temps modernes.

 

Pour mettre à bien cette Économie de « guerre » on a bouleversé les horaires de travail. La mise en rayon commence à 3 ou 4 heures du matin pour s’arrêter vers 9 heures pour ne pas croiser les clients. Pour les hôtesses de caisse ce sont les mesures barrières avec vitres plexiglas et visières de protection. Pour les personnels des rayons frais comme la boucherie ou la poissonnerie se sont des gants obligatoires et des masques et des marquages au sol pour assurer la distanciation d’un mètre. Par contre pas de primes liées aux risques encourus, une amplitude d’ouverture des magasins élargis. Du volontariat fortement conseillé par les responsables des ressources humaines.

 

Pour les critiques sur la vente de textile, la grande distribution se contente de dire qu’elle écoule les stocks. Bizarrement les entreprises du textile au Bangladesh qui fournissent en grande partie nos hypers ont réussi à obtenir du gouvernement une reprise anticipée de la production. C’est surement pour faire des masques ?

 

Petit regret tout de même les magasins sont moins fréquentés et pourtant les hypers avaient l’espoir de se faire « dévaliser ». Les enfants n’allaient plus à la cantine, les cafés, les hôtels et restaurants étaient fermés, c’était le jackpot assuré. Les clients roulent moins, on privilégie les circuits courts et certains commerces de proximité. On relance le fait maison avec des produits simples. Dont acte dès la fin du confinement on va beaucoup communiquer sur la consommation de produits locaux et de qualité tout en gardant nos « business model ». En attendant la baisse de fréquentation physique va être compensée largement par les commandes en lignes et le Driving.

 

En résumé vous l’avez compris la grande distribution ne tire aucun profit de la crise du coronavirus. Pendant ce temps le consommateur doit payer individuellement pour sa sécurité au quotidien 5 euros pour un masque lavable 10 fois et produit en majorité à l’autre bout de la planète. À raison de 4 masques réutilisables par jour cela représente un coût individuel de 20 euros pour 10 jours sans compter les frais liés à l’entretien. Selon Mediapart, le prix de revient d’un masque FFP2 qui a une filtration supérieure de 20 % à celui vendu chez le buraliste revient à 0,09 centimes d’euros par lot de 2000 masques à l’importateur Chinois.

 

 

Arnaud FAUCON

secrétaire national

 

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28 avril 2020 2 28 /04 /avril /2020 17:21

FICHE CONSEIL – CONFINEMENT

MONOPOLE DE L’ÉTAT POUR L’ACHAT

DE CINQ MEDICAMENTS

ATTENTION A L’EFFET PLACEBO !

28 Avril 2020 N°30

FICHE CONSEIL – CONFINEMENT MONOPOLE DE L’ETAT POUR L’ACHAT  DE CINQ MEDICAMENTS ATTENTION A L’EFFET PLACEBO ! 28 Avril 2020 N°30

Les hôpitaux avaient jusqu’à vendredi dernier, pour commander 5 molécules nécessaires aux soins de réanimation. L’État a désormais le monopole des achats et assure la distribution selon une note délivrée par le Ministère des Solidarités et de la Santé. L’épidémie de Covid-19 entraîne des tensions d’approvisionnement très importantes. Les ruptures de stocks concernent des médicaments utilisés par les anesthésistes-réanimateurs pour réaliser des anesthésies générales, locales ou péridurales (dont celles pour accoucher), sans omettre le traitement de la douleur, notamment lors de soins d’urgence.

 

C’est le cas pour deux hypnotiques (midazolam, propofol) et trois curares (atracurium, cisatracurium, rocuronium). Depuis lundi, l’État achète ses médicaments et approvisionne les établissements selon le nombre de patients hospitalisés dans un service de réanimation et du stock de médicaments disponible.

 

Cette situation de rupture de stock des médicaments notamment d’anesthésie-réanimation n’est pas nouvelle et dure depuis plusieurs années même si le phénomène « s’intensifie » avec la pandémie de Covid-19.

 

IL faut savoir que 30 à 40 % des personnes soignées pour le Covid-19 admises en réanimation y perdraient la vie en France. C’est le résultat d’une étude menée par le Réseau REVA : Réseau Européen de Recherche en Ventilation Artificielle.

 

Celle-ci a été menée en accompagnant 1 000 patients entrés en réanimation avant le 28 mars et suivis jusqu’au 25 avril. Or, le 17 avril dernier, le gouvernement avait annoncé une mortalité trois ou quatre fois moins élevée, s’établissant à 10 %.

 

La décision des laboratoires de cesser la fabrication est une résultante importante de la situation. Or, il n’y a aucun moyen de contraindre un laboratoire à la production et à la commercialisation d’un produit. Même si des solutions de remplacement ont été provisoirement trouvées avec le monopole d’achat de l’État, elles ne pourront régler à long terme ce problème.

 

Plus que jamais nous devons réfléchir à un pôle public du médicament avec une production nationale de médicaments essentiels (liste OMS) déconnectés de la logique de marché.

 

 

 

Arnaud FAUCON

secrétaire national

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28 avril 2020 2 28 /04 /avril /2020 16:58

MIEUX COMPRENDRE L'EUROPE -

ÉPISODE 3 : LES RESSOURCES ET LE CONTEXTE

MIEUX COMPRENDRE L'EUROPE - EPISODE 3 : LES RESSOURCES ET LE CONTEXTE
MIEUX COMPRENDRE L'EUROPE - EPISODE 3 : LES RESSOURCES ET LE CONTEXTE
MIEUX COMPRENDRE L'EUROPE - EPISODE 3 : LES RESSOURCES ET LE CONTEXTE
MIEUX COMPRENDRE L'EUROPE - EPISODE 3 : LES RESSOURCES ET LE CONTEXTE
MIEUX COMPRENDRE L'EUROPE - EPISODE 3 : LES RESSOURCES ET LE CONTEXTE
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27 avril 2020 1 27 /04 /avril /2020 17:11

FICHE CONSEIL – CONFINEMENT

RENDRE VISITE A SES PROCHES EN EHPAD

27 Avril 2020 N°29

FICHE CONSEIL – CONFINEMENT  RENDRE VISITE A SES PROCHES EN EHPAD

Rendre visite à ses proches en Ehpad

 

Cet assouplissement des règles de confinement était très attendu par les familles et les seniors. En effet, beaucoup de pensionnaires de maisons de retraite vivaient assez mal l’isolement forcé. Depuis lundi dernier il est donc possible de faire des visites dans des établissements pour personnes âgées et à ceux qui accueillent des personnes en situation de handicap. Ces visites doivent se faire à la demande du résident, dans des conditions très précises.

 

Quelles démarches entreprendre ?

 

Dans un premier temps, il faut impérativement prendre rendez-vous par téléphone.

 

Au vu des circonstances liées aux contraintes sanitaires en vigueur, les visites journalières seront limitées en priorité aux résidents présentant des signes de dépression ou encore atteints de dénutrition. Il faudra plusieurs semaines pour que la majorité des résidents en Ehpad puisse avoir la visite de leurs proches.

 

Pour se rendre au rendez-vous les visiteurs doivent fournir leur pièce d’identité et leur attestation dérogatoire indiquant le motif familial impérieux. Ce motif n’implique pas de restriction en termes de distance ni de durée.

 

Un protocole fourni par les pouvoirs publics détermine le déroulement des visites. Elles sont de 30 minutes à 1 heure et limitées à deux personnes majeures. Une prise de température peut être effectuée et les visiteurs doivent signer une déclaration sur l’honneur attestant ne pas avoir pris de traitement contre la fièvre et l’absence de symptômes du covid-19.

 

Dans la mesure du possible, il est préconisé de faire les rencontres à l’extérieur comme par exemple dans le jardin de l’Ehpad. Si la personne visitée ne peut pas se déplacer, il peut être envisagé une visite dans son espace privatif.

 

Les gestes barrières et une distanciation de 1 ou 3 mètres sont à appliquer scrupuleusement et les embrassades et contacts physiques sont interdits. Les visiteurs doivent être équipés de masques, voire de surblouses et de surchaussures. Il faut prévoir entre 20 et 30 minutes entre chaque visite, pour procéder à la désinfection des lieux.

 

Ce dispositif va être maintenu un certain temps et pour le moment il n’y a pas de précision sur la limite de durée.

 

 

 

 

Arnaud FAUCON

 

secrétaire national

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24 avril 2020 5 24 /04 /avril /2020 17:53

FICHE CONSEIL – CONFINEMENT

REMBOURSEMENT DE VOS BILLETS

DE TRANSPORT DANS LE CONTEXTE

DE CRISE SANITAIRE :

ATTENTION AUX EXCEPTIONS !

 

 

24 Avril 2020 N°28

FICHE CONSEIL – CONFINEMENT  REMBOURSEMENT DE VOS BILLETS DE TRANSPORT DANS LE CONTEXTE DE CRISE SANITAIRE : ATTENTION AUX EXCEPTIONS !

Les billets de train, de ferryboat ou d’avion achetés seuls ne sont pas concernés par l’ordonnance du 25 mars 2020, qui définit les nouvelles règles de remboursement pour le séjour annulé entre le 1er mars et le 15 septembre 2020.

 

Pour rappel dans cette période particulière, le consommateur comme le professionnel peut être

 

  • l’initiative de l’annulation. Le voyageur sera remboursé en argent ou bénéficiera d’un avoir sans pénalités.

 

Pour les vols secs c’est plus compliqué. En effet pour que le billet d’avion soit couvert par l’ordonnance, il faut qu’il fasse partie intégrante d’un forfait. On peut citer l’exemple d’un vol et d’un hébergement pris par l’intermédiaire d’une agence de voyages. Si vous avez composé votre voyage tout seul, en réservant votre vol sur un site internet et un hébergement sur un autre site, ce n’est pas considéré comme un forfait.

 

Dans ces conditions mieux vaut ne pas prendre l’initiative d’annuler le vol, vous risquez de perdre toutes possibilités de recours.

 

Attendez plutôt que ce soit la compagnie aérienne qui annule. En pareil cas elle devra rembourser en argent dans un délai de sept jours.

 

Les compagnies aériennes n’ont pas le droit d’imposer directement des bons d’achat, cela doit rester optionnel.

 

Le souci du bon d’achat pour des vols longs et moyen-courriers c’est qu’il n’y a aucune garantie financière. Si la compagnie est en graves difficultés financières vous risquez à terme de perde votre argent.

 

Si la compagnie tente d’imposer le bon d’achat, vous pouvez vous rapprocher de l’association de consommateurs INDECOSA-CGT pour mettre la pression. Vous pouvez également menacer d’interpeller la « Direction générale de l’aviation civile ». En général les compagnies n’aiment pas trop ce genre de publicité auprès d’un service officiel comme celui-ci.

 

 

Arnaud FAUCON

secrétaire national

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24 avril 2020 5 24 /04 /avril /2020 13:10
LETTRE AU MINISTERE DE L'ECONOMIE ET DES FINANCES

LETTRE AU MINISTÈRE DE L'ECONOMIE

ET DES FINANCES

LETTRE AU MINISTERE DE L'ECONOMIE ET DES FINANCES
LETTRE AU MINISTERE DE L'ECONOMIE ET DES FINANCES
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24 avril 2020 5 24 /04 /avril /2020 09:57

COMMERCES : PEUT-ON VOUS REFUSER

UN PAIEMENT EN ESPECES

PAR CRAINTE DU VIRUS ?

COMMERCES : PEUT-ON VOUS REFUSER UN PAIEMENT EN ESPECES PAR CRAINTE DU VIRUS ?

Publié le 23 avril 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

 

Vous avez été confronté à un refus de paiement en argent liquide chez un commerçant qui invoquait le risque de contagion par la manipulation des pièces et des billets ? Cela est illégal, et aussi discriminant comme le rappelle le Défenseur des droits. Le paiement sans contact reste un moyen pour payer en toute sécurité. Il sera bientôt possible de payer sans contact pour un montant allant jusqu'à 50 €.

Ce n'est pas permis

Le paiement en espèces est le seul moyen de paiement que le commerçant est dans l'obligation d'accepter. S'il refuse, il est passible d'une amende de 150 € (2e classe). Par ailleurs, cette attitude pourrait être qualifiée de « refus de vente » qui est une pratique interdite par le Code de la consommation.

Toutefois, le refus est possible dans certains cas. Par exemple :

  • le nombre de pièces utilisées par le consommateur pour payer est supérieur à 50 € ;
  • le commerçant n'a pas assez de pièces pour rendre la monnaie. C'est le consommateur qui doit faire l'appoint ;
  • la pièce ou le billet est trop abîmé et pourrait être rejeté par la Banque de France ;
  • la pièce ou le billet est suspecté d'être faux ;
  • il s'agit d'une pièce ou d'un billet retiré de la circulation ;
  • la pièce ou le billet est une devise étrangère ;
  • pour des raisons d'ordre public ou techniques : par mesure de sécurité pour des commerçants en horaires de nuit, par mesure de protection contre des actes de vandalisme envers les horodateurs.

  Rappel : Le paiement en espèces est limité par des seuils fixés par la loi (par exemple : 1 000 € pour un particulier au bénéfice d'un professionnel, 300 € pour le paiement des impôts).

C'est aussi discriminant

Le Défenseur des droits rappelle que refuser le paiement en espèces représente une discrimination qui a pour effet de priver de nombreuses personnes de l'accès aux produits de première nécessité : « les majeurs protégés » (régime de tutelle, de curatelle, ou de sauvegarde de justice), les personnes en situation de vulnérabilité économique comme certaines personnes âgées, les personnes percevant les minima sociaux, les personnes sans abri, ou encore les mineurs non accompagnés et les demandeurs d'asile ne disposant pas de cartes de paiement.

Les personnes qui rencontreraient ce problème peuvent le signaler auprès du Défenseur des droits ou de la Direction départementale de la protection des populations .

  À noter : Le Défenseur des droits souligne que le refus de paiement en espèces dans les commerces ne fait pas partie des mesures restrictives relatives à la lutte contre la propagation du virus Covid-19 prévues par la loi relative à l'état d'urgence sanitaire et les ordonnances d'application.

Et le paiement sans contact ?

Le paiement sans contact par carte bancaire permet de procéder au paiement sans taper son code confidentiel et évite ainsi de manipuler le terminal. Il peut représenter une précaution supplémentaire dans le contexte de l'épidémie de Covid-19.

Sur recommandation de l'Autorité bancaire européenne, le plafond d'un paiement sans contact actuellement fixé à 30 € sera relevé à 50 € à partir du 11 mai 2020, sans qu'il soit nécessaire de renouveler sa carte.

Et aussi

Paiement en espèces

Une aide exceptionnelle de solidarité pour les foyers les plus modestes

Un numéro national d’appel pour les étudiants en situation d’urgence

Pour en savoir plus

Le Défenseur des droits rappelle que le paiement en espèces ne peut être refusé et s'inquiète de la fermeture de nombreux bureaux de poste sur le territoire 

Défenseur des droits

Coronavirus (Covid-19) : un commerçant peut-il refuser un paiement en espèces, en invoquant le risque de contagion ? 

Institut national de la consommation (INC)

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24 avril 2020 5 24 /04 /avril /2020 09:54

RECEVOIR UNE LETTRE RECOMMANDÉE

PENDANT LE CONFINEMENT :

 COMMENT ÇA SE PASSE ?

RECEVOIR UNE LETTRE RECOMMANDEE PENDANT LE CONFINEMENT : COMMENT ÇA SE PASSE ?

Publié le 20 avril 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

 

Vous attendez une lettre recommandée mais comment allez-vous la réceptionner ?

 Sachez que des dispositions ont été prises pour que le facteur vous remette votre courrier recommandé en toute sécurité. De plus, la Poste allonge exceptionnellement le délai de garde des lettres recommandées de 15 jours ouvrés après la date de fin de l'état d'urgence sanitaire. Cette dérogation a été autorisée par un arrêté paru au Journal officiel le 16 avril 2020.

Comment se passe la réception ?

Après s'être assuré oralement de votre présence, le facteur remet le pli dans votre boîte aux lettres. Il établit ensuite la preuve de distribution qui doit comporter notamment :

  • les nom et prénom du destinataire ;
  • une attestation sur l'honneur de remise du pli (émise par lui-même) ;
  • la date et l'heure de distribution ;
  • le numéro d'identification de l'envoi ;
  • la mention « procédure spéciale Covid-19 ».

Si la remise du pli ne peut pas se faire dans la boîte aux lettres, l'envoi est déposé près de votre porte d'entrée.

Et si je ne suis pas là ?

Si vous êtes absent, le facteur doit vous informer du lieu où la lettre est mise en instance.

Les envois mis en instance depuis le 20 mars 2020 seront conservés pendant quinze jours ouvrables après la fin de l'état d'urgence sanitaire, fixée à ce jour au 24 mai 2020.

Au moment du retrait de votre lettre, l'employé de la Poste consigne sur la preuve de distribution les informations suivantes :

  • vos nom et prénom ou, le cas échéant, ceux de la personne qui vous représente ;
  • la pièce justifiant votre identité ;
  • la date de distribution ;
  • la date de présentation de l'envoi.

L'employé signe cette preuve à l'aide d'un code spécifique à votre place (ou à celle de la personne qui vous représente). Il ne peut pas exiger votre signature sur quelque support que ce soit.

Sauf réclamation faite par tout moyen (notamment par voie électronique), au plus tard à midi le 2e jour ouvrable suivant la remise de l'envoi, la livraison est considérée conforme.

Si l'expéditeur l'a demandé, la Poste peut établir un avis de réception attestant de la distribution de l'envoi. Cet avis est retourné à l'expéditeur avec les informations suivantes :

  • la date de distribution ou bien la date de présentation si l'envoi a fait l'objet d'une mise en instance ;
  • le numéro d'identification de l'envoi ;
  • l'identification du bureau de Poste ayant effectué la distribution s'il est différent de celui auprès duquel l'envoi a été déposé.

À noter : Avant de se déplacer pour retirer la lettre recommandée, il est conseillé de vérifier son statut . En effet certaines lettres ont pu être retournées à leurs expéditeurs si le délai de garde a expiré avant la date d'entrée en vigueur de l'arrêté (17 avril 2020).

Textes de référence

Arrêté du 15 avril 2020 modifiant l'arrêté du 7 février 2007 modifié pris en application de l'article R. 2-1 du code des postes et des communications électroniques et fixant les modalités relatives au dépôt et à la distribution des envois postaux

Et aussi

Confinement : comment contacter les services publics ?

Pour en savoir plus

La Poste - Courrier et colis 

La Poste

Informations liées au virus Covid-19 

La Poste

 

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