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LES CAS GAGNES

PAR NOS ANTENNES

DANS LA RUBRIQUE
"DOSSIERS GAGNES"


LE COUP DE GUEULE DU CONSOMMATEUR

Vous désirez  exprimer votre colère aprés une arnaque ou un litige qui pourrait intéresser l'ensemble des consommateurs

Envoyer votre message sur la messagerie : indecosacgt17@gmail.com, nous le mettrons dans notre rubrique "le coup de gueule du consommateur"

19 décembre 2013 4 19 /12 /décembre /2013 18:54

STATIONNEMENT PAYANT :

 

LES COMMUNES POURRAIENT BIENTOT

 

FIXER LE MONTANT DES AMENDES

 

Dans le cadre de l’examen du projet de loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles, l’Assemblée nationale a voté, le 12 décembre 2013, une mesure qui pourrait permettre aux communes de fixer bientôt elles-mêmes le montant des amendes en cas de non-paiement d’un stationnement payant.

Ce « forfait de post-stationnement » serait applicable lorsque la redevance correspondant à la totalité de la période de stationnement ne serait pas réglée dès le début du stationnement (ou insuffisamment réglée). Son montant ne pourrait pas être supérieur au montant de la redevance due pour la durée maximale de stationnement payant autorisée, hors abonnements, selon les dispositions du barème tarifaire de paiement immédiat en vigueur dans la zone considérée.

Le projet de loi, présenté en Conseil des ministres le 10 avril 2013 par la ministre de la réforme de l’État, de la décentralisation et de la fonction publique, a été adopté en deuxième lecture par l’Assemblée nationale le 12 décembre 2013. Le texte doit maintenant passer en commission mixte paritaire avant son adoption définitive. Le Conseil constitutionnel peut ensuite être saisi. Enfin, le texte est promulgué par le Président de la République, la loi entrant alors en vigueur après sa publication au Journal officiel.

Pour en savoir plus

Projet de loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles

Assemblée nationale

Panorama de la loi

Vie-publique.fr

Quelles sont les étapes du vote d’une loi ?

Vie-publique.fr

Quand la loi entre-t-elle en vigueur ?

Vie-publique.fr

 

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR AMENDE ADMINISTRATION
17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 18:46

L'ASSEMBLEE NATIONALE

 

ADOPTE LE PROJET DE LOI

 

SUR LA CONSOMMMATION

 

Article : http://actu.orange.fr/une/l-assemblee-adopte-le-projet-de-loi-sur-la-consommation-afp_2727710.html

 

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR LOI HAMON
11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 05:36

LA PRIME DE DÉMÉNAGEMENT

 

DE LA CAISSE D'ALLOCATIONS FAMILIALES

 

A - BÉNÉFICIAIRES

Ce sont les familles avec au moins 3 enfants à charge qui changent de domicile et dont les revenus sont modestes.

Pour en bénéficier, la famille doit remplir 3 conditions:

ð    Elle doit déménager à l'occasion de la naissance du 3ème enfant (ou du 4è, 5è)

ð    Ce déménagement doit avoir lieu entre le 1er jour du 3ème mois de grossesse et le dernier jour du mois précédant le 2ème anniversaire du dernier enfant;

ð    Il faut avoir droit à l'aide personnalisée au logement(APL), ou à l'allocation de logement familial(ALF) pour le nouveau logement.

B - MONTANT

Le montant de la prime (jusqu'au 31 Mars 2014) est égal aux dépenses réellement engagées pour le déménagement, dans la limite de 969,10 € pour 3 enfants à charge (80,76€ par enfant en plus).

C - FORMALITÉS

Cette aide n'est accordée qu'au moment du déménagement. Il faut en faire la demande dans les 6 mois qui le suivent en fournissant à la Caisse d'Allocations Familiales (CAF), la facture (acquittée) du déménageur ou les justificatifs de vos frais.

 

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR DEMENAGEMENT
5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 14:44

 

MANIPULATION DES TAUX 

 

BRUXELLES INFLIGE UNE AMENDE RECORD

 

A CINQ BANQUES

  echos.JPG

Jeudi  5 Décembre 2013

 

Finance & Marchés La Commission européenne s'attaque aux pratiques d'ententes dans la finance

 

La Deutsche Bank et la Société Générale écopent de plus des deux tiers de l'amende record de 1,7 milliard d'euros.

D'autres enquêtes sont en cours sur des pratiques frauduleuses dans le monde de la finance.

 Les records sont faits pour être battus. Bruxelles a sanctionné hier six banques par la plus grosse amende jamais infligée pour une affaire de cartel et d'entente, un an après le précédent record. Le montant de 1,7 milliard d'euros que vont devoir payer Deutsche Bank, Société Générale, RBS, JP Morgan, Citigroup et le courtier RP Martin - qui ont manipulé pendant plusieurs années les taux interbancaires de l'Euribor et du Libor Yen - surpasse celui de 1,47 milliard, qui était tombé en décembre 2012 sur la tête de sept groupes de high-tech coupables d'une entente sur les prix de tubes cathodiques.

 

 

Ce montant inédit témoigne de la gravité d'une affaire qui a profondément abîmé l'image de la finance ces derniers mois. Il est également le signe d'une offensive d'un nouveau genre de la part de Bruxelles. « C'est la première fois que nous sanctionnons une entente dans le monde de la finance et des marchés », souligne une source européenne. Une première qui pourrait rapidement avoir des suites, puisque plusieurs autres enquêtes du même type sont dans les tuyaux de la Commission européenne (indices pétroliers, produits dérivés de taux d'intérêt libellés en francs suisses, ou encore marché des CDS). Joaquin Almunia, le commissaire à la Concurrence, a prévenu hier de « la détermination de la Commission à lutter contre ces cartels dans le secteur financier ».

 

Dénonciations

Il aura fallu, pour aboutir à cette première, deux ans d'enquête mais rien n'aurait pu être prouvé s'il n'y avait pas eu une « balance ». A l'origine, ce sont en effet Barclays pour l'entente sur le taux interbancaire en euro, l'Euribor, et UBS pour le Libor Yen qui sont venus dénoncer auprès de la Commission des cartels dont ils avaient largement profité. En vertu de la procédure de « clémence » européenne, qui protège les repentis, les deux banques ont échappé à toute amende. UBS a ainsi fait l'économie de 2,5 milliards d'euros et Barclays de 690 millions.

 

 

Grâce aux « tuyaux » de Barclays et UBS, les fonctionnaires européens ont pu mettre au jour une vaste stratégie de manipulation entre 2005 et 2008 pour l'Euribor et 2007 et 2010 pour le Libor Yen.

 

 

Les traders des banques incriminées s'entendaient pour fausser l'évolution de ces taux, à la hausse comme à la baisse, de façon à maximiser leurs profits sur les produits dérivés. Pour cela, ils s'entendaient avec les services de leurs établissements respectifs qui participaient aux « panels » sur lesquels sont basés le Libor et l'Euribor. La méthode : des échanges courts par e-mails ou par tchat instantané sur les consoles Bloomberg, où les traders disaient leurs besoins ou proposaient de rendre service au copain de la banque d'en face. « Un Euribor à 1 mois très bas si tu peux. » « J'ai vraiment besoin d'un Libor à 3 mois plus élevé en décembre. » « Je te retourne la faveur quand je peux » : les dialogues débusqués par Bruxelles - que « Les Echos » ont pu consulter - témoignent de l'esprit de corps qui régnait entre ces traders !

 

Des preuves accablantes

Ces preuves accablantes ont poussé les entreprises incriminées à collaborer, mais aussi à reconnaître leur responsabilité dans cette affaire. En échange, Bruxelles a consenti des réductions d'amende. Cela n'empêche pas une amende salée pour Deutsche Bank (725 millions d'euros pour les deux cartels) et Société Générale (446 millions pour l'entente sur l'Euribor), les deux banques les plus lourdement sanctionnées, devant RBS (391 millions). Il n'est en outre pas exclu que d'autres amendes suivent. L'enquête continue en effet sur l'Euribor autour du rôle de Crédit Agricole, HSBC et JP Morgan, qui ont refusé de coopérer.

 

 

 

 

 

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR BANQUE
4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 19:39

DEFENSEUR DES DROITS 

 

CE QU'IL PEUT FAIRE POUR VOUS 

 

Quand saisir le Défenseur des droits ? 

Son champ d'intervention est très vaste.

Le Défenseur des droits est né de la fusion du Médiateur de la République, du Défenseur des enfants, de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde), et de la Commission de déontologie de la sécurité (CNDS). Il est compétent pour traiter un litige entre un usager et l'administration ou un service public, un problème menaçant les droits d'un enfant, toute forme de discrimination (racisme, âgisme, sexisme....) ou le non respect des règles de bonne conduite par des personnes exerçant des activités de sécurité (administration pénitentiaire, police, gendarmerie, douanes, enquêteur privé...).

Comment le saisir ?

Tout particulier peut saisir le Défenseur des droits gratuitement. Vous pouvez le faire par courrier (7, rue St Florentin, 75409 Paris Cedex 08) en pensant à joindre à l'envoi les copies des pièces relatives à votre saisine.

Un formulaire est accessible sue leur site  defenseursdesdroits.fr.Vous pouvez aussi prendre rendez- vous avec l'un de ses délégués (coordonnées disponibles sur le site ou par téléphone au 09/69/39/00/00.

Pourquoi contacter un délégué?

A proximité de chez vous, le délégué consulte gratuitement en préfecture, mairie, maison de justice et du droit..... il peut vous dire immédiatement si votre dossier relève de la compétence du Défenseur, vous aider, vous aider à le monter et le lui transmettre.

En cas d'erreur d'aiguillage, il vous informera sur vos droits et vous orientera vers le bon interlocuteur.

Sans oublier d'en parler à votre association IN.DE.CO.SA.-C.G.T. (voir les permanences sur ce site).

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR MEDIATION
29 novembre 2013 5 29 /11 /novembre /2013 19:26

Réforme des retraites   

 

L’APF dénonce un grave recul social

 

pour les personnes en situation de handicap ! 

L’Association des paralysés de France (APF) est particulièrement inquiète et consternée suite à l’examen, en nouvelle lecture à l’Assemblée nationale, du projet de loi garantissant l'avenir et la justice du système de retraites. 

La partie relative aux droits des personnes en situation de handicap a été votée sous une forme identique à la première lecture, ne tenant pas compte des propositions d’amendements des associations. 

Certes cette réforme prévoit quelques avancées pour les personnes en situation de handicap et leur famille.

Toutefois, elle signe un grave recul pour les personnes en situation de handicap bénéficiaires de retraite anticipée !

En effet, le gouvernement a fait disparaître la possibilité de recourir au dispositif de retraite anticipée pour les personnes bénéficiaires de la reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH) !

Des arguments infondés, vraisemblablement en lien avec le coût futur estimé de cette mesure, ont été avancés afin de justifier ce recul inacceptable. Avec cette mesure, ce sont potentiellement 800 000 personnes qui seront privées de leur droit à une retraite anticipée !

Alors que ce projet de loi doit garantir la justice du système de retraites, l’APF constate une injustice intolérable !

Ainsi, l’association demande au gouvernement et aux parlementaires de retirer cette mesure inadmissible pour que ce projet de loi garantisse effectivement la justice du système de retraites !

 

Source :

Reflexe-Handicap.org : article du 22 novembre 2013

 

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR HANDICAP
25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 18:34

PAIEMENTS : 40.000 CLIENTS D'EDF VICTIMES

 

D'UN BUG INFORMATIQUE

 

EN CAUSE : LA MAITRISE DE LA MIGRATION

 

VERS LES NOUVELLES NORMES EUROPEENNES SEPA

 

VENDREDI 22 NOVEMBRE 2013

 

Travailler comme conseiller clientèle chez EDF n'est pas une sinécure en ce moment. Depuis quelque temps, cette profession subit les assauts téléphoniques de milliers de clients furieux de recevoir des lettres de relance comminatoires pour cause de facture d'électricité impayée, alors qu'ils ont opté pour le prélèvement automatique.

Les clients en question, au nombre de 41.300, selon nos informations, et résidant dans toute la France, auraient dû être automatiquement débités le 30 octobre. Mais suite à un bug informatique, EDF a envoyé aux banques des ordres de prélèvement mal conçus, et donc rejetés par ces dernières. Quelques jours plus tard, les clients d'EDF ont reçu un courrier type de relance leur signalant que la date limite de paiement de leur facture était dépassée, et les invitant à régulariser au plus vite en payant soit par Internet, soit par courrier via un virement TIP, soit par téléphone en communiquant à un conseiller clientèle les coordonnées de leur carte bancaire. Faute de quoi, ils risquaient une réduction ou une suspension de la fourniture d'électricité.

Excuses et explications

Les clients ayant choisi de régler par téléphone ont alors eu droit aux excuses du conseiller pour le désagrément occasionné, et surtout à des explications. Dans le cadre de la migration des opérations de virement et de prélèvement au nouveau standard européen Sepa, qui sera obligatoire le 1er février dans tous les pays de l'espace économique européen, les informaticiens d'EDF avaient, semble-t-il, commis une erreur rendant impossibles les prélèvements du 30 octobre. Par ailleurs, l'électricien était techniquement incapable de demander aux banques que soient représentés un autre jour les prélèvements non effectués. Du coup, le logiciel d'EDF qui traque les mauvais payeurs s'était automatiquement mis en route, envoyant les lettres types de relance.

Le client qui a régularisé sa situation au téléphone et par carte bancaire n'en a pas fini pour autant. Si sa carte est à paiement différé, il ne sera débité que le 29 novembre. D'ici là, le logiciel traquant les mauvais payeurs le considère toujours comme un individu peu recommandable. D'où l'envoi automatique d'une « dernière lettre de relance valant mise en demeure », au ton particulièrement menaçant.

Interrogée hier, la direction d'EDF promettait d'envoyer un courrier, cette fois d'excuse, aux clients concernés. Elle affirmait également que ce raté informatique n'est qu'indirectement lié à la migration en cours vers les nouvelles normes Sepa, « qui ne sont pas problématiques pour de nombreux clients ». Dont acte. Cette affaire est cependant révélatrice de l'état de préparation des entreprises à la migration Sepa. Si toutes les banques semblent prêtes pour la bascule du 1er février, en revanche 5 % à 6 % seulement des prélèvements sont conformes aux futures normes européennes. Le 15 octobre, le Comité national Sepa tirait la sonnette d'alarme, soulignant le retard pris par les PME et les TPE dans leur migration vers les nouveaux moyens de paiement. Le comité n'imaginait sans doute pas qu'une entreprise de la taille d'EDF se prendrait, elle aussi, les pieds dans le tapis...

 

Claude BARJONET

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR INTERNET ENERGIE
23 novembre 2013 6 23 /11 /novembre /2013 20:29

ZOOM SUR LES GARANTIES

 

PROTECTIONS JURIDIQUE S

 

Votre commande n’a jamais été livrée. Le garagiste n’a pas fait les réparations dans les règles de l’art ou encore le nouveau mur du voisin empiète sur votre propriété… Les conflits de la vie quotidienne ne manquent pas. Faire valoir ses droits n’est pas toujours simple, surtout s’il faut passer par un recours en justice. Les procédures sont souvent complexes et surtout coûteuses. Une assurance protection juridique peut aider à résoudre de nombreux litiges dans certaines limites.

 

Trois grands services : la plupart des contrats proposent une assistance juridique par téléphone qui permet d’obtenir un conseil avant d’engager la moindre démarche. Second service : l’accompagnement dans la recherche d’une solution amiable. Dans 80% des cas, la solution est trouvée. En cas d’échec, une partie des frais judiciaires et des honoraires seront pris en charge.

L’assuré choisi librement son avocat, mais il a la possibilité de demander à sa compagnie d’assurance de lui en proposer un.

Vous êtes déjà assuré ? Vous bénéficiez très certainement sans le savoir, d’une assurance de protection juridique. Elle est incluse ou en annexe à votre multirisque habitation, auto ou santé. C’est la partie « défense recours ». Malgré tout ses garanties se limitent aux litiges assurés par le contrat.

Pour bénéficier d’une protection plus large, il faut souscrire un contrat »spécifique » protection juridique. Il faut compter de 50 à 90 euros par an pour une couverture de base. Mais il faut débourser pas moins du double pour des garanties étendues. Pour ne pas se tromper, il est impératif de lire les conditions générales et en particulier la partie « exclusions », connaître ce qui n’est pas couvert est primordial pour faire le bon choix.

 

Les montants couverts. Pour évaluer un contrat de protection juridique, il faut tenir compte des niveaux de remboursement des frais de justice et des honoraires d’avocat. Dans tous les cas, ils ne permettent pas de couvrir les dépenses pour un dossier très complexe, ni de s’offrir les services d’un « ténor » du barreau (le reste est à la charge de l’assuré). Il est important de regarder également le plafond global d’indemnisation, généralement exprimé par litige ou parfois par an.

Enfin il faut faire attention au seuil minimal d’intervention. Si son montant est fixé à 200 euros et que l’affaire porte sur un petit litige de 100 euros, la protection juridique ne fonctionne pas.

 

Prendre garde au délai de carence. De nombreux contrats prévoient une période durant laquelle la garantie ne jouera pas. Elle est le plus souvent comprise entre un mois et deux ans à compter de la date de souscription. Selon les compagnies, ce délai peut s’appliquer à l’intégralité des risques couverts prévus au contrat ou seulement à certains litiges (le plus souvent pour le divorce ou la construction).

 

Arnaud FAUCON

 

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23 novembre 2013 6 23 /11 /novembre /2013 19:42

SOLDES D’HIVER 2014 : LES DATES

 

En règle générale, les soldes d’hiver 2014 commencent mercredi 8 janvier 2014 à 8 heures du matin. Ils se terminent 5 semaines plus tard, le mardi 11 février 2014.

 

Pour rappel, selon l’article D 310-15-2 du code de commerce, les soldes d’hiver débutent le 2e mercredi du mois de janvier, cette date étant avancée au 1er mercredi du mois de janvier lorsque le 2e mercredi intervient après le 12 du mois. L’annexe de l’article D 310-15-3 du code de commerce fixe des dates dérogatoires pour notamment certains départements frontaliers. En Meurthe-et-Moselle, Meuse, Moselle et Vosges, les prochaines périodes de soldes d’hiver sont du jeudi 2 janvier au mercredi 5 février 2014.

 

La loi de modernisation de l’économie du 5 août 2008 a raccourci d’une semaine chaque période des soldes fixes : 5 semaines en hiver et 5 semaines en été. Des dérogations sont prévues pour certaines zones touristiques ou frontalières. Chaque commerçant peut proposer par ailleurs 2 semaines supplémentaires de soldes libres par an ainsi que des opérations de déstockage toute l’année. Le commerçant choisit 2 semaines consécutives ou pas. Les périodes de soldes libres doivent néanmoins s’achever 1 mois avant le début des soldes fixes.

Pour en savoir plus

Code de commerce : articles R 310-15 et suivants

Légifrance, le service public de la diffusion du droit

Dates des soldes

Service-public.fr professionnels et entreprises

Réglementation et dates des soldes

Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF)

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Published by indecosa-cgt-17 - dans INFORMATIONS CONSOMMATEUR COMMERCE
23 novembre 2013 6 23 /11 /novembre /2013 19:35

ASSURANCE DEGAT DES EAUX :

 

QUE FAUT-IL SAVOIR ?

 

Fuite sur une canalisation, infiltrations par la toiture, robinet mal fermé, baignoire qui déborde... Que faire ? L’Institut national de la consommation (INC) apporte ses réponses sur l’assurance dégât des eaux avec une fiche pratique récemment mise à jour.

Cette fiche précise d’abord ce que couvre l’assurance dégât des eaux qui est incluse aujourd’hui dans pratiquement tous les contrats multirisques habitation (événements garantis, dommages exclus, préjudices indemnisés, cas particulier de la prise en charge des frais de recherche de fuite et de perte d’eau). Elle détaille ensuite tout ce qu’il faut faire en cas de sinistre :

·        mesures d’urgence (coupure de l’arrivée de l’eau au niveau du compteur, appel éventuel des sapeurs-pompiers...),

·        réparation d’urgence (en évitant néanmoins d’avoir recours aux entreprises de dépannage multiservices d’urgence, votre contrat d’assurance prévoyant peut-être une prise en charge totale ou partielle des frais),

·        déclaration du sinistre (délai à respecter, constat...),

·        évaluation des dommages (expertise),

·        indemnisation.

Enfin, l’INC revient sur les cas des personnes n’ayant pas d’assurance dégât des eaux et sur ce qu’elles peuvent faire en tant que locataire ou copropriétaire.

Pour en savoir plus

L’assurance dégât des eaux

Institut national de la consommation (INC)

Les dommages causés par le gel

Institut national de la consommation (INC)

L’assurance des tempêtes et catastrophes naturelles [format pdf, 174,96 Ko]

Institut national de la consommation (INC)

Assurance habitation

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