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LES CAS GAGNES

PAR NOS ANTENNES

DANS LA RUBRIQUE
"DOSSIERS GAGNES"


LE COUP DE GUEULE DU CONSOMMATEUR

Vous désirez  exprimer votre colère aprés une arnaque ou un litige qui pourrait intéresser l'ensemble des consommateurs

Envoyer votre message sur la messagerie : indecosacgt17@gmail.com, nous le mettrons dans notre rubrique "le coup de gueule du consommateur"

10 décembre 2022 6 10 /12 /décembre /2022 13:28

SUBSTANCES DANGEREUSES :

LE RECUL SCANDALEUX DE L’EUROPE

SUBSTANCES DANGEREUSES :  LE RECUL SCANDALEUX DE L’EUROPE
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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATION CONSOMMATEUR DECHETS ECOLOGIE
19 novembre 2022 6 19 /11 /novembre /2022 10:58

UNE SEMAINE POUR TOUT SAVOIR

SUR LA RÉDUCTION

DES DÉCHETS

UNE SEMAINE POUR TOUT SAVOIR SUR LA REDUCTION  DES DECHETS
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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATION CONSOMMATEUR DECHETS ECOLOGIE
16 septembre 2022 5 16 /09 /septembre /2022 09:45

TOUS LES MÉNAGES DEVRONT POUVOIR TRIER

LEURS DÉCHETS ALIMENTAIRES

A PARTIR DU 1ER JANVIER 2024

TOUS LES MÉNAGES DEVRONT POUVOIR TRIER LEURS DÉCHETS ALIMENTAIRES A PARTIR DU 1ER JANVIER 2024
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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATION CONSOMMATEUR DECHETS ECOLOGIE
30 septembre 2019 1 30 /09 /septembre /2019 17:51

LES TAXES SE METTENT AU VERT

LES TAXES SE METTENT AU VERT

Taxes sur les carburants, sur les énergies fossiles, et bientôt sur les billets d’avion… L’État touche au porte-monnaie des consommateurs pour orienter leurs comportements… et renforcer son budget. Les taxes peuvent avoir de réelles vertus écologiques. Mais faut-il pour autant tout miser sur elles ?

 

Au commencement était la taxe ! Le mouvement social des gilets jaunes a eu comme déclencheur la progression des taxes sur les carburants à la pompe. A l’automne 2018, dans un contexte de flambée des cours du pétrole, s’annonçait une nouvelle hausse de la taxe carbone (principal élément chimique des gaz à effet de serre, responsables du réchauffement climatique) et pour peser sur le comportement des automobilistes. C’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. On connaît la suite : les gilets jaunes ont tué dans l’œuf cette hausse de la taxe carbone (pour 2019 au moins) et poussé le gouvernement à prendre des mesures en faveur du pouvoir d’achat.

Dans l’histoire politique, c’est une nouvelle manifestation de l’extrême sensibilité populaire aux hausses de prix liés aux impôts. Loin d’être anecdotique, le montant de la taxe et le type de produits et services sur lesquels elle s’applique – « assiette »- sont au cœur des révoltés, à toutes les époques et dans tous les pays.

 

« VERDIR » L’ÉCONOMIE

En raison du réchauffement climatique, le XXIème siècle s’annonce comme celui de la transition écologique et de la « fiscalité environnementale ». Cette dernière représente aujourd’hui en France 5% des prélèvements obligatoires, loin des 10% recommandés par la Commission européenne pour « verdir » l’économie en profondeur.

Pourtant, le montant des taxes environnementales est déjà significatif. En 2016, elles ont rapporté 51 milliards d’euros, dont 28,5 pour la seule taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE), prélevée sur le fioul, le gaz naturel, l’essence et le diesel, selon le ministère de la Transition écologique.

Plus de 8 milliards d’euros sont aussi prélevés chaque année sur les factures d’électricité, via la contribution au service public de l’électricité (CSPE). Les sociétés d’autoroutes ou encore les industries polluantes doivent aussi s’acquitter de prélèvements spécifiques.

En 2020, une nouvelle taxe environnementale va voir le jour, dans le secteur aérien : tout voyageur décollant de France métropolitaine devra payer entre 1,50€ et 18€ par vol, selon la classe et la destination choisies.

 

L’URGENCE ÉCOLO À TOUTES LES SAUCES

Problème : les taxes abondent d’abord le budget général de l’Etat et peuvent donc financer, en théorie, aussi bien des écoles que la baisse de l’impôt sur la fortune. Le gouvernement a beau promettre d’allouer les 180 millions d’euros de l’écotaxe aérienne de l’Agence de financement des infrastructures de transport (AFITF), qui soutient des projets de tramways ou de lignes de bus à haute fréquence, les associations écologistes y voient surtout une stratégie de communication. Elles réclament plus de transparence dans l’utilisation des taxes environnementales, dont la majeure partie sert, en effet, à autre chose qu’à la transition écologique.

Nombreux sont les économistes et sociologues qui demandent aujourd’hui un changement de logique « il faut réorienter la boussole, écrivait le chercheur Vincent Bertrand, dans le quotidien Les Echos du 28 novembre 2018, en priorisant un recyclage du revenu de la fiscalité carbone vers la réduction des inégalités et le financement du déploiement des technologies non carbones à toutes les franges de la population ». l’association Consommation, Logement et Cadre de Vie (CLCV) va dans le même sens et critique la faiblesse des « subventions directes aux consommateurs » - environ quatre milliards d’euros par an, notamment à travers le chèque énergie.

Un rapport du Commissariat général au développement durable de mars 2018 pointait les inégalités que devait créer la hausse programmée de la taxe carbone jusqu’en 2022 – gelée depuis le mouvement des gilets jaunes. Le surcoût occasionné, pour se chauffer et se déplacer en voiture, serait en moyenne de 500€ par an pour les habitants des communes rurales et des unités urbaines de moins de 20 000 habitants, contre 300€ de plus pour les ménages des grandes villes.

Pas étonnant, dans ces conditions, qu’un bon nombre de Français voient rouge quand une taxe verte se pointe. Brandie à toutes les sauces, l’urgence écologique braque ; la réticence à modifier ses habitudes rejoint la peur du chaos climatique total.

Oui mais voilà, l’Etat et les économistes constatent que les hausses de prix jouent profondément sur les comportements. Une étude de l’Insee sur les carburants automobiles, couvrant la période 1985-2006, est à ce titre éclairante. Elle conclut : « à la suite d’une hausse de 10% du prix des carburants, les ménages réduisent leur consommation à long terme de 7% en moyenne » après corrections des biais, comme la baisse de consommation des voitures. Malgré des variations conjoncturelles, les taxes et les cours du pétrole n’ont cessé de gonfler les prix de l’essence et du diesel depuis trente ans.

 

LA TAXATION PEUT ÊTRE EFFICACE….

Un autre exemple, celui de la redevance incitative sur les déchets, souligne aussi qu’une taxation fine s’avère redoutablement efficace. La redevance est calculée en fonction du poids des poubelles et / ou du nombre de levées des bacs de collecte. Dans les territoires où elle a été introduite ces dernières années, les habitants ont mieux trié les emballages, composté davantage et moins jeté d’ordures ménagères. En moyenne, selon l’Agence de l’environnement et de maîtrise de l’énergie (ADEME), la réduction de la quantité d’ordures ménagères résiduelles est de 41% et la hausse de la collecte des recyclables de 40% !

Pour aboutir à ce résultat, les collectivités doivent accompagner les citoyens par une communication précise et poussée. A certaines conditions, la taxation se montre efficace à modifier les habitudes…

On pourrait extrapoler et conclure à l’efficacité des hausses de prix par les taxes environnementales. Seulement, le mouvement des gilets jaunes rappelle que la transition écologique ne sera socialement acceptable que si les aides comblent les inégalités sociales et les inégalités entre urbains et ruraux. Le temps semble résolu des taxes appliquées aveuglement.

Florent POMMIER-ROSS

 

 

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29 mai 2019 3 29 /05 /mai /2019 15:00

FAST-FOODS :

ÇA SUFFIT, TOUS CES DÉCHETS

FAST-FOODS : ÇA SUFFIT, TOUS CES DECHETS
FAST-FOODS : ÇA SUFFIT, TOUS CES DECHETS

Les enseignes de restaurant rapide doivent mieux trier leurs déchets et, d’ici 2021, réduire fortement les emballages à usage unique. Les clients aussi. Et si on introduisait la vaisselle réutilisable pour la consommation sur place ?

 

Pour les défenseurs de l’environnement, le 27 mars 2019 est à marquer d’une pierre blanche : après d’intenses discussions avec la Commission et les Etats membres, le Parlement européen a adopté une directive visant à réduire drastiquement les plastiques à usage unique.

ASSIETTES, VERRES, PAILLES, BALLONS …

Dans les deux ans à venir, les Etats européens doivent éliminer les couverts, pailles, touillettes, coton-tige et ballons de baudruche en plastique, et diminuer largement les déchets d’emballages alimentaires (assiettes, barquettes, verres, sacs…), en polystyrène expansé et en plastique – y compris celui qui se dégrade au contact de l’oxygène (oxo dégradable).

Parmi les acteurs les plus concernés, les enseignes de restauration rapide – kebabs et sandwicheries compris – tentent de réduire depuis des années leurs tonnages de déchets, mais sans modifier les habitudes des consommateurs. Equation difficile à résoudre. Désormais, McDonald’s, BURGER King, KFC, Subway ou encore Exki et Starbucks doivent mettre les bouchées doubles et modifier les comportements des clients…

Exki est la chaîne la plus volontaire : elle a généralisé les couverts en bois FSC et les pailles en carton, et introduit des plats en bagasse (fibres résiduelles de la canne à sucre), et des emballages en PET (polyéthylène téréphtalate recyclé). Dans le cadre des tests, en cours dans certains restaurants, des couverts en Inox réutilisables et des poubelles de compostage sont à la disposition pour la consommation sur place.

A l’inverse, KFC, communique sur les nouvelles pailles en papier et « les emballages tous issus du recyclage », tout en affirmant préparer un « plan d’actions ». Pour le concret, on repassera. McDo annonce la fin prochaine des ustensiles et bols (pour glaces et salades) en plastique à usage unique : ils seront remplacés par « des alternatives mieux disantes du point de vue environnemental ».

LA DIFFICILE FIN DE TOUT JETABLE

Mais, qu’on se le dise, en 2019, McDo supprime les pailles et les couvercles en plastique clipsés sur les verres en carton : une révolution…

« Remplacer la vaisselle jetable par de la vaisselle en dur, vous n’y pensez pas ! » s’étrangle presque le Syndicat national de l’alimentation et de la restauration rapide (SNARR). « Il faut embaucher plus, il faut davantage de place pour des lave-vaisselle et on consommerait plus d’eau et de produits lessiviels ». Dans les fast-foods, le tournant écologique attendra.

FLORENT POMMIER-ROSS

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13 juin 2018 3 13 /06 /juin /2018 14:49

TAXES SUR LES ORDURES MENAGERES,

ETES-VOUS CONCERNE ?

TAXES SUR LES ORDURES MENAGERES, ETES-VOUS CONCERNE ?

 

06/06/2018

Des taxes existent pour financer au mieux la collecte et le tri des déchets. Qui en est-redevable ? Êtes-vous concerné ? Toutes les explications !

 

Taxes sur les ordures ménagères : qu’est-ce que c’est ?

Plusieurs types de taxes existent pour permettre de faire fonctionner la collecte et le tri de vos déchets :

La taxe d'enlèvement des ordures ménagères (TEOM)

La TEOM est une taxe de collecte et de tri de déchets qui est obligatoire, même dans le cas où vous ne passeriez que de courts séjours dans la propriété concernée.

La redevance d'enlèvement d'ordures ménagères (REOM)

La REOM est une taxe qui est soumise au service d’enlèvement d’ordure ménagère. Ainsi, vous ne serez tenu de vous en acquitter que si vous utiliser ce service.

La redevance spéciale

La redevance spéciale ne concerne que les services d’élimination de déchets assimilés aux déchets ménagers. Elle est due uniquement en cas d’utilisation de ce service. Elle est par ailleurs évaluée en fonction de l’importance de la prestation rendue, notamment calculée par rapport à la quantité de déchets gérée.

Les taxes mises en place dans votre collectivité

Les taxes permettant de faire fonctionner la collecte et le tri des déchets peuvent être mise en place seules ou dans le cadre d’un dispositif plus complet. La nature des taxes mises en place vous concernant dépend du choix de votre collectivité territoriale. Les options de dispositifs sont les suivantes :

Pour trouver l’information sur le dispositif qui s’applique à votre commune, vous pouvez vous rendre sur le site internet de votre ville ou directement en mairie. De nombreuses villes réalisent également des guides de collectes qui vous indiquent le mode de taxation ainsi que les méthodes de collecte et de tri appliqués dans votre commune.

Lire aussi : Tout savoir sur les taxes sur les logements vacants (TLV et THLV)

Taxes sur les ordures ménagères : qui en est redevable ?

La taxe d'enlèvement des ordures ménagères (TEOM) s’applique aux propriétés soumises à la taxe foncière, même dans le cas d’exonérations temporaires. Elle est redevable par le propriétaire des lieux, qui peut récupérer la somme en cas de location via les charges locatives. La TEOM s’applique également aux fonctionnaires logés dans un bâtiment, même si celui-ci est exonéré de taxe foncière.

La taxe d'enlèvement des ordures ménagères (TEOM) et redevance spéciale ne s’appliquent que si vous utilisez le service d’enlèvement des ordures ménagères.

Lire aussi : Estimez la valeur de votre bien immobilier avec Patrim

Taxes sur les ordures ménagères : quels montants ?

Montant de la TEOM

Si le dispositif qui s’applique à votre commune est la TEOM, vous trouverez la somme due sur votre avis d’imposition de taxe foncière. Vous devrez donc vous acquitter de la somme demandée auprès de l’administration fiscale.

Le calcul s’effectue à partir de la moitié de la valeur cadastrale (plafonnée dans certaines limites) multipliée par un taux librement fixé par la commune. Des sommes annexes peuvent s’ajouter à cette somme :

  • des frais de gestion de la fiscalité locale ;
  • d’éventuelles parts additionnelles d’incitation à baisser et trier les déchets.

À noter qu’il est possible dans certains cas d’effectuer une demande de réduction ou de décharge de TEOM. Pour cela, votre propriété doit respecter les conditions suivantes :

  • être inoccupée pour une raison indépendante à votre volonté ;
  • être inoccupée pour une durée d’au moins 3 mois ;
  • être inoccupée en partie ou en totalité.

Montants de la REOM et de la redevance spéciale

La REOM et la redevance spéciale sont à régler auprès de votre commune (ou dans certains cas, d’un groupement de communes) ou à un concessionnaire tierce en cas de disposition spécifique. Le tarif de ces taxes est fixé en fonction du service rendu.

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR PRIX DECHETS
20 janvier 2017 5 20 /01 /janvier /2017 06:37

ACTIONS ET INITIATIVES POUR REDUIRE LE GASPILLAGE ALIMENTAIRE

Date de publication : 19/01/2017 - Alimentation

 

Dans les pays riches, le consommateur est généralement poussé à acheter plus de nourriture qu'il n'en a besoin. Les plats surdimensionnés prêts-à-emporter, les buffets à volonté à prix fixe ou encore les promotions "deux achetés le troisième gratuit" sont un exemple frappant de notre société de surconsommation [site Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO)].

 

En raison de la disponibilité limitée des ressources naturelles, il serait plus rentable de réduire le gaspillage de nourriture que d'accroître la production agricole pour nourrir une population mondiale croissante.

 

Commercialiser des légumes jugés invendables, proposer des "doggy bags" dans les restaurants ou encore faire des dons d'invendus aux associations, tous ces gestes permettent au quotidien de lutter contre le gaspillage alimentaire. Et chaque acteur a un rôle à jouer.

 

Mais comment cela peut-il être mis en oeuvre ? Et par quels moyens ?

 

Cet article de l'Institut national de la consommation a pour vocation de vous informer sur certaines initiatives, actions ou nouvelles habitudes alimentaires qui permettent jour après jour, de lutter contre ce fléau.

 

Décryptage.

 

1 - Les grandes surfaces en action

2 - Les actions, outils ou initiatives à connaître

3 - Les dons et banques alimentaires

4 - La pratique du glanage

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR DECHETS ECOLOGIE
31 décembre 2016 6 31 /12 /décembre /2016 07:35

LE FINANCEMENT DE L'ELIMINATION

DES DECHETS MENAGERS

Etude juridique

Date de publication : 30/12/2016 - Energie/environnement

Collecter, stocker, trier, recycler, incinérer… la gestion des déchets ménagers et assimilés représente un coût d’environ 10 milliards d’euros à la charge des collectivités territoriales. Selon l’Ademe, en 2012, le coût de gestion des déchets par habitant variait de 57 à 110 euros selon les collectivités avec une moyenne française de 89 euros.

Cette étude a pour objectif de présenter les différents modes de financement de l’élimination des déchets à la disposition des collectivités territoriales.

1- Qui est responsable de la gestion des déchets des ménages ?
2 - Plusieurs options de financement de l'élimination des déchets ménagers
3- Le coût du service de l'élimination des déchets

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1 septembre 2016 4 01 /09 /septembre /2016 17:56

LES GOBELETS EN PLASTIQUE

INTERDITS A PARTIR DE 2020

Publié le 31 août 2016 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

 

À partir de 2020, la vaisselle jetable en plastique (gobelets, verres et assiettes jetables après utilisation) sera progressivement interdite, sauf si elle est compostable en compostage domestique et constituée de matières biosourcées.

À partir de cette date, seule pourra être vendue ou distribuée gratuitement, en vente à emporter ou en consommation sur place, la vaisselle jetable composée de matière compostable en compostage domestique et constitués, pour tout ou partie, de matières biosourcées.

La teneur en matière biosourcée de la vaisselle jetable compostable autorisée doit augmenter de façon progressive :

  • 50 % en janvier 2020 ;
  • 60 % en janvier 2025.

Tous les commerces sont concernés, aussi bien les établissements de restauration (restaurant traditionnel, restauration rapide...) et les débits de boisson que les commerces de proximité : boulangerie, épicerie, traiteur, station-service...

  Rappel :

Les matières biosourcées (ou éco-matériaux) sont constituées de matières d'origine biologique (végétale ou animale), telles que l'amidon de maïs, la fécule de pomme de terre, les fibres textiles ou de cellulose, ou le bambou...

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR DECHETS
4 février 2016 4 04 /02 /février /2016 20:22

INTERDICTION DES SACS PLASTIQUE

A USAGE UNIQUE

EN CAISSE EN 2016

Initialement prévue pour le 1er janvier 2016, et reportée une première fois en mars 2016, la publication du décret sur l'interdiction des sacs de caisse en plastique à usage unique, qu'ils soient gratuits ou payants, aura finalement lieu le 1er juillet 2016.

Seuls les sacs plastique réutilisables (vendus en caisse), les sacs pour emballage de fruits et légumes en vrac ou les sacs constitués d'une autre matière que le plastique (papier, tissu, etc.) pourront être distribués pour emballer les marchandises dans les points de vente (art. 75 de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte).

Un communiqué du ministère du développement durable précise que le report de la parution du décret, devant notamment détailler l'application de sanctions, ne remet pas en cause l'interdiction de la distribution des sacs plastique de caisse à usage unique à partir du 1er janvier 2016, inscrite dans la loi.

Les commerçants sont autorisés à distribuer les sacs plastique qui vont être interdits, jusqu'à épuisement du stock.

À partir du 1er janvier 2017, l’interdiction est étendue :

  • aux sacs en matières plastiques à usage unique destinés à l’emballage de marchandises au point de vente autres que les sacs de caisse, sauf pour les sacs compostables en compostage domestique et constitués de matières biosourcées, c’est-à-dire à base de matière végétale,
  • aux emballages plastique non biodégradables et non compostables en compostage domestique, pour l’envoi de la presse et de la publicité (mise sous blister).

Par ailleurs, sont dorénavant interdites la production, la distribution, la vente, la mise à disposition et l’utilisation d’emballages ou de sacs fabriqués à partir de plastique oxo-fragmentable, matière dégradable, mais ni assimilable par les micro-organismes, ni compostable.

En 2020, ce sera au tour de la vaisselle jetable en plastique (gobelets, verres et assiettes jetables) d’être interdits, sauf ceux compostables en compostage domestique et constitués de matières biosourcées (art. 73).

Pour en savoir plus

Interdiction des sacs en plastique à partir du 1er juillet 2016

Loi n°2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte

Communiqué de presse sur l'interdiction des sacs plastique en France

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