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LES CAS GAGNES

PAR NOS ANTENNES

DANS LA RUBRIQUE
"DOSSIERS GAGNES"


LE COUP DE GUEULE DU CONSOMMATEUR

Vous désirez  exprimer votre colère aprés une arnaque ou un litige qui pourrait intéresser l'ensemble des consommateurs

Envoyer votre message sur la messagerie : indecosacgt17@gmail.com, nous le mettrons dans notre rubrique "le coup de gueule du consommateur"

27 mars 2015 5 27 /03 /mars /2015 13:19

CONSOMMATION : PRES DE 2500 PRODUITS DANGEREUX RETIRES DU MARCHE EUROPEEN

En 2014, près de 2 500 produits (jouets, habillement, équipements électriques, véhicules à moteur, articles de puériculture, etc.) ont été soit interceptés avant d’entrer dans l’Union européenne (UE), soit retirés du marché, en raison de leur dangerosité pour les consommateurs. C’est ce qu’indiquent les chiffres 2014 du système d’alerte rapide pour les produits non alimentaires présentant un risque grave pour les consommateurs (Rapex), publiés par la Commission européenne le 23 mars 2015.

En 2014, deux catégories de produits ont été particulièrement concernées : les jouets (28%), ainsi que l’habillement, le textile et les articles de mode (23%). Ces produits présentaient le plus souvent des risques chimiques ou des risques de blessure et de suffocation. Les risques chimiques les plus courants concernaient des produits comme les chaussures et les articles en cuir (qui contenaient, par exemple, du chrome hexavalent, une substance sensibilisante pour la peau), les jouets et les articles de puériculture (contenant un plastifiant susceptible de provoquer des problèmes d’infertilité) et les bijoux fantaisie (dans lesquels avaient été décelés des métaux lourds nocifs, par exemple). La Chine reste le premier pays d’origine des produits mis en cause. En 2014, tout comme en 2013, 64% de l’ensemble des produits dangereux identifiés provenaient de ce pays.

Depuis 12 ans, la Commission européenne et les États membres de l’UE agissent de concert pour garantir la sécurité des produits de consommation mis sur le marché européen. À cette fin, ils utilisent le système d’alerte Rapex. Lorsqu’un pays détecte qu’un produit n’est pas sûr, il en informe les autres en le notifiant dans le Rapex. Tous les autres pays recherchent alors le produit en cause sur leurs marchés respectifs et ceux qui le trouvent indiquent dans le système la mesure de suivi adoptée (interdiction/cessation des ventes, retrait du marché, rappel du produit par le fabricant ou refus d’importation opposé par les autorités douanières). Aujourd’hui, 31 pays (États membres de l’UE ainsi que l’Islande, le Liechtenstein et la Norvège) prennent part au Rapex.

Mots clés : Sécurité Economie Politiques communes

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Sur la toile publique

Préserver la sécurité des consommateurs : près de 2 500 produits dangereux retirés du marché de l’Union en 2014 (23 mars 2015), Communiqué de presse de la Commission européenne - Europa

Sécurité du consommateur : produits et services, Santé et consommateur - Europa

Synthèses de la législation de l’UE - Règles générales : sécurité des produits, EUR-Lex, l’accès au droit de l’Union européenne

La stratégie douanière de l’Union européenne, Fiscalité et Union douanière - Europa

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR SANTE SECURITE
27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 06:01

LES DETECTEURS DE FUMEE SONT-ILS EXIGES DANS VOTRE CONTRAT D’ASSURANCE ?

 

À partir du 9 mars 2015, les maisons et les appartements doivent être équipés d’au moins un détecteur de fumée. Mais l’assurance peut-elle vous sanctionner si vous n’êtes pas équipés ? Service-Public vous répond.

 

Si cet équipement est effectivement obligatoire, votre société d’assurance ne peut pas vous sanctionner en cas de non installation de détecteur. En revanche, elle peut vous inciter à le faire en vous accordant une réduction sur votre prime ou en vous faisant bénéficier d’offre pour vous en équiper.

 

En cas d’incendie, si vous avez souscrit une garantie contre ce risque, votre logement est donc couvert que vous ayez installé un détecteur ou pas.

 

À noter : si votre logement est équipé d’un détecteur de fumée, vous pouvez le déclarer à votre assureur.

Sur Service-public.fr

Installation de détecteur de fumée

Déclarer à son assureur l’installation de son détecteur de fumée

Assurance : indemnisation en cas d’incendie ou d’explosion

Pour en savoir plus

Arrêté du 5 février 2013 relatif au détecteur de fumée

Légifrance, le service public de la diffusion du droit

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR ASSURANCE LOGEMENT SECURITE
19 février 2015 4 19 /02 /février /2015 05:32

DETECTEUR DE FUMEE :

UN REPORT SOUS CONDITION !

L‘obligation d’installation de Détecteurs Autonomes Avertisseurs de Fumée dans les logements, est reportée, sous condition, au 1er janvier 2016.

Mais pas l’obligation d’achat !

Un amendement adopté dans le cadre de la loi Macron précise en effet que «les propriétaires ayant signé un contrat d’achat des détecteurs au plus tard au 8 mars 2015 sont réputés satisfaire l’obligation … à la condition que le détecteur de fumée  soit installé avant le 1er janvier 2016».

Cette décision est motivée par la rupture de stocks de produits et par l’impossibilité, pour les propriétaires-bailleurs, de respecter les délais prévus, confrontés « à une indisponibilité des détecteurs ou des entreprises d’installation ».

Comme aucune différentiation n’est faite entre propriétaires, tous les particuliers, en maison principale ou secondaire, seraient concernés par ce report.

Délai supplémentaire, mais prudence donc : à défaut d’avoir effectivement installé des détecteurs, vous devrez prouver soit l’achat, soit la commande du matériel ou de l’installation, effectués le 8 mars prochain au plus tard !

Rappel : c’est bien le propriétaire qui fournit et installe au moins un détecteur normalisé. Le locataire est responsable, lui, de l’entretien du dispositif (changer les piles, tester régulièrement l’appareil, voire le remplacer si nécessaire).

Pour les logements déjà occupés par un locataire en mars 2015, la loi Alur précise que le propriétaire pourra se contenter de fournir un détecteur à l’occupant ou, si ce dernier l’a déjà installé, de le rembourser.

Lors de la mise en location, en revanche, c’est au propriétaire de s’assurer du bon fonctionnement lors de l’état des lieux.

Respect des règles de l’art : pour éviter les déclenchements intempestifs, on est réputé l’installer aux endroits où va stagner la fumée, donc en hauteur, au milieu d’une pièce et si possible éloigné de la cuisine et de la salle de bains.

Pour les personnes mal entendantes, du matériel spécifique, est à envisager.

Assurance : l’occupant du logement doit notifier cette installation à son assureur de dommages d’incendie par la remise d’une attestation, à valeur déclarative et si possible accompagnée de la facture d’achat et/ou d’installation, pour prévenir d’éventuels litiges.

Exemple : Je soussigné … (nom, prénom de l’assuré), détenteur du contrat n° … atteste avoir installé un détecteur de fumée normalisé au … (adresse de l’assuré) conforme à la norme NF EN 14604.    

Mais au-delà des termes de la loi,

n’attendez pas plus longtemps pour préserver votre vie

et celle de vos proches !

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR LOGEMENT SECURITE
29 janvier 2015 4 29 /01 /janvier /2015 18:11

ECOUTEURS, ALCOOLEMIE, RADARS, STATIONNEMENT : 26 MESURES

POUR LA SECURITE ROUTIERE

Le ministre de l’intérieur a présenté, le 26 janvier 2015, un plan d’actions pour la sécurité routière. Ce plan comprend 26 mesures dont certaines concernent tout particulièrement les usagers. Il est notamment prévu :

  • d’interdire le port de tout système de type écouteurs, oreillette, casque, car ils sont susceptibles de limiter l’attention et l’audition des conducteurs.
  • d’abaisser le taux légal d’alcoolémie de 0,5 g/l à 0,2 g/l pour les conducteurs novices (3 ans après l’obtention du permis, ramenés à 2 ans après le permis s’il a été précédé d’un apprentissage par conduite accompagnée).
  • de désigner, lors de la demande de certification d’immatriculation d’un véhicule, la personne titulaire du permis de conduire correspondant au type de véhicule à immatriculer. Cette personne sera responsable en cas d’infraction constatée, à défaut d’identification du conducteur en infraction.
  • de relancer le déploiement de radars feux rouges et leur associer systématiquement un module de contrôle de la vitesse, notamment en agglomération.
  • de rendre obligatoire pour les usagers de deux-roues motorisés le port du gilet de sécurité en cas d’arrêt d’urgence, comme c’est déjà le cas pour les automobilistes.
  • d’interdire le stationnement des véhicules (sauf les deux-roues) cinq mètres avant les passages piétons et de renforcer les sanctions en cas de stationnement sur les passages piétons, les trottoirs ou les pistes cyclables.
  • d’expérimenter dans 11 départements la technique du double prélèvement salivaire pour dépister des stupéfiants, avant de la généraliser et d’augmenter ainsi le nombre de contrôles.
  • d’uniformiser la taille et le format des plaques d’immatriculation des deux roues motorisés, afin de faciliter les contrôles.
  • de préciser la réglementation du surteintage des vitres à l’avant des véhicules afin de ne pas entraver le contrôle de certains comportements dangereux (utilisation du téléphone au volant, non port de la ceinture de sécurité, etc.).

Selon les données, encore provisoires, de l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), l’année 2014 a été marquée par une hausse de la mortalité routière. L’ONISR estime à 3 388 le nombre de décès en 2014, soit une augmentation de 3,7% et de 120 décès par rapport à 2013. Cette hausse a particulièrement touché les piétons (+8%), les cyclistes (+8%) et les cyclomotoristes (+6%). En 2014, le nombre de personnes blessées est également en hausse (+2,5%).

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR AUTOMOBILE SECURITE
2 novembre 2014 7 02 /11 /novembre /2014 11:32

DETECTEURS DE FUMEE OBLIGATOIRES

 

DANS LES LOGEMENTS

 

 AVANT MARS 2015 

 

Au plus tard le 8 mars 2015, tous les lieux d’habitation devront être équipés d’un détecteur de fumée. Si vous ne voulez pas attendre le dernier moment, ces informations vous concernent.

L’arrêté du 5 février 2013 précise toutes les exigences auxquelles doivent répondre ces appareils.

 

Combien de détecteurs de fumée installer ? 

Il en faut au moins un par logement.

Où installer l’appareil ?

Il doit être fixé le plus haut possible dans un lieu de circulation ou dans le dégagement desservant les chambres et à distance des murs et des sources de vapeur.

Qui installe le détecteur de fumée ?

C’est le propriétaire du logement qui l’installe ou le fait installer à ses frais.

Qui s’en occupe : entretien, changement des piles, renouvellement si nécessaire ?

C’est l’occupant du logement qui veille à l’entretien et au bon fonctionnement du dispositif et assure son renouvellement tant qu’il occupe les lieux.

Où trouver un modèle d’attestation pour l’assureur avec lequel on a conclu un contrat de garantie incendie ?

         Un modèle d’attestation figure en annexe de l’arrêté du 5 février 2013.

Pourquoi l’arrêté interdit-il d’installer des détecteurs de fumée dans les parties communes des immeubles d’habitation ?

Une détection de fumée dans les parties communes déclencherait l’alarme et inciterait les gens à sortir de leur logement et à entrer dans les fumées. Or, ce sont précisément les fumées qui sont dangereuses.

 

À savoir : en cas de démarchage à domicile, sachez qu’il n’existe pas d’installateur diplômé, agréé ou mandaté par l’État.

 

Pour en savoir plus

Arrêté du 5 février 2013 relatif au détecteur de fumée

Ministère de l’égalité des territoires et du logement

Installation de détecteur de fumée

Obligations du locataire : travaux et réparations locatives

 

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR LOGEMENT SECURITE
11 janvier 2014 6 11 /01 /janvier /2014 17:41

UN GARAGISTE DOIT SIGNALER

 

SI UNE VOITURE EST « PASSEE AU MARBRE »

 

Le vendeur professionnel doit indiquer à l’acquéreur si une voiture a fait l’objet d’un « passage au marbre ». À défaut, celui-ci pourrait demander l’annulation de la vente.

C’est ce que vient de préciser la Cour de cassation dans une affaire où un particulier avait acquis auprès d’un garagiste un véhicule d’occasion après avoir été informé par le vendeur que ce véhicule avait été accidenté et réparé selon les normes constructeurs. Ayant appris par la suite que la réparation du véhicule avait consisté en la remise en ligne de la caisse sur marbre, l’acheteur avait demandé l’annulation de la vente. Mais la cour d’appel avait rejeté sa demande.

L’arrêt est cassé par la Cour de cassation. Pour la Cour, le vendeur professionnel était tenu d’informer l’acquéreur de la nature et de l’importance des réparations effectuées sur le véhicule. La Cour a également considéré que la restriction à la possibilité de revendre un tel véhicule constituait un vice caché qui en affectait l’usage.

On rappellera que, selon la jurisprudence, le vendeur professionnel est tenu d’un devoir de conseil et d’une obligation d’information et qu’il lui appartient de se renseigner sur les besoins de l’acquéreur afin de vérifier que le bien proposé corresponde à ce qu’il en attendait.

À noter : le « passage au marbre » est l’opération qui consiste à utiliser un gabarit (banc de mesure ou « marbre ») à l’échelle du véhicule, pour pouvoir redresser l’ensemble du châssis ou de la coque du véhicule et le remettre aux cotes constructeurs. Cette opération s’avère nécessaire lorsqu’un véhicule a subi un choc important.

Pour en savoir plus

Cour de cassation, Chambre civile 1, 11 décembre 2013, N° pourvoi : 12-23.372

Légifrance, le service public de la diffusion du droit

Garantie légale des vices cachés 

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR AUTOMOBILE SECURITE
5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 17:32

MESSAGE FRAUDULEUX

 

.« ETHYLOTEST GRATUIT »

Des courriels frauduleux à vocation commerciale affichant le logo et les informations de service-public.fr sont envoyés. Ils présentent la plupart du temps des informations administratives délibérément erronées.

Ils ont pour objet la vente d’éthylotests.

Attention : ces messages n’émanent pas du site service-public.fr.

Pour en savoir plus

 

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR SECURITE AUTOMOBILE
12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 21:02

MEDICAMENTS : QUELS CONTROLES ?

 

En matière de médicaments et produits de santé, compte tenu des différents scandales et problèmes récents, il est utile de revenir sur les procédures qui permettent aux laboratoires de mettre un nouveau produit sur le marché.

 

La phase de développement

En France, l’autorité compétente qui délivre les autorisations de mise sur le marché pour les médicaments est l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Elle intervient dans le développement du médicament dès la phase des essais cliniques qu’elle doit autoriser (AEC : autorisation d’essais cliniques). Elle délivre ensuite l’AMM en fonction des résultats des essais cliniques, des essais relatifs au développement industriel et au mode d’administration et de conditionnement, ainsi que de l’évaluation des bénéfices et des risques.

 

L’attribution de l’autorisation

Le nouveau produit doit présenter un rapport bénéfice/risque au moins équivalent à celui des produits déjà commercialisés.

Après l’évaluation scientifique, le dossier d’autorisation de mise sur le marché passe devant les commissions de l'Agence. Trois issues sont possibles : avis favorable, demande de complément d’information ou avis non favorable.

C’est le directeur général de l’ANSM qui prend la décision d’autoriser la mise sur le marché.

 

La surveillance après l’AMM

Le médicament reste sous surveillance une fois commercialisé

Le rapport bénéfices/risques du produit est évalué régulièrement pour prendre notamment la mesure des effets indésirables connus ou nouvellement identifiés.

En cas de risque pour la santé, un médicament peut se voir appliquer une décision de police sanitaire prenant la forme d’une restriction ou d’une modification des indications. Le médicament peut également faire l’objet d’un retrait du marché.

 

Les autorisations d’importation

L’ANSM délivre les autorisations d’importation parallèles des médicaments (pour les médicaments en provenance d’un autre Etat européen dans lequel ils ont obtenu une AMM et identique à une spécialité ayant l’AMM en France) dans le cadre de la libre circulation des marchandises Elle apporte aussi aux autorités étrangères les informations nécessaires aux exportations parallèles.

 

Exigences déontologiques

La loi du 29 décembre 2011 a introduit au sein de l’ANSM des mesures de transparence concernant les liens d’intérêts. Elle a donné lieu à la publication des déclarations d’intérêts des membres des commissions et des groupes de travail. Les représentants de l’industrie pharmaceutique ne participent plus aux instances de l’Agence. La transparence des travaux d’expertise a été renforcée (mise en ligne des enregistrements audiovisuels et des verbatim des séances des commissions de l'Agence).

 

Au niveau européen

Il existe des procédures communautaires de demande d’AMM, utilisées lorsque le médicament est innovant ou destiné à plusieurs Etats membres de la Communauté européenne. C’est alors l’agence européenne d’évaluation des médicaments (EMA) dont le siège est à Londres qui la délivre. Selon le type de procédure communautaire, c’est l’Agence européenne ou le laboratoire qui choisit respectivement l’Etat rapporteur ou l’Etat référent. L’ANSM est, pour la France, le rapporteur auprès de l’Agence européenne.

 

Pour en savoir plus :

La fiche « Médicaments : comment déclarer un effet indésirable ? »

http://ansm.sante.fr

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR SECURITE SANTE
27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 16:33

DGCCRF

 

VACANCES 2013

 

LES CONSEILS AUX CONSOMMATEURS

 

Voyages organisés, transports, hébergement, restauration, activités sportives et divertissements, achats de produits ou questions de santé... Que faut-il savoir avant de partir en vacances cet été ?

 

La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) propose sur son site le guide des vacances 2013 afin d’assurer au mieux la protection des consommateurs en vacances. Les conseils de la DGCCRF portent sur les secteurs suivants :

·   - les voyages organisés (obligations du voyagiste, contrats, annulations ou modifications, assurances, départs au dernier moment, coffrets cadeaux, règlements des litiges),

·  - les déplacements (péages autoroutiers, pannes, location de véhicules, tarification des taxis, voyages en avion),

·  - l’hébergement (hôtel, logement chez l’habitant, camping, location de logement),

·      -  la restauration (restaurants, cafés, tables d’hôtes, sur le pouce),

·    - les loisirs (plage, activités sportives, aires de jeux, discothèques et cabarets),

·   - les achats (marchés de plein air, confiseries, gadgets, pétards, et feux d’artifice, contrefaçons, soldes d’été, rachat de métaux précieux),

·   - la santé (méthodes amincissantes, protection solaire, lunettes de soleil, appareils de bronzage, tatouages temporaires, préservatifs, boissons stimulantes).

 

Le 39 39 « Allô, service public » (coût d’une communication locale, à partir d’un téléphone fixe), centre d’appel unique, répond à toutes les questions des consommateurs du lundi au vendredi de 8h30 à 19h.

Pour en savoir plus

Été 2013 : les conseils vacances de la DGCCRF [format pdf, 2,46 Mo]

Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF)

Contacter la DGCCRF

Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF)

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR VOYAGE SECURITE
15 juin 2013 6 15 /06 /juin /2013 21:07

SI ON VOUS FORCE SOUS LA MENACE

 

A RETIRER DE L'ARGENT

 

A UN DISTRIBUTEUR AUTOMATIQUE

 

QUE FAUT-IL FAIRE ? 

 

Avis d'un technicien de ces petites machines : ça peut servir! 

 

Introduisez votre code pin A L'ENVERS (ex. si votre code est 1234, introduisez 4321).

La machine reconnaît votre code, mais sait que vous l'avez introduit volontairement à l'envers. 

De ce fait, la machine distribue l'argent demandé, mais elle bloque votre carte et avertit automatiquement la police. 

La police sait donc que vous êtes menacé et peut intervenir.

Cette information a été diffusée par la TV, mais il semble que peu de personnes soient au courant. 
 A diffuser largement autour de vous,

en espérant qu'ils n'en aient jamais besoin !

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