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LES CAS GAGNES
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VETEMENTS :
LES 6 INDICATIONS A BIEN REPERER
SUR LES ETIQUETTES
Par Bercy Infos, le 13/12/2019 -
Vous vous apprêtez à acheter un vêtement ? Prenez le temps de bien lire les étiquettes. Que ce soit la composition, l'entretien ou l'origine du produit, elles apportent des informations essentielles pour bien faire votre choix et conserver vos achats en bon état autant que possible. Tour d'horizon des 6 mentions à avoir à l'oeil, avec la direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF).
1. La composition
S'agit-il d'une mention obligatoire : Oui
La composition d'un vêtement doit obligatoirement être bien lisible et rédigée en français, pour l'ensemble des articles commercialisés en France. Elle doit être « fixée de manière définitive au produit, par exemple cousue », explique la direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF).
L'étiquette doit indiquer les fibres textiles utilisées, avec le pourcentage correspondant, dès lors qu'aucune des fibres n'atteint 85 % du poids total du vêtement. En-dessous de 10 %, les matières peuvent être mentionnées par un simple « autres fibres ». Si l'étiquette indique « 100 % ... », « pur ... » ou « tout ... », le vêtement doit être composé en totalité de la fibre en question.
2. La taille
S'agit-il d'une mention obligatoire : Non
La taille peut varier nettement selon les pays et les fabricants, prévient la DGCCRF. De plus, elle est parfois indiquée sous forme de chiffres (38, 40, 42... voire 1, 2, 3...) ou de lettres (S, M, L...). Des tables de conversion existent, mais elles sont surtout indicatives. Il vaut donc mieux essayer un produit avant de l'acheter, dans la mesure du possible.
3. L'entretien
S'agit-il d'une mention obligatoire : Non
Les explications d'entretien des vêtements peuvent être indiquées en toutes lettres. Toutefois, elles prennent souvent la forme de pictogrammes, qui sont des marques déposées par le Groupement international d'étiquetage pour l'entretien des textiles (Ginetex). « Les traitements recommandés par les symboles doivent empêcher des dommages irréversibles qui pourraient être infligés aux articles textiles », estime l'organisation.
Les indications de lavage sont représentées par un bac (ou cuvier). Le nombre inscrit à l'intérieur indique la température maximale recommandée. Les éventuels traits sous le bac indiquent un essorage modéré (un trait) ou minimal (deux traits).
Le triangle correspond à l'utilisation de l'eau de Javel et autres produits de blanchiment.
Le carré indique les possibilités de séchage. Un trait vertical dans le carré correspond à un séchage sur fil. Un trait horizontal à un séchage à plat. Un rond dans le carré signifie que l'utilisation d'un sèche-linge est possible.
Le repassage est symbolisé par un fer à repasser. « Les niveaux de température maximale sont représentés par un (110°), deux (150°) ou trois (200°) points placés à l'intérieur », précise le Ginetex.
Enfin, le rond signifie qu'il faut recourir à un nettoyage professionnel. La lettre à l'intérieur du pictogramme correspond au type de produits. P pour nettoyage à sec au perchloréthylène et aux hydrocarbures, F pour nettoyage à sec aux hydrocarbures, W pour nettoyage à l'eau.
« Tout symbole barré signifie qu'il ne faut pas utiliser le procédé qu'il représente », ajoute la DGCCRF.
Lire aussi : Nutri-Score, l'étiquetage qui rend l'information nutritionnelle plus lisible | Alimentation : comment lire les étiquettes nutritionnelles ?
4. Le prix
S'agit-il d'une mention obligatoire : Oui
Le prix du vêtement doit être indiqué de manière visible, par étiquetage ou affichage, et toutes taxes comprises (TTC). « Vous devez être en mesure de connaître immédiatement son prix de vente, sans avoir à interroger un vendeur », rappelle la DGCCRF. En cas de réduction, comme lors des soldes, l'étiquette doit mentionner l'ancien prix barré et le nouveau. Toutefois, « une annonce globale, -25 % en caisse par exemple, suffit si le taux de réduction est identique pour tous les articles faisant l'objet de cette promotion ».
Lire aussi : Soldes : consommateurs, quels sont vos droits ?
5. L'origine
S'agit-il d'une mention obligatoire : Non
L'indication de l'origine des vêtements n'est pas obligatoire en France. Par contre, une origine indiquée qui serait mensongère peut faire l'objet de sanctions, « au titre de la publicité mensongère ou de la tromperie sur la marchandise », met en garde la DGCCRF.
6. L'état
S'agit-il d'une mention obligatoire : Oui
Un vêtement qui ne serait pas neuf mais d'occasion doit obligatoirement être signalé par un écriteau. Dans le cas des produits d'occasion, « l'indication de composition du textile n'est pas obligatoire », ajoute la DGCCRF.
QU'EST-CE QU'UN BON MOT DE PASSE
SUR INTERNET ?
Publié le 27 juin 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
Vous utilisez sans doute des mots de passe pour vos activités sur internet (messagerie, achats, banque...). Mais ces mots de passe sont-ils suffisamment sécurisés ? Réponses avec le site cybermalveillance.gouv.fr qui vous donne des règles simples à adopter pour protéger votre sécurité numérique et éviter d'être la proie de cybercriminels.
Utiliser un mot de passe différent pour chaque accès : si l'un est piraté, seul le service concerné sera vulnérable ;
À savoir :
Cybervalveillance.gouv.fr propose des supports et des conseils par thème pour comprendre et lutter contre la cybermalveillance : vidéos, fiches réflexes, fiches pratiques, infographies...
Et aussi
Ransomware (rançongiciel) - Blocage d’un ordinateur ou smartphone
Téléphones mobiles et tablettes : 10 règles d’or pour mieux les protéger
Pour en savoir plus
Les conseils de la Cnil pour un bon mot de passe
Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil)
Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi)
Dispositif d'assistance aux victimes d'actes de cybermalveillance
Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi)
USURPATION D’IDENTITÉ,
COMMENT S’EN PROTÉGER ?
par Bercy Infos, le 04/02/2019 – Cybersécurité
Vos données personnelles sur internet sont précieuses et peuvent attirer la convoitise d’usurpateurs désireux d'utiliser vos informations à des fins frauduleuses. Comment vous prémunir au maximum de ces cyberattaques ? Que faire en cas d’usurpation d’identité sur internet ?
L’usurpation d’identité, qu’est-ce que c’est ?
Une usurpation d’identité est une utilisation de données personnelles propres à vous identifier sans votre accord. Une fois volées, ces informations peuvent servir aux usurpateurs pour nuire à votre réputation, réaliser des opérations financières ou commettre des actes répréhensibles en votre nom.
Les usurpateurs peuvent voler vos données via un piratage ou se faire passer pour un organisme privé ou public connu, dans le but d’instaurer un climat de confiance et de vous amener à donner des informations personnelles. L’usurpation d’identité est un délit pénal.
Lire aussi : Comment assurer sa sécurité numérique | Sécurité sur le web : découvrez le site web cybermalveillance.gouv.fr
Comment vous protéger du vol de vos données personnelles ?
Pour protéger vos données privées de potentiels piratages, quelques règles de base sont à appliquer :
Lire aussi : Comment protéger ses données personnelles ? | Dix règles à respecter pour être (presque) sûr de vous faire pirater votre ordinateur | Comment créer un mot de passe sécurisé et simple à retenir ?
Quels recours en cas d’usurpation d’identité ?
Si vous constatez une usurpation d'identité, collectez tous les éléments prouvant l’infraction (captures d’écrans, URL des pages concernées, justificatifs etc.). Vous pourrez ensuite vous tourner vers le ou les sites sur lesquels l’usurpation d’identité a eu lieu et leur demander d’intervenir pour la suppression des informations vous concernant.
Vous êtes par ailleurs en droit de déposer une plainte pénale auprès d’un commissariat de police, d’une gendarmerie ou du procureur de la république.
La plateforme gouvernementale cybermalveillance.gouv.fr peut vous aider à identifier un organisme à même de vous aider dans votre périmètre géographique.
Lire aussi : Créateurs et dirigeants d’entreprises : quelles règles de cybersécurité appliquer ? | Paiement en ligne : les 5 conseils de la Cnil pour éviter les risques | Comment se prémunir contre le phishing ?
REGLEMENT GENERAL SUR LA PROTECTION
DES DONNEES (RGPD),
DES DROITS RENFORCES
POUR LES CONSOMMATEURS
01/06/2018
Le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) est entré en vigueur le 25 mai 2018. Ce nouveau texte législatif marque un tournant dans le droit de regard que vous avez sur vos données personnelles et leur traitement. Qu’est-ce qui change ? Quels droits renforcés pour vous ? On vous explique tout !
Une meilleure connaissance de l’usage fait de vos données
Avec la mise en place du RGPD, les professionnels sont tenus de vous informer de la collecte de vos données personnelles ainsi que de l’usage qui en est fait. Vous pouvez également de façon plus encadrée faire valoir vos droits d’accès aux données collectées et votre droit de retrait de ces informations.
Lire aussi : Le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD), mode d’emploi
Une nouvelle possibilité de portabilité de vos données
Vous pouvez désormais faire une demande de récupération de vos données sous une forme exploitable pour pouvoir, si vous le souhaitez, les transférer à un autre organisme de manière simple et rapide. L’organisme, à qui vous demandez la récupération de vos données, est tenu de n’en conserver aucune trace.
Une protection juridique renforcée et un guichet unique en cas de plainte
En cas de dommage matériel ou moral lié à la violation du RGPD, vous pouvez effectuer un recours et obtenir réparation de la part du responsable du préjudice. Désormais, vous pouvez également effectuer une action collective en faisant notamment appel aux associations actives dans le domaine.
Par ailleurs, peu importe le pays où est implanté l’entreprise vous ayant causé le préjudice, votre interlocuteur unique est l’autorité de protection des données de votre pays.
Un renforcement du droit à l’oubli
Vous disposez grâce au RGPD d’un « droit à l’oubli ». Cela signifie que vous pouvez exiger qu’une information sur vous présente en ligne soit supprimée si vous estimez qu’elle porte atteinte à votre intégrité. Il peut par exemple s’agir d’une demande de dé-référencement d’un lien vous concernant sur un moteur de recherche.
De nouvelles conditions de traitement des données personnelles pour les mineurs
Le RGPD met en place de nouvelles règles spécifiques à la collecte et au traitement des données personnelles des mineurs. Deux nouvelles conditions sont ainsi inscrites dans le Règlement :
l’information sur les traitements de données les concernant doit être rédigée en des termes clairs et simples, que l'enfant peut aisément comprendre ;
le consentement doit être recueilli auprès du titulaire de l’autorité parentale.
Le ministère s'engage sur la protection de vos données
Le ministère de l’Économie et des finances et le ministère de l’Action et des comptes publics s’engagent à ce que la collecte et le traitement de vos données, effectués à partir du portail economie.gouv.fr, soient conformes au règlement général sur la protection des données (RGPD) et à la loi Informatique et Libertés.
LINKY, GAZPAR... :
VOUS POUVEZ FAIRE MESURER
L'EXPOSITION AUX ONDES
ELECTROMAGNETIQUES
Publié le 12 juin 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
Alors que les compteurs communicants Linky et Gazpar sont en cours de déploiement sur l'ensemble du territoire, l'Agence nationale des fréquences (ANRF) vient d'annoncer, dans un communiqué du 6 juin 2018, que toute personne (ou organisme habilité) peut demander de faire mesurer l'exposition aux ondes électromagnétiques associée à des objets communicants fixes, en particulier celle liée aux compteurs communicants.
Pour faire la demande, vous devez remplir le formulaire cerfa 15003*01 accessible en ligne.
Une fois téléchargé, ce formulaire est à compléter de façon précise avec :
Votre demande doit être ensuite envoyée à l’un des organismes habilité à solliciter des mesures (collectivités territoriales, associations agréées de protection de l’environnement, fédérations d’associations familiales...) dont les coordonnées sont précisées au V de la notice explicative du formulaire de demande de mesure d'exposition aux champs électromagnétiques .
À savoir :
C’est l'ANFR qui instruit les demandes et contacte les laboratoires accrédités pour effectuer les mesures, les résultats étant publiés sur le site www.cartoradio.fr .
Et aussi
Compteurs communicants Linky et Gazpar : quelles données collectées ?
COMMENT SE PROTEGER CONTRE
LA CYBERMALVEILLANCE ?
Virus par messagerie, rançongiciel, mots de passe, téléphone mobile... comment les éviter et se protéger ?
Date de publication : 14/06/2018 - Internet/multimédia
Le site Cybermalveillance.gouv.fr (*) vient de mettre en ligne le 1er volet d'un kit de sensibilisation.
Celui-ci vise à sensibiliser aux questions de sécurité du numérique, à partager les bonnes pratiques dans les usages personnels et, de manière vertueuse, à améliorer les usages dans le cadre professionnel. Il a été réalisé avec les membres du GIP ACYMA (*) et comporte 4 thèmes :
Chaque thème est décliné en différents supports : vidéos, mémos, fiches pratiques et fiches "réflexe", qui s’adressent à tous quel que soit le niveau de connaissance en sécurité du numérique.
Téléchargez le communiqué de presse
L'hameçonnage (pisching)
Gérer ses mots de passe
Sécurité des appareils mobiles
Sécurité des usages pro-perso
Distribués sous une licence libre (Etalab 2.0) pour en permettre la plus large diffusion, adaptation et réutilisation, les contenus de ce kit ont été pensés pour être utilisés directement, pour servir de supports à des actions de formation ou pour être intégrés à des initiatives déjà en place ou à créer. |
Lancé en octobre 2017, Cybermalveillance.gouv.fr est le dispositif national d’assistance aux victimes de cybermalveillance, incubé par l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (ANSSI), en copilotage avec le ministère de l’Intérieur et avec le soutien des ministères de l’Economie et des Finances, de la Justice et du secrétariat d’État chargé du Numérique. Il est à présent piloté par le Groupement d’Intérêt Public (GIP) ACYMA (dossier de presse).
En avril 2018, l'INC a rejoint le GIP ACYMA au sein du collège "utilisateurs" pour contribuer à l'assistance des victimes et à la prévention du risque numérique sur le territoire national.
Le site cybermalveillance.gouv.fr permet à tous les utilisateurs d'établir un diagnostic précis de sa situation, de se mettre en relation avec les spécialistes et organismes compétents proches de chez soi, de s' informer sur les moyens de prévention et de réaction grâce à la mise à disposition d’outils et de publications dispensant de nombreux conseils pratiques (vidéos, articles...).
PROTECTION DES DONNEES
PERSONNELLES SUR INTERNET
QUOI DE NEUF POUR LES PARTICULIERS ?
Publié le 24 mai 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
Protection des mineurs, portabilité des données, meilleure information des internautes, action de groupe... Le nouveau règlement européen de protection des données (dit RGPD) entre en vigueur dans tous les pays de l'Union européenne (UE) à partir du 25 mai 2018.
Parmi les nouvelles mesures devant permettre de mieux protéger les données personnelles des internautes européens, voici une sélection de ce que prévoit le RGPD :
Rappel :
Le projet de loi sur la protection des données personnelles qui a été adopté récemment par le Parlement adapte à ce nouveau cadre juridique européen la loi du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés.
Et aussi
Protection des données personnelles
Professionnels : ce qui change sur la protection des données personnelles
Internet : comment choisir un bon mot de passe ?
Pour en savoir plus
Comprendre le règlement européen
Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil)
RGPD, protection des données personnels : ce qui change en mai 2018
Vie-publique.fr
Panorama des lois - Projet de loi relatif à la protection des données personnelles