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LES CAS GAGNES

PAR NOS ANTENNES

DANS LA RUBRIQUE
"DOSSIERS GAGNES"


LE COUP DE GUEULE DU CONSOMMATEUR

Vous désirez  exprimer votre colère aprés une arnaque ou un litige qui pourrait intéresser l'ensemble des consommateurs

Envoyer votre message sur la messagerie : indecosacgt17@gmail.com, nous le mettrons dans notre rubrique "le coup de gueule du consommateur"

24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 17:40

LES USAGERS  ABONNES AU TARIF BLEU (REGLEMENTE) DE FOURNITURE D'ELECTRICITE SUBISSENT UNE REGULARISATION TARIFAIRE

 

Cette régularisation tarifaire est issue d’un arrêté ministériel publié au Journal Officiel le 31 juillet 2014.

 

En juillet 2012, les pouvoirs publics ont fait évoluer les Tarifs Réglementés de Vente (TRV) de l’électricité de + 2 % HT en moyenne pour tous les consommateurs d’électricité au Tarif Bleu (règlementé). Cette évolution concernait la période du 23 juillet 2012 au 31 juillet 2013.

 

Le 11 avril 2014, après un recours de L’Association Nationale des Opérateurs Détaillants en Énergie (A.N.O.D.E) qui regroupe les fournisseurs alternatifs : Planète OUI et Poweo Direct Energie, le Conseil d’Etat a estimé que la hausse de 2012 était insuffisante pour couvrir les coûts d’électricité, et a enjoint aux ministres de prendre un nouvel arrêté tarifaire.

 

En application de la décision du Conseil d’Etat, les pouvoirs publics ont alors décidé une augmentation supplémentaire et rétroactive de 5 % HT en moyenne pour les clients au Tarif Bleu, pour la période du 23 juillet 2012 au 31 juillet 2013.

 

Un arrêté ministériel a été publié au Journal Officiel le 31 juillet 2014, suivant l’avis favorable émis par la CRE en juillet 2014. Celui-ci s’applique aux clients qui avaient un contrat au Tarif Bleu durant cette période.

 

Cette régularisation est :

 

  • calculée en fonction de l'abonnement et de la consommation de chaque client sur la période du 23 juillet 2012 au 31 juillet 2013,

 

  • échelonnée entre à partir de mars 2015.

 

A noter : le Tarif Bleu fait partie des Tarifs Réglementés de Vente (TRV) fixés chaque année par les ministres chargés de l’énergie et de l’économie, après avis de la CRE. La plupart des clients d’EDF ont souscrit ce tarif.

 

Cette régularisation concerne l’ensemble des clients ayant eu un contrat au Tarif Bleu, tarif réglementé fixé par l’Etat, entre le 23 juillet 2012 et le 31 juillet 2013.

 

L’arrêté ministériel impose une égalité de traitement et s’applique donc à tous les clients, quelque soit le montant de leur facture.

 

Le montant de cette régularisation représente la différence entre les prix fixés par le nouvel arrêté ministériel publié le 31 juillet 2014 et ceux qu’EDF avait facturés sur la période. Il est calculé en fonction de L'abonnement et de la consommation.

Il représente 5 % du montant total HT facturé sur cette période.

 

La régularisation n’est soumise qu’à la TVA, soit 19,6 % sur la part consommation, et 5,5 % sur la part abonnement. Les autres taxes qui apparaissent habituellement sur ma facture d’électricité (CSPE, CTA, TCFE) ont déjà été payées : elles ne s’appliquent pas à la régularisation.

 

Entre juillet 2012 et juillet 2013, la facture moyenne d'un client s'élevait à 700 € TTC. Cela représente une régularisation moyenne de 30 € TTC.

 

 

 

Montreuil, le 24 mars 2015

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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 19:23

LOGEMENT ET TRAVAUX :

LE GUIDE EN LIGNE DES AIDES FINANCIERES 2015

 

Crédit d’impôt, éco-prêt à taux zéro, TVA à taux réduit, exonération de taxe foncière... Pour tout comprendre sur les aides financières 2015 en matière de rénovation de logement, retrouvez en ligne le guide édité par le ministère de l’Écologie et l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe).

Ce guide détaille notamment les différentes aides financières existantes :

crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE) qui permet de déduire de l’impôt sur le revenu 30 % des dépenses réalisées pour certains travaux (chaudière à condensation, appareils de régulation et de programmation du chauffage, compteur individuel pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire dans les copropriétés, isolation thermique des parois opaques ou des parois vitrées...),

  • éco-prêt à taux zéro servant à financer également certains travaux,
  • TVA au taux réduit de 5,5 % pour les travaux d’installation de matériaux et d’équipements éligibles au CITE,
  • programme « Habiter mieux » de l’Agence nationale de l’habitat (Anah) accessible sous certaines conditions (plafonds de ressources, type de logement, liste de travaux éligibles),
  • aides des fournisseurs d’énergie (primes, prêts bonifiés, diagnostics),
  • exonération partielle ou totale de taxe foncière,
  • aides des collectivités locales,

 

Attention, les travaux entrepris doivent respecter à la fois des caractéristiques techniques et des critères de performances minimales (matériaux d’isolation thermique des parois opaques, isolation thermique des parois vitrées, des portes d’entrée donnant sur l’extérieur et des volets roulants, types de chaudière, pompes à chaleur, calorifugeage...).

 

À noter : pour toute question supplémentaire, vous pouvez contacter le 0 810 140 240 (prix d’un appel local depuis un poste fixe) ou consulter le site www.renovation-info-service.gouv.fr.

Sur Service-public.fr

Aides et prêts pour l’amélioration de l’habitat

Pour en savoir plus

Le guide « Aides financières 2015 » est en ligne [format pdf, 1,17 Mo]

Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe)

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR LOGEMENT TRAVAUX
19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 19:21

EAU POTABLE :

MIEUX COMPRENDRE VOTRE CONTRAT

ET VOS FACTURES

 

Vous vous posez des questions sur votre contrat de fourniture en eau potable ou sur votre dernière facture d’eau ? La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) vous répond avec un petit fascicule explicatif qui intègre les dispositions issues de la loi sur la consommation du 17 mars 2014.

Un contrat de fourniture en eau potable doit définir les conditions de distribution et fixer des obligations réciproques entre le distributeur et l’abonné, certaines clauses étant interdites (notamment celles réclamant un dépôt de garantie ou déterminant une durée minimum du contrat). Le document de la DGCCRF détaille aussi les informations obligatoires qui doivent être présentes sur une facture :

  • période de facturation, ancien et nouvel index, numéro de téléphone en cas d’urgence...
  • rubriques concernant la « distribution de l’eau » et la « collecte et traitement des eaux usées » précisant la part fixe (abonnement) et la part variable (liée au volume d’eau consommé),
  • informations relatives aux « prélèvements des organismes publics » (redevances reversées aux Agences de l’eau et, le cas échéant, aux Voies navigables de France).

Ce fascicule qui fournit aussi quelques repères juridiques indique enfin à qui adresser d’éventuelles réclamations.

Sur Service-public.fr

Aide financière pour la distribution de l’eau

Pour en savoir plus

DGCCRF - Eau potable : comment décrypter les contrats et les factures ?

Portail de l'Économie et des Finances

L’eau potable et l’assainissement

Eau France

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6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 20:13

SYNDIC DE COPROPRIETE

 

Je fais partie d’un groupe de copropriétaires mécontents de leur syndic. Malgré tout, nous redoutons une procédure compliquée et coûteuse pour nous en séparer. Quels conseils pouvez-vous nous donner ?

 

Les syndics de copropriété traînent souvent une mauvaise réputation. Les abus de la profession sont régulièrement dénoncés par les associations de consommateurs et les copropriétaires. La mauvaise gestion et le coût prohibitif sont les deux principaux griefs qui sont faits. Comme beaucoup de copropriétaires, vous hésitez à la changer, mais rassurez-vous, ce n’est pas si compliqué. Il suffit de respecter les délais et les procédures.

 

Quand le changer ?

La solution la plus simple consiste à ne pas renouveler le mandat du syndic lors de l’assemblée générale annuelle. La copropriété n’aura alors aucun motif à invoquer à condition d’attendre la fin du mandat. La révocation en cours de mandat est possible, mais risquée. Le syndic pourrait réclamer des dommages et intérêts pour rupture abusive de son contrat en l’absence de motifs grave ou sérieux (inactivité importante, négligence grave…).

 

Comment s’y préparer ?

            Avant toute chose, ceux qui militent pour le changement du syndic doivent s’assurer qu’ils sont majoritaires, car la désignation ou la révocation d’un syndic se fait à la majorité absolue de tous les copropriétaires (article 25 de la loi du 10 juillet 1965). Si un vote majoritaire ne se dégageait pas, le syndic pourrait décider de claquer la porte ; la copropriété serait alors contrainte de faire nommer un  administrateur provisoire par le tribunal de grande instance, ce qui entraînerait des coûts importants et un risque de guerre ouverte entre les deux camps de copropriétaires.

            Si une majorité se dessine clairement pour non-renouvellement du syndic, le conseil syndical (les représentants des copropriétaires) doit démarcher plusieurs cabinets susceptibles de prendre le relais afin d’obtenir une ou plusieurs propositions de contrats de gestion.

 

Quelles formalités respecter ?

            Le changement du syndic et le remplacement doivent figurer à l’ordre du jour de l’assemblée générale. Pour tenir compte des délais de convocation, il est conseillé d’envoyer cette demande au moins deux mois avant la tenue de l’assemblée générale par lettre recommandée avec accusé de réception, sans oublier d’y joindre le ou les contrats des cabinets sélectionnées. Autre précaution : éviter d’organiser la séance dans les bureaux du syndic, car une fois le renouvellement voté, les copropriétaires risquent de se retrouver dehors, priés de quitter les lieux.

 

Le passage de relais

            La loi Alur du 24 mars 2014 modifie certaines règles. Désormais, la mise en concurrence est obligatoire avant la désignation d’un nouveau syndic dans une copropriété dotée d’un conseil syndical.

En conséquence, le syndic en place doit respecter un préavis de 3 mois avant de démissionner, comme le veut la procédure. Par ailleurs, les tâches de gestion courante comprises dans le forfait de base du syndic ne seront plus listées.

Les prestations additionnelles pouvant donner lieu à honoraires supplémentaires seront prévues par décret. La nouvelle répartition s’appliquera à partir de mars 2015.

L’ancien syndic a un mois pour transmettre gratuitement à son successeur les documents de la copropriété et les fonds disponibles (le solde des fonds et l’état des comptes dans les deux mois). Si l’ancien syndic traîne les pieds, son successeur peut demander au tribunal de grande instance d’ordonner sous astreinte la restitution des pièces manquantes.

 

Avez-vous pensé au syndic bénévole ?

            Ils sont plus de 50 000 dans ce cas en France et le chiffre ne fait qu’augmenter. Très souvent, ce sont les petites copropriétés de moins de 30 lots qui optent pour un syndic bénévole pour faire des économies. Mais attention, la fonction est exigeante et demande de la disponibilité. Elle peut nécessiter une formation particulière pour se formaliser avec les appels d’offres, la comptabilité, la gestion des impayés. Responsable de la gestion de la copropriété, le syndic bénévole doit souscrire une assurance civile professionnelle (RCP). Il faut également une protection juridique qui peut permettre de payer les frais d’avocats occasionnés par un procès qui lui intenteraient des fournisseurs en cas d’impayés. Le syndic bénévole est élu par l’assemblée générale des copropriétaires. Il a un contrat d’une durée d’un  an renouvelable.

Arnaud FAUCON

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR LOGEMENT
5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 17:55

DEDUCTION DES FRAIS REELS :

LES BAREMES KILOMETRIQUES 2015

 

Les nouveaux barèmes kilométriques applicables aux voitures, motocyclettes et cyclomoteurs viennent d’être publiés au Journal officiel du samedi 28 février 2015. En se basant sur ces barèmes, les salariés peuvent évaluer leurs dépenses durant leurs déplacements et demander aux services fiscaux la déduction de leurs frais réels pour l’impôt 2015 sur les revenus 2014.

DEDUCTION DES FRAIS REELS : LES BAREMES KILOMETRIQUES 2015

Exemple : pour 4 000 kilomètres parcourus à titre professionnel en 2014 avec un véhicule de 6 CV, le contribuable peut faire état, en 2015, d’un montant de frais réels égal à 2 272 euros (4 000 km x 0,568).

Ces barèmes sont calculés en fonction de la puissance du véhicule et du nombre de kilomètres parcourus. Ils prennent en compte notamment la dépréciation du véhicule, les frais d’achat des casques et des protections, les frais de réparation et d’entretien, les dépenses de pneumatiques, la consommation de carburant et les primes d’assurances. Ces frais de déplacement concernent en particulier le transport du domicile au lieu de travail et le transport pendant les horaires de travail.

Sur Service-public.fr

Impôt sur le revenu : déductions, réductions et crédits d’impôt

Pour en savoir plus

Arrêté fixant le barème forfaitaire permettant l’évaluation des frais de déplacement relatifs à l’utilisation d’un véhicule par les bénéficiaires de traitements et salaires optant pour le régime des frais réels déductibles

Légifrance, le service public de la diffusion du droit

Impots.gouv.fr - Impôt sur le revenu

Ministère des Finances et des Comptes publics

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR IMPOTS AUTOMOBILE
27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 10:17

BAREME DE L’IMPOT 2015

CE QUI CHANGE

 

La loi de finances 2015 a modifié le barème de l’impôt 2015 (sur les revenus 2014) avec notamment :
- l’augmentation des tranches d’imposition de 0,5 %,
- la suppression de la tranche à 5,5 %,
- l’abaissement du seuil de la tranche à 14 %, de 11 991 euros à 9 690 euros.

 

BAREME DE L’IMPOT 2015  CE QUI CHANGE
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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR IMPOTS
27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 06:01

LES DETECTEURS DE FUMEE SONT-ILS EXIGES DANS VOTRE CONTRAT D’ASSURANCE ?

 

À partir du 9 mars 2015, les maisons et les appartements doivent être équipés d’au moins un détecteur de fumée. Mais l’assurance peut-elle vous sanctionner si vous n’êtes pas équipés ? Service-Public vous répond.

 

Si cet équipement est effectivement obligatoire, votre société d’assurance ne peut pas vous sanctionner en cas de non installation de détecteur. En revanche, elle peut vous inciter à le faire en vous accordant une réduction sur votre prime ou en vous faisant bénéficier d’offre pour vous en équiper.

 

En cas d’incendie, si vous avez souscrit une garantie contre ce risque, votre logement est donc couvert que vous ayez installé un détecteur ou pas.

 

À noter : si votre logement est équipé d’un détecteur de fumée, vous pouvez le déclarer à votre assureur.

Sur Service-public.fr

Installation de détecteur de fumée

Déclarer à son assureur l’installation de son détecteur de fumée

Assurance : indemnisation en cas d’incendie ou d’explosion

Pour en savoir plus

Arrêté du 5 février 2013 relatif au détecteur de fumée

Légifrance, le service public de la diffusion du droit

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR ASSURANCE LOGEMENT SECURITE
26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 20:25

SNCF : LE PRIX DES AMENDES AUGMENTE

A PARTIR DU 2 MARS 2015

 

Dans le cadre du renforcement de la lutte contre la fraude, la SNCF a décidé d’augmenter les montants de ses amendes à partir du lundi 2 mars 2015.

Si le voyageur signale spontanément son irrégularité au contrôleur

  • pour les billets sans réservation obligatoire, il faudra payer :

7 euros + le prix du billet (trajets de moins de 150 km),

15 euros + le prix du billet (trajets de plus de 150 km).

  • pour les billets avec réservation obligatoire, il faudra payer :

15 euros + le prix du billet.

Si le voyageur en situation irrégulière est identifié au cours d’un contrôle

  • en cas de régularisation à bord et de paiement immédiat, il faudra régler :

50 euros (trajets de moins de 150 km),

50 euros + le prix du billet (trajets de plus de 150 km).

  • en cas de non-régularisation à bord et d’établissement d’un procès-verbal, il faudra régler sous 2 mois :

jusqu’à 88 euros (trajets de moins de 150 km),

jusqu’à 88 euros + le prix du billet (trajets de plus de 150 km).

au-delà de 2 mois, le dossier est transmis au Trésor public et un paiement de 375 euros est exigé.

 

À noter : en cas de fraude, vous risquez également de devoir descendre du train si vous ne régularisez pas tout de suite votre situation.

Sur Service-public.fr

Cartes de transport

Pour en savoir plus

Évolutions des montants de régularisation pour absence de billet à partir du 2 mars 2015 [format pdf, 557,83 Ko]

Société nationale des chemins de fer français (SNCF)

SNCF se mobilise pour faire reculer la fraude - Dossier de presse [fomat pdf, 2,31 Mo]

Société nationale des chemins de fer français (SNCF)

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR TRANSPORT
26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 20:22

LOGEMENTS INDECENTS : QUAND LES ORGANISMES PAYEURS NE VERSENT PLUS LES ALLOCATIONS DE LOGEMENT

 

Un décret publié au Journal officiel du vendredi 20 février 2015 vise à inciter les propriétaires-bailleurs de logements indécents à effectuer les travaux nécessaires à leur mise en conformité. Il fixe :

  • les modalités de conservation de l’allocation de logement sociales (ALS) et familiales (ALF) par les organismes payeurs,
  • les cas dans lesquels un renouvellement du délai de conservation (6 mois, renouvelable une fois) peut être accordé,
  • les conditions d’habilitation des organismes chargés de constater la non-décence d’un logement,
  • et les cas de maintien des dérogations à la condition de décence du logement en question.

 

En effet, tant que les travaux ne sont pas effectués, les allocations ne sont donc pas versées au propriétaire. Durant cette période, le locataire n’est redevable que de la part de loyer résiduelle, c’est-à-dire celle non couverte par l’allocation. Si, à l’expiration d’un délai maximal de 18 mois (qui peut être prolongé encore de 12 mois supplémentaires dans certaines situations), les travaux n’ont pas été réalisés, l’allocation conservée est définitivement perdue pour le bailleur, qui ne peut alors demander au locataire le paiement de la part de loyer non perçue correspondant au montant de l’allocation conservée.

 

À noter : ce décret fait suite à la loi du 24 mars 2014 pour l’accès au logement et un urbanisme rénové (loi « Alur »).

Sur Service-public.fr

Allocation de logement familiale (ALF)

Allocation de logement sociale (ALS)

Pour en savoir plus

Décret relatif aux allocations de logement

Légifrance, le service public de la diffusion du droit

Modalités de maintien et de conservation de l’allocation de logement (AL) par l’organisme payeur en cas de non-décence du logement

Agence nationale pour l’information sur le logement (Anil)

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 19:55

GENERALISATION DU TIERS PAYANT :

UNE MESURE JUSTE POUR COMBATTRE

LE RENONCEMENT AUX SOINS.

GENERALISATION DU TIERS PAYANT :  UNE MESURE JUSTE POUR COMBATTRE LE RENONCEMENT AUX SOINS.
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