Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

COMPTEUR

Recherche

N'OUBLIEZ PAS D'ALLER CONSULTER

LES CAS GAGNES

PAR NOS ANTENNES

DANS LA RUBRIQUE
"DOSSIERS GAGNES"


LE COUP DE GUEULE DU CONSOMMATEUR

Vous désirez  exprimer votre colère aprés une arnaque ou un litige qui pourrait intéresser l'ensemble des consommateurs

Envoyer votre message sur la messagerie : indecosacgt17@gmail.com, nous le mettrons dans notre rubrique "le coup de gueule du consommateur"

19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 19:21

EAU POTABLE :

MIEUX COMPRENDRE VOTRE CONTRAT

ET VOS FACTURES

 

Vous vous posez des questions sur votre contrat de fourniture en eau potable ou sur votre dernière facture d’eau ? La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) vous répond avec un petit fascicule explicatif qui intègre les dispositions issues de la loi sur la consommation du 17 mars 2014.

Un contrat de fourniture en eau potable doit définir les conditions de distribution et fixer des obligations réciproques entre le distributeur et l’abonné, certaines clauses étant interdites (notamment celles réclamant un dépôt de garantie ou déterminant une durée minimum du contrat). Le document de la DGCCRF détaille aussi les informations obligatoires qui doivent être présentes sur une facture :

  • période de facturation, ancien et nouvel index, numéro de téléphone en cas d’urgence...
  • rubriques concernant la « distribution de l’eau » et la « collecte et traitement des eaux usées » précisant la part fixe (abonnement) et la part variable (liée au volume d’eau consommé),
  • informations relatives aux « prélèvements des organismes publics » (redevances reversées aux Agences de l’eau et, le cas échéant, aux Voies navigables de France).

Ce fascicule qui fournit aussi quelques repères juridiques indique enfin à qui adresser d’éventuelles réclamations.

Sur Service-public.fr

Aide financière pour la distribution de l’eau

Pour en savoir plus

DGCCRF - Eau potable : comment décrypter les contrats et les factures ?

Portail de l'Économie et des Finances

L’eau potable et l’assainissement

Eau France

Partager cet article
Repost0
Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR EAU
6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 20:13

SYNDIC DE COPROPRIETE

 

Je fais partie d’un groupe de copropriétaires mécontents de leur syndic. Malgré tout, nous redoutons une procédure compliquée et coûteuse pour nous en séparer. Quels conseils pouvez-vous nous donner ?

 

Les syndics de copropriété traînent souvent une mauvaise réputation. Les abus de la profession sont régulièrement dénoncés par les associations de consommateurs et les copropriétaires. La mauvaise gestion et le coût prohibitif sont les deux principaux griefs qui sont faits. Comme beaucoup de copropriétaires, vous hésitez à la changer, mais rassurez-vous, ce n’est pas si compliqué. Il suffit de respecter les délais et les procédures.

 

Quand le changer ?

La solution la plus simple consiste à ne pas renouveler le mandat du syndic lors de l’assemblée générale annuelle. La copropriété n’aura alors aucun motif à invoquer à condition d’attendre la fin du mandat. La révocation en cours de mandat est possible, mais risquée. Le syndic pourrait réclamer des dommages et intérêts pour rupture abusive de son contrat en l’absence de motifs grave ou sérieux (inactivité importante, négligence grave…).

 

Comment s’y préparer ?

            Avant toute chose, ceux qui militent pour le changement du syndic doivent s’assurer qu’ils sont majoritaires, car la désignation ou la révocation d’un syndic se fait à la majorité absolue de tous les copropriétaires (article 25 de la loi du 10 juillet 1965). Si un vote majoritaire ne se dégageait pas, le syndic pourrait décider de claquer la porte ; la copropriété serait alors contrainte de faire nommer un  administrateur provisoire par le tribunal de grande instance, ce qui entraînerait des coûts importants et un risque de guerre ouverte entre les deux camps de copropriétaires.

            Si une majorité se dessine clairement pour non-renouvellement du syndic, le conseil syndical (les représentants des copropriétaires) doit démarcher plusieurs cabinets susceptibles de prendre le relais afin d’obtenir une ou plusieurs propositions de contrats de gestion.

 

Quelles formalités respecter ?

            Le changement du syndic et le remplacement doivent figurer à l’ordre du jour de l’assemblée générale. Pour tenir compte des délais de convocation, il est conseillé d’envoyer cette demande au moins deux mois avant la tenue de l’assemblée générale par lettre recommandée avec accusé de réception, sans oublier d’y joindre le ou les contrats des cabinets sélectionnées. Autre précaution : éviter d’organiser la séance dans les bureaux du syndic, car une fois le renouvellement voté, les copropriétaires risquent de se retrouver dehors, priés de quitter les lieux.

 

Le passage de relais

            La loi Alur du 24 mars 2014 modifie certaines règles. Désormais, la mise en concurrence est obligatoire avant la désignation d’un nouveau syndic dans une copropriété dotée d’un conseil syndical.

En conséquence, le syndic en place doit respecter un préavis de 3 mois avant de démissionner, comme le veut la procédure. Par ailleurs, les tâches de gestion courante comprises dans le forfait de base du syndic ne seront plus listées.

Les prestations additionnelles pouvant donner lieu à honoraires supplémentaires seront prévues par décret. La nouvelle répartition s’appliquera à partir de mars 2015.

L’ancien syndic a un mois pour transmettre gratuitement à son successeur les documents de la copropriété et les fonds disponibles (le solde des fonds et l’état des comptes dans les deux mois). Si l’ancien syndic traîne les pieds, son successeur peut demander au tribunal de grande instance d’ordonner sous astreinte la restitution des pièces manquantes.

 

Avez-vous pensé au syndic bénévole ?

            Ils sont plus de 50 000 dans ce cas en France et le chiffre ne fait qu’augmenter. Très souvent, ce sont les petites copropriétés de moins de 30 lots qui optent pour un syndic bénévole pour faire des économies. Mais attention, la fonction est exigeante et demande de la disponibilité. Elle peut nécessiter une formation particulière pour se formaliser avec les appels d’offres, la comptabilité, la gestion des impayés. Responsable de la gestion de la copropriété, le syndic bénévole doit souscrire une assurance civile professionnelle (RCP). Il faut également une protection juridique qui peut permettre de payer les frais d’avocats occasionnés par un procès qui lui intenteraient des fournisseurs en cas d’impayés. Le syndic bénévole est élu par l’assemblée générale des copropriétaires. Il a un contrat d’une durée d’un  an renouvelable.

Arnaud FAUCON

Partager cet article
Repost0
Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR LOGEMENT
5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 17:55

DEDUCTION DES FRAIS REELS :

LES BAREMES KILOMETRIQUES 2015

 

Les nouveaux barèmes kilométriques applicables aux voitures, motocyclettes et cyclomoteurs viennent d’être publiés au Journal officiel du samedi 28 février 2015. En se basant sur ces barèmes, les salariés peuvent évaluer leurs dépenses durant leurs déplacements et demander aux services fiscaux la déduction de leurs frais réels pour l’impôt 2015 sur les revenus 2014.

DEDUCTION DES FRAIS REELS : LES BAREMES KILOMETRIQUES 2015

Exemple : pour 4 000 kilomètres parcourus à titre professionnel en 2014 avec un véhicule de 6 CV, le contribuable peut faire état, en 2015, d’un montant de frais réels égal à 2 272 euros (4 000 km x 0,568).

Ces barèmes sont calculés en fonction de la puissance du véhicule et du nombre de kilomètres parcourus. Ils prennent en compte notamment la dépréciation du véhicule, les frais d’achat des casques et des protections, les frais de réparation et d’entretien, les dépenses de pneumatiques, la consommation de carburant et les primes d’assurances. Ces frais de déplacement concernent en particulier le transport du domicile au lieu de travail et le transport pendant les horaires de travail.

Sur Service-public.fr

Impôt sur le revenu : déductions, réductions et crédits d’impôt

Pour en savoir plus

Arrêté fixant le barème forfaitaire permettant l’évaluation des frais de déplacement relatifs à l’utilisation d’un véhicule par les bénéficiaires de traitements et salaires optant pour le régime des frais réels déductibles

Légifrance, le service public de la diffusion du droit

Impots.gouv.fr - Impôt sur le revenu

Ministère des Finances et des Comptes publics

Partager cet article
Repost0
Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR IMPOTS AUTOMOBILE
27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 10:17

BAREME DE L’IMPOT 2015

CE QUI CHANGE

 

La loi de finances 2015 a modifié le barème de l’impôt 2015 (sur les revenus 2014) avec notamment :
- l’augmentation des tranches d’imposition de 0,5 %,
- la suppression de la tranche à 5,5 %,
- l’abaissement du seuil de la tranche à 14 %, de 11 991 euros à 9 690 euros.

 

BAREME DE L’IMPOT 2015  CE QUI CHANGE
Partager cet article
Repost0
Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR IMPOTS
27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 06:01

LES DETECTEURS DE FUMEE SONT-ILS EXIGES DANS VOTRE CONTRAT D’ASSURANCE ?

 

À partir du 9 mars 2015, les maisons et les appartements doivent être équipés d’au moins un détecteur de fumée. Mais l’assurance peut-elle vous sanctionner si vous n’êtes pas équipés ? Service-Public vous répond.

 

Si cet équipement est effectivement obligatoire, votre société d’assurance ne peut pas vous sanctionner en cas de non installation de détecteur. En revanche, elle peut vous inciter à le faire en vous accordant une réduction sur votre prime ou en vous faisant bénéficier d’offre pour vous en équiper.

 

En cas d’incendie, si vous avez souscrit une garantie contre ce risque, votre logement est donc couvert que vous ayez installé un détecteur ou pas.

 

À noter : si votre logement est équipé d’un détecteur de fumée, vous pouvez le déclarer à votre assureur.

Sur Service-public.fr

Installation de détecteur de fumée

Déclarer à son assureur l’installation de son détecteur de fumée

Assurance : indemnisation en cas d’incendie ou d’explosion

Pour en savoir plus

Arrêté du 5 février 2013 relatif au détecteur de fumée

Légifrance, le service public de la diffusion du droit

Partager cet article
Repost0
Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR ASSURANCE LOGEMENT SECURITE
26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 20:25

SNCF : LE PRIX DES AMENDES AUGMENTE

A PARTIR DU 2 MARS 2015

 

Dans le cadre du renforcement de la lutte contre la fraude, la SNCF a décidé d’augmenter les montants de ses amendes à partir du lundi 2 mars 2015.

Si le voyageur signale spontanément son irrégularité au contrôleur

  • pour les billets sans réservation obligatoire, il faudra payer :

7 euros + le prix du billet (trajets de moins de 150 km),

15 euros + le prix du billet (trajets de plus de 150 km).

  • pour les billets avec réservation obligatoire, il faudra payer :

15 euros + le prix du billet.

Si le voyageur en situation irrégulière est identifié au cours d’un contrôle

  • en cas de régularisation à bord et de paiement immédiat, il faudra régler :

50 euros (trajets de moins de 150 km),

50 euros + le prix du billet (trajets de plus de 150 km).

  • en cas de non-régularisation à bord et d’établissement d’un procès-verbal, il faudra régler sous 2 mois :

jusqu’à 88 euros (trajets de moins de 150 km),

jusqu’à 88 euros + le prix du billet (trajets de plus de 150 km).

au-delà de 2 mois, le dossier est transmis au Trésor public et un paiement de 375 euros est exigé.

 

À noter : en cas de fraude, vous risquez également de devoir descendre du train si vous ne régularisez pas tout de suite votre situation.

Sur Service-public.fr

Cartes de transport

Pour en savoir plus

Évolutions des montants de régularisation pour absence de billet à partir du 2 mars 2015 [format pdf, 557,83 Ko]

Société nationale des chemins de fer français (SNCF)

SNCF se mobilise pour faire reculer la fraude - Dossier de presse [fomat pdf, 2,31 Mo]

Société nationale des chemins de fer français (SNCF)

Partager cet article
Repost0
Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR TRANSPORT
26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 20:22

LOGEMENTS INDECENTS : QUAND LES ORGANISMES PAYEURS NE VERSENT PLUS LES ALLOCATIONS DE LOGEMENT

 

Un décret publié au Journal officiel du vendredi 20 février 2015 vise à inciter les propriétaires-bailleurs de logements indécents à effectuer les travaux nécessaires à leur mise en conformité. Il fixe :

  • les modalités de conservation de l’allocation de logement sociales (ALS) et familiales (ALF) par les organismes payeurs,
  • les cas dans lesquels un renouvellement du délai de conservation (6 mois, renouvelable une fois) peut être accordé,
  • les conditions d’habilitation des organismes chargés de constater la non-décence d’un logement,
  • et les cas de maintien des dérogations à la condition de décence du logement en question.

 

En effet, tant que les travaux ne sont pas effectués, les allocations ne sont donc pas versées au propriétaire. Durant cette période, le locataire n’est redevable que de la part de loyer résiduelle, c’est-à-dire celle non couverte par l’allocation. Si, à l’expiration d’un délai maximal de 18 mois (qui peut être prolongé encore de 12 mois supplémentaires dans certaines situations), les travaux n’ont pas été réalisés, l’allocation conservée est définitivement perdue pour le bailleur, qui ne peut alors demander au locataire le paiement de la part de loyer non perçue correspondant au montant de l’allocation conservée.

 

À noter : ce décret fait suite à la loi du 24 mars 2014 pour l’accès au logement et un urbanisme rénové (loi « Alur »).

Sur Service-public.fr

Allocation de logement familiale (ALF)

Allocation de logement sociale (ALS)

Pour en savoir plus

Décret relatif aux allocations de logement

Légifrance, le service public de la diffusion du droit

Modalités de maintien et de conservation de l’allocation de logement (AL) par l’organisme payeur en cas de non-décence du logement

Agence nationale pour l’information sur le logement (Anil)

Partager cet article
Repost0
Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR LOGEMENT ALLOCATION
19 février 2015 4 19 /02 /février /2015 05:32

DETECTEUR DE FUMEE :

UN REPORT SOUS CONDITION !

L‘obligation d’installation de Détecteurs Autonomes Avertisseurs de Fumée dans les logements, est reportée, sous condition, au 1er janvier 2016.

Mais pas l’obligation d’achat !

Un amendement adopté dans le cadre de la loi Macron précise en effet que «les propriétaires ayant signé un contrat d’achat des détecteurs au plus tard au 8 mars 2015 sont réputés satisfaire l’obligation … à la condition que le détecteur de fumée  soit installé avant le 1er janvier 2016».

Cette décision est motivée par la rupture de stocks de produits et par l’impossibilité, pour les propriétaires-bailleurs, de respecter les délais prévus, confrontés « à une indisponibilité des détecteurs ou des entreprises d’installation ».

Comme aucune différentiation n’est faite entre propriétaires, tous les particuliers, en maison principale ou secondaire, seraient concernés par ce report.

Délai supplémentaire, mais prudence donc : à défaut d’avoir effectivement installé des détecteurs, vous devrez prouver soit l’achat, soit la commande du matériel ou de l’installation, effectués le 8 mars prochain au plus tard !

Rappel : c’est bien le propriétaire qui fournit et installe au moins un détecteur normalisé. Le locataire est responsable, lui, de l’entretien du dispositif (changer les piles, tester régulièrement l’appareil, voire le remplacer si nécessaire).

Pour les logements déjà occupés par un locataire en mars 2015, la loi Alur précise que le propriétaire pourra se contenter de fournir un détecteur à l’occupant ou, si ce dernier l’a déjà installé, de le rembourser.

Lors de la mise en location, en revanche, c’est au propriétaire de s’assurer du bon fonctionnement lors de l’état des lieux.

Respect des règles de l’art : pour éviter les déclenchements intempestifs, on est réputé l’installer aux endroits où va stagner la fumée, donc en hauteur, au milieu d’une pièce et si possible éloigné de la cuisine et de la salle de bains.

Pour les personnes mal entendantes, du matériel spécifique, est à envisager.

Assurance : l’occupant du logement doit notifier cette installation à son assureur de dommages d’incendie par la remise d’une attestation, à valeur déclarative et si possible accompagnée de la facture d’achat et/ou d’installation, pour prévenir d’éventuels litiges.

Exemple : Je soussigné … (nom, prénom de l’assuré), détenteur du contrat n° … atteste avoir installé un détecteur de fumée normalisé au … (adresse de l’assuré) conforme à la norme NF EN 14604.    

Mais au-delà des termes de la loi,

n’attendez pas plus longtemps pour préserver votre vie

et celle de vos proches !

Partager cet article
Repost0
Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR LOGEMENT SECURITE
12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 19:22

REMPLACEMENT DES VIEUX VEHICULES DIESEL : JUSQU’A 3 700 EUROS DE PRIME DE CONVERSION PREVUS

Dans le cadre de la feuille de route 2015 issue des travaux de la conférence environnementale, le ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie a présenté les montants des primes de conversion des vieux véhicules diesel en véhicules « propres ».

Cette prime qui doit être mise en place à partir du 1er avril 2015 est destinée aux particuliers possédant des véhicules diesel de plus de 13 ans. Son montant est de :

  • 3 700 euros en cas d’acquisition d’un véhicule électrique,
  • 2 500 euros en cas d’acquisition d’un véhicule hybride rechargeable.

Pour les ménages non imposables, une prime de 500 euros est également prévue en cas de remplacement d’un vieux véhicule diesel par un véhicule de « classe euro 6 » émettant moins de 110 grammes de dioxyde de carbone au kilomètre.

Le principe de cette prime exceptionnelle a été introduit dans le projet concernant la transition énergétique pour la croissance verte adopté en 1ère lecture par l’Assemblée nationale le 14 octobre 2014.

Sur Service-public.fr

Mesures antipollution

Pour en savoir plus

Jusqu’à 10 000 euros de prime pour la conversion des vieux véhicules diesel en véhicules propres

Ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie

Projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte

Vie-publique.fr

Partager cet article
Repost0
Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR AUTOMOBILE ADMINISTRATION
12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 19:20

COPROPRIETE : LES TRAVAUX DANS LES PARTIES PRIVATIVES NE SONT PAS TOTALEMENT LIBRES

Des travaux dans les parties privatives, même ne nécessitant pas l’autorisation de la copropriété, impliquent parfois d’en informer le syndic. C’est le cas lorsqu’ils ont un impact sur la vie des autres copropriétaires, du fait de l’utilisation des parties communes pour les réaliser. C’est que vient de rappeler la Cour de cassation.

Un copropriétaire avait entrepris de rénover plusieurs pièces de son appartement, avec remplacement de cloisons et de planchers. La copropriété lui reprochait d’avoir entrepris des travaux créant un péril imminent pour l’immeuble sans en avoir informé le syndicat et de faire obstacle aux droits des autres copropriétaires sur les parties communes en encombrant abusivement celles-ci (installation d’un monte-charge pour descendre les gravats ou monter les matériaux) en violation des dispositions du règlement de copropriété. Elle avait obtenu de la justice la suspension des travaux.

La Cour de cassation a considéré que ces travaux avaient nécessairement un impact sur la vie des autres copropriétaires et que la mesure de suspension était justifiée, à raison du non-respect du règlement de copropriété.

Il convient de rappeler que si les copropriétaires sont libres de réaliser des travaux dans leurs parties privatives sans avoir à solliciter l’autorisation du syndicat des copropriétaires, ils doivent toutefois le faire dans les limites fixées par le règlement de copropriété et à condition de ne porter atteinte ni aux droits des autres copropriétaires ni à la destination de l’immeuble.

Sur Service-public.fr

Pour quels travaux doit-on solliciter l’autorisation de la copropriété ?

Pour en savoir plus

Cour de cassation, Chambre civile 3, 27 janvier 2015, pourvoi n° 13-23.853

Légifrance, le service public de la diffusion du droit

Partager cet article
Repost0
Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR LOGEMENT TRAVAUX