N'OUBLIEZ PAS D'ALLER CONSULTER
LES CAS GAGNES
PAR NOS ANTENNES
Vous désirez exprimer votre colère aprés une arnaque ou un litige qui pourrait intéresser l'ensemble des consommateurs
Envoyer votre message sur la messagerie : indecosacgt17@gmail.com, nous le mettrons dans notre rubrique "le coup de gueule du consommateur"
COMMUNIQUE DE PRESSE
INDECOSA CGT
ET LA FEDERATION CGT
BANQUE ET DE L' ASSURANCE
Banques et Assurances :
Macron et le gouvernement
se moquent ouvertement des particuliers !
Dans le cadre de la politique de soutien à l’économie suite à la crise sanitaire, le président de la République a annoncé, le 16 mars, un dispositif de garantie de l'Etat de 300 milliards d'euros pour des prêts accordés par les banques afin de répondre aux besoins de trésorerie des entreprises impactées par la crise du coronavirus.
Rappelons que ces prêts ne signifient pas que nous sommes aujourd’hui en régime d’économie administrée. Le patron de CONFORAMA, N°3 de l’ameublement français, vient de révéler que ses demandes de prêt garanti sont complètement ignorées par 4 banques françaises : HSBC, Crédit du Nord, LCL et BNP Paribas. 8 600 emplois disparaitront si CONFORAMA, entreprise viable, n’est pas financé rapidement. Combien d’entreprises et d’emplois sont aujourd’hui à la merci de la bonne volonté des banques ? Des centaines de milliers d’entreprises et des millions d’emplois.
Actuellement, la situation de millions de clients particuliers est totalement ignorée par Emmanuel Macron et son gouvernement. Eux aussi, sont abandonnés au bon vouloir des banques. La crise économique et sociale, à peine amorcée, va durer et s’aggraver. Elle va toucher plus particulièrement des millions de travailleurs très exposés (CDD, intérimaires, chômeurs de longue durée, indépendants, auto-entrepreneurs, jeunes diplômés en attente d'une première embauche ou en recherche d'un contrat d'alternance ...).
Ces millions de clients fragilisés, auxquels s’ajoutent près de 10 000 000 de chômeurs indemnisés à 84% de leurs salaires, n’ont pas vocation à alimenter les profits des banques sous forme d’agios majorés et de frais d’incidents bancaires à foison.
Précisons que cette absence de prise en considération, par l’Etat, de la situation financière dégradée de millions de clients est source de tensions et de crispations et se traduit déjà par des incivilités regrettables à l'égard des personnels en charge du front-office bancaire
Aussi, l’INDECOSA-CGT, en tant qu’association de consommateurs, et la Fédération des syndicats du personnel de la banque et de l'assurance (FSPBA CGT) exigent des pouvoirs publics qu’ils réunissent immédiatement les associations de consommateurs et de lutte contre l’exclusion avec les représentants de la banque et de l’assurance (patronat et syndicats).
38 000 000 de véhicules.
Contacts :
Valérie Lefebvre Haussmann (FSPBA CGT) : 06 87 10 31 90
Bernard FILLIAT (INDECOSA-CGT) : 06 88 55 20 79
Communiqué de presse commun FNME-CGT et INDECOSA CGT
POUR UNE INTERDICTION
DES COUPURES DURABLES
Le 1er novembre prochain sifflera le début de la trêve hivernale pour les expulsions locatives mais également, et pour la deuxième année, celle des coupures d’énergie (électricité, gaz, chaleur et eau).
Cette trêve hivernale interdit les coupures et la résiliation des contrats à l’initiative du fournisseur pour tous les consommateurs domestiques du 1er novembre au 15 mars de chaque année. Toutefois les professionnels étant exclus de cette trêve, les fournisseurs ont continué les coupures entraînant de nombreuses agressions d’agents d’ERDF ! Nous nous trouvons devant une nouvelle forme de précarité mais celle-ci concerne les PME et artisans. Cette situation va s’amplifier avec la fin de leurs tarifs réglementés qui aura des répercussions aussi bien sur l’emploi que sur les prix pour les consommateurs.
Le récent rapport de l’observatoire national de la précarité énergétique fait état de 11 millions de personnes en précarité énergétique. Nous faisons le constat que ce fléau est grandissant et que les dépenses d’énergie dans le budget des ménages occupent une part de plus en plus importante. Les dernières augmentations de gaz et d’électricité vont aggraver les difficultés que bon nombre de familles rencontrent pour honorer leurs factures.
Les taxes représentent 34 % de la facture d’électricité d’un ménage y compris pour les bénéficiaires du Tarif de Première Nécessité. En 5 ans, la CSPE qui sert en grande partie à financer les énergies renouvelables a augmenté de 330 %. Ce qui veut dire que les plus pauvres contribuent à la rémunération des plus aisés via les tarifs de rachat. La TVA sur l’énergie est de 20% comme sur un produit de luxe. La CGT propose d’agir immédiatement sur le kw/h électrique et gaz en ramenant la TVA à 5.5% comme sur les biens de première nécessité.
L’avancée sociale que constitue la trêve hivernale ne doit pas générer de difficultés supplémentaires comme des factures exorbitantes en fin de trêve. La FNME-CGT continue à revendiquer fortement une interdiction des coupures d’énergie tout au long de l’année pour les familles en situation de précarité.
Oui l’énergie est un produit de première nécessité et personne ne doit en être privé !
Le rôle de la puissance publique dans la lutte contre la précarité énergétique est un élément clé. Or, le projet de loi de transition énergétique qui amplifie la libéralisation du marché de l’électricité et du gaz ne peut que nous inquiéter. La mise en place du chèque énergie peut paraître une bonne mesure puisqu’il couvrira en plus des énergies de réseau, d’autres énergies comme le fuel, le bois, la chaleur. Mais ce chèque, (dont on ignore le montant) sera accompagné de la disparition des actuels tarifs sociaux en vigueur. Il risque donc fortement d’aggraver la précarité
La privatisation de l’énergie contribue d’augmenter l’exclusion de la société des plus pauvres mais aussi de nombreuses familles modestes. Le droit à l’énergie est un droit fondamental et aucun citoyen ne doit en être privé quelle que soit la période de l’année.
Interlocuteurs dossier :
FNME-CGT INDECOSA
Valérie GONCALVES Claude BRULEY
(06 64 67 77 15) (01 48 18 87 30)
« VIVRE DE SON SALAIRE,
C’EST VITAL »
Le Collectif ESE (Ethique sur l’Etiquette), dans lequel INDECOSA-CGT est partie prenante, lance cette semaine comme première phase de notre campagne salaire vital menée avec la CCC (Clean Clothes Campaign), nommée « Vivre de son salaire, c’est vital », une semaine d’action visant à obtenir un maximum de signatures à un Appel citoyen pour un salaire vital.
En résumé :
Ø Une semaine d’action visant à inciter les citoyen-ne-s à signer l’Appel citoyen pour un salaire vital
Ø L’idée est de recueillir un maximum de signatures et de mobiliser ensuite les signataires (et plus largement) dans le cadre de la campagne publique qui visera les marques et qu’INDECOSA CGT devra lancer en février-mars 2014. Les signataires sont ainsi inscrits à la newsletter d’INDECOSA CGT (explicitement indiqué lors de la signature)
Ø Cette 1ère phase de campagne est un temps de sensibilisation, des réseaux et du public, à la notion de salaire vital et à ses enjeux, et de communication auprès des média. Elle ne comprend pas encore d’action d’interpellation publique des marques et enseignes de l’habillement. Cette dernière interviendra lors du lancement de la campagne de plaidoyer en février mars 2014, sur la base du rapport d’enquête sur les pratiques des marques en matière de salaire, actuellement en cours de réalisation.
Ø Une série d’outils ont été produits et mutualisés par les plates-formes de la CCC, finalisés la semaine dernière en vue de cette semaine d’action, dont un film d’animation, et en plus du dossier spécial sur le salaire vital réalisé avec Altermondes :
· Appel citoyen en ligne :
<http://www.ethique-sur etiquette.org/spip.php?page=outil_mailing&id_article=354>
- en version papier pour les collectifs locaux :
<http://www.ethique-sur-etiquette.org/IMG/pdf/appel_citoyen__papier.pdf>
· Tract (en format PDF à imprimer) :
<http://www.ethique-sur-etiquette.org/IMG/pdf/tract_sv_x2_format_a4-2.pdf>
· Jeu en ligne pour inciter les jeunes à signer l’appel:
<http://genaaid-de-game.nl/staging.php?l=fr>
· Décomposition du prix d’un T-shirt :
<http://www.ethique-sur-etiquette.org/IMG/pdf/decompostion_prix_t-shirt.pdf>
· Film d’animation en français qui explique ce qu’est qu’un salaire vital et ce qu’est que l’Asia Floor wage : <https://vimeo.com/76606432>
· Film Cambodge, le salaire de la faim : <https://vimeo.com/49592343>
· Les 10 excuses les plus utilisées par les marques pour ne pas payer un salaire vital : <http://www.ethique-sur-etiquette.org/IMG/pdf/10_excuses-2.pdf>
· Altermondes, Vivre de son travail, est-ce trop demander ?
L’ensemble de ces outils (sauf Altermondes) sont déjà en ligne sur la page consacrée à la campagne http://www.ethique-sur-etiquette.org/-Vivre-de-son-travail-c-est-vital-83-%3E
Ø L’action consiste à diffuser massivement l’Appel citoyen via e-mails, réseaux sociaux etc. La SSI (la Semaine de la Solidarité Internationale) sera une autre occasion de diffuser l’Appel.
Communiqué de presse
Paris, le 21 mars 2013
21 mars 2013
SUCCES DE L’ACTION
DES AGENTS DE LA DGCCRF
PRES D’UN AGENT SUR DEUX EN GREVE
APPEL A POURSUIVRE LA MOBILISATION
S’inscrivant dans un processus d'action unitaire initié dans les services depuis plusieurs mois, les personnels CCRF ont massivement répondu à l’appel en participant à la journée de grève du 21 mars 2013 lancé par l’Intersyndicale SOLIDAIRES, CFDT, CGT et FO.
Avec un taux de participation de 44 % les agents ont démontré leur détermination et leur volonté d’en finir avec les réformes régressives RGPP/REATE néfastes pour la DGCCRF et ses missions de service public mais aussi pour les consommateurs et pour l’intérêt général.
Dans chaque ville, dans chaque département, ils ont organisé des initiatives et des actions destinées à populariser leur mouvement : distribution de tracts aux consommateurs en centre-ville, interpellation des élus, communiqués de presse …
L’Intersyndicale qui se félicite de cette très forte mobilisation considère que ce premier succès en appelle d’autres ; elle réitère son appel aux personnels CCRF où qu’ils se trouvent, dans les Laboratoires, les SCN, le SNE, la DG, les DIRECCTE et les DDI à se rassembler à Paris le 6 avril 2013 afin d'obtenir :
- la sortie de la DGCCRF du dispositif de la RÉATE et la fin de la RGPP
- les moyens nécessaires aux services de contrôle pour assurer les missions (contrôle économique /protection économique des consommateurs).
- des droits et des garanties collectives des agents,
Les organisations syndicales appellent à poursuivre avec détermination dans cette voie.
Rendez-vous est pris le 6 avril 2013 :
Manifestation nationale à Paris
pour un véritable service de contrôle économique !
Contacts :
SOLIDAIRES : Emmanuel Paillusson 01.43.56.13.30 - 06.66.28.91.92
CFDT : Patrice RIO – 06. 62.40.58.82.
CGT : Brigitte BIDAULT ou Stéphane ROUZIER : 01.53.44.21.54-55 et 56
FO : Michel GARCIN O1.42.46.94.42 - 06.80.03.63.51
« SCANDALE DES LASAGNES AU CHEVAL »
MAFIAVIANDE
Avec les lasagnes et autres produits surgelés à la viande de cheval, un énième scandale discrédite une nouvelle fois l’agrobusiness.
Le gouvernement, dans sa promptitude à vouloir démontrer qu’il ne s’agit pas d’un problème sanitaire, cautionne de fait la dérive mafieuse connue de tous, qui existe dans le secteur des viandes depuis de nombreuses années.
Notre organisation rappelle que tous les jours des militants subissent la répression syndicale, le chantage, les coups fourrés, les attaques physiques, pour éviter que de telles tromperies ne se développent. Notre camarade Patrick Boudet faillit y perdre la vie, il y a quelques années.
Encore une fois, les salariés et les consommateurs vont payer les stratégies et méfaits des patrons. C’est au nom de la concurrence libre et non faussée que l’Europe du capital a produit une multitude de crises sanitaires et a développé une « malbouffe » généralisée. Toutes ces « affaires » ont comme point commun la recherche du maximum de profits dans les plus courts laps de temps. Comme nous pouvons le constater, de telles politiques conduisent à des dérives mafieuses, tolérées, acceptées ou utilisées par les sociétés capitalistes et les coopératives de la filière.
Le patronat des industries agroalimentaires, qui connaît les réseaux et circuits douteux qu’empruntent les viandes en Europe, est d’autant plus responsable de la situation qu’il refuse toujours une traçabilité sans faille indiquant la provenance des matières premières agricoles. La grande distribution qui « fixe » le cahier des charges pour l’industrie de la transformation, ne peut pas jouer la « vierge effarouchée » et prétendre ne pas connaître les conséquences de ces pratiques de dumping social. Une nouvelle fois la question de la réforme de la Loi de Modernisation de l’Economie (LME), chère à Sarkozy est posée.
Après les scandales de la vache folle, de la fièvre porcine, du poulet à la dioxine…, après les catastrophes économiques et sociales qui affectent l’agriculture et l’industrie agroalimentaire, qu’attend le gouvernement pour prendre les dispositions qui s’imposent, notamment de reconstruire de véritables services publics. Il semble plus prompt à accepter les restructurations et à condamner les salariés au chômage.
Ce n’est pas dans le soutien des stratégies patronales, de dumping social, de la casse du secteur agricole et agroalimentaire, de la remise en cause des acquis sociaux que se trouve la solution. Au contraire, c’est le dumping social qui structure les réseaux et filières opaques et occultes. Comment s’étonner que dans le « scandale des lasagnes au cheval », nous trouvons de nombreux intermédiaires dans différents pays d’Europe. Ce n’est pas en se voilant la face que le gouvernement apportera les réponses qu’attendent les salariés et les consommateurs. Il sait bien que ces trafics existent aussi dans le porc, la volaille, le boeuf... Et pour les mêmes raisons…
La CGT rappelle ses revendications pour lutter contre la mafiaviande :
La sauvegarde de tous les emplois, l’amélioration des conditions de salaire et de travail, des droits nouveaux pour les salariés.
Les CHSCT doivent avoir des prérogatives et des moyens renforcés pour garantir la qualité sanitaire des aliments.
Des mesures urgentes doivent être prises pour un développement des filières viandes en amont et en aval, de l’élevage à l’abattage, en passant par la transformation et la commercialisation avec la mise en place d’une traçabilité sans faille.
La reconquête du marché intérieur est une des garanties de la suppression des réseaux et intermédiaires douteux.
Une « renationalisation » maitrisée de notre politique agricole et la définition d’orientations solidaires pour la Politique Agricole Commune (PAC), s’imposent comme des exigences incontournables, ainsi que des politiques et une maîtrise publiques de développement de l’agriculture française et du potentiel industriel de transformation agroalimentaire.
Une maîtrise publique, de la commune à la nation, des filières viandes est urgente.
L’agriculture, l’alimentation doivent être soustraites des logiques du tout profit et de l’agrobusiness.
Communiqué de presse de la Fédération Nationale Agroalimentaire et Forestière
Montreuil, Le 12 février 2013
SOLIDARITE AVEC LA POPULATION PALESTINIENNE
Fin novembre, les raids israéliens et les tirs de roquette du Hamas dans la bande de Gaza, au moment où la Palestine obtenait le statut de membre observateur à l’Assemblée Générale de l’ONU, ont frappé une nouvelle fois les populations civiles déjà durement éprouvées par cinq années de blocus.
La Cgt, qui a fermement condamné cette reprise des hostilités, et L’Avenir social, son association de solidarité, en lien avec la Palestinian General Fédération of Trade Unions (PGFTU), ont décidé de lancer un appel financier à la solidarité.
Les dons sont à adresser à :
L’Avenir social
"Solidarité Palestine"
263, Rue de Paris - Case 419
93154 Montreuil Cedex
Un reçu sera envoyé à chaque donateur
LOGEMENT SOCIAL
OUI A LA MOBILISATION DU 1 % LOGEMENT
NON A SA SPOLIATION !
lundi 12 novembre 2012
La CGT approuve la volonté de « construire plus » et souscrit à un effort supplémentaire de construction de logements demandé à Action Logement.
Pour autant cela ne peut masquer le désengagement financier de l’État qui se traduirait, à terme, par une accessibilité au logement social de plus en plus problématique pour le plus grand nombre et par des loyers inabordables pour la majeure partie des ménages ; deux des caractéristiques qui sont celles de la crise du logement aujourd’hui.
L’accord conclu entre Action Logement et le gouvernement est à la fois un habile trompe l’œil et la lecture en creux d’une politique de désengagement financier de l’État qui perdure malgré le changement de gouvernement. La loi de finances 2013 pour le volet logement est en baisse de 400 Millions d’euros, et ne peut répondre à l’ambition de 150 000 logements sociaux nouveaux à construire par an.
A y regarder de près, la lettre d’engagement augmente le montant du prélèvement de l’État sur le « 1 % logement » et le prolonge avec pour menace, faute de ressources suffisantes, la disparition à terme pure et simple d’Action Logement au service des salarié-e-s pour l’accès et le maintien dans le logement.
Elle va également à l’encontre de l’objectif de mixité sociale en limitant les prêts à l’association Foncière Logement, rendant impossible toute opération dans le cadre de la rénovation urbaine. Elle favorise la marchandisation du logement social en permettant à Action Logement de vendre son parc pour dégager des ressources nouvelles d’investissement.
1 million de salarié-e-s bénéficiant des produits d’Action Logement en 2009, 660 000 en 2011 et au mieux 500 000 en 2013, voilà la réalité de la lettre d’engagement que la CGT n’a pas cautionnée, tout en proposant d’autres choix.
La CGT continuera à œuvrer au sein d’Action Logement et avec ses syndicats dans les entreprises et les territoires pour que l’accès et le maintien dans le logement soit un droit effectif pour l’ensemble des salarié-e-s ; pour que le salaire socialisé ne soit pas détourné de sa finalité initiale.
Pour la CGT, l’urgence demeure de donner vie à l’accord historique signé en 2012 par tous les acteurs sociaux, syndicats et patronat, afin de participer à la production de 100 000 logements par an à partir des besoins recensés dans les bassins d’emploi. Le retour à une relation de confiance, apaisée et respectueuse de chacune des parties passe par la prise en compte par le gouvernement d’un dialogue social réel et non l’accord sous la contrainte.