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LES CAS GAGNES

PAR NOS ANTENNES

DANS LA RUBRIQUE
"DOSSIERS GAGNES"


LE COUP DE GUEULE DU CONSOMMATEUR

Vous désirez  exprimer votre colère aprés une arnaque ou un litige qui pourrait intéresser l'ensemble des consommateurs

Envoyer votre message sur la messagerie : indecosacgt17@gmail.com, nous le mettrons dans notre rubrique "le coup de gueule du consommateur"

22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 18:11

INDECOSA CGT 17 SOUTIENT LES

 

EMPLOYES DE LA CAF EN GREVE

Venez soutenir le personnel de la CAF de Charente Maritime

chaque vendredi de 14h à 15h

Numériser0016

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14 octobre 2012 7 14 /10 /octobre /2012 10:40

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14 octobre 2012 7 14 /10 /octobre /2012 10:30

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 16:00

 

indecosacgt nationalLOGEMENT SOCIAL :

 

DES MESURES INSUFFISANTES

 

A ENRAYER LA CRISE

 

 

 

9 millions de personnes vivant en France sous le seuil de pauvreté.

700.000 personnes sans domicile personnel ; 100.000 personnes à la rue dont un nombre croissant de travailleurs pauvres.

10 millions de personnes en situation de fragilité de logement (surpeuplement, impayés de loyer, hébergement chez des tiers...) dont 3,5 millions de très mal logés.

Près de 1.500.000 demandes de logement HLM non satisfaites.

50.000 ménages reconnus prioritaires au titre du droit au logement opposable (DAL0) non relogés.

500.000 personnes ayant dû renoncer à un emploi en raison des dépenses de logement. Premier poste budgétaire des ménages représentant en moyenne près de 30 % du revenu.

 

C’est dire si le logement est un objet de préoccupation et de fortes attentes de nos concitoyens. C’est dire aussi que la crise du logement est tout à la fois : sociale, sociétale, économique, environnementale. C’est dire encore qu’il y a urgence ! 

 

Encadrement des loyers de relocation dans 38 agglomérations, mobilisation du foncier public de l’État, renforcement des obligations des communes en matière de production de logement social, future loi d’orientation sur les rapports "propriétaires-locataires", ..., le gouvernement prétend rompre avec les politiques passées de marchandisation et de financiarisation du Logement !

 

Produire les 150.000 logements sociaux par an dont la France a besoin demande une ambition plus forte et mieux affirmée.

 

Outre l'intervention de tous les acteurs (Hlm, Action Logement, Collectivités Locales, Caisse des Dépôts et Consignations, ...), le financement de ce vaste plan exige de réorienter les avantages fiscaux dont bénéficie le privé en faveur de l'aide aux bailleurs sociaux pour la construction de logements ainsi que de réorienter progressivement l'aide à la personne vers l'aide à la pierre qui permettrait de baisser directement d'un tiers le montant du loyer des nouvelles constructions. Réformer le livret A, en doubler au plus vite le plafond pour mobiliser davantage d'épargne garantie vers les organismes Hlm et la production de logements sociaux est dans ce contexte une nécessité.

Cela ne peut donc passer par la création d'une nouvelle niche fiscale en matière d'investissement locatif, coûteuse à l’État et favorisant les plus hauts revenus. La poursuite de la politique de défiscalisation par un dispositif DUFLOT venant succéder aux Périssol, De Robien, Scellier et consorts n'est pas acceptable, même s'il est moins avantageux fiscalement et plus social.

 

La Cgt et son Association de Défense des Consommateurs INDECOSA-C.G.T. demandent, pour une véritable application de la loi SRU, l'extension de l'obligation de logements sociaux à l'ensemble des villes et de réelles contraintes pour les maires contrevenants. Au- delà de la première liste des sites disponibles mis à cession des collectivités territoriales et des bailleurs sociaux, l’État doit s'engager, pour préparer l'avenir, à une politique foncière garantissant la disponibilité durable des terrains à bâtir pour pouvoir se substituer à des collectivités défaillantes, sans que celles-ci ne se désengagent de leurs obligations, sous peine de sanctions.

 

La conception des programmes de construction, leur définition, leur suivi, doivent associer les citoyens et les organisations syndicales. Cette concertation est à inscrire dans le cadre d'une politique de la ville favorisant le développement des quartiers par l'implantation de services publics afin de répondre aux besoins tout en évitant les phénomènes de ghettoïsation.

 

Baisser le coût du loyer plus les charges exige un dispositif d'encadrement des loyers s'appuyant sur les pratiques des pays européens (Allemagne, Pays-Bas, Suisse, Suède). Les loyers dans le secteur du logement social doivent servir de référentiel à ce dispositif, à partir d'un observatoire public des loyers avec pour corollaire une commission de conciliation au rôle affirmé et élargi.

 

Pour la CGT et son Association de Défense des Consommateurs INDECOSA-C.G.T., résorber la crise du logement, faire baisser durablement les loyers, relancer l'activité économique par les emplois directs et induits, oblige à des politiques publiques ambitieuses, contraires aux entraves qu'imposerait le traité européen. 

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 15:53

indecosacgt nationalCONGRES CGT HLM

 

DU 25 AU 27 SEPTEMBRE 2012

 

Compte-rendu par Claude CHANEL  

 

 

HIS...TO...RIQUE !

 

OUI ! C'est bien HISTORIQUE : pas le congrès des HLM par lui-même, même si la présence d'un 1er Ministre ne s'était pas vue depuis quelques décennies.

En effet, Jean-Marc AYRAULT a ouvert le congrès par l'apport de nouvelles plutôt intéressantes pour le mouvement HLM.

 

Mais ce qui est plus important dans l'histoire d'INDECOSA-CGT, c'est d'avoir pu, enfin, suis-je tenté de dire, réussir le rassemblement à l'UD CGT de Rennes de 25 camarades : élus INDECOSA-CGT et désignés par les UD aux CA des OPH – Secrétaire Général de l'UD-CGT de Rennes – Responsable Régional de la NVO et surtout, SURTOUT, présence de la Confédération par le responsable politique du Collectif Confédéral Logement, Fabrice ANGEI, entouré de quelques collaborateurs assidus de ce collectif.

 

HIS...TO...RIQUE, aussi, la diffusion à l'entrée du congrès le 1er jour, d'un recto verso au logo conjoint de la CGT et d'INDECOSA-CGT, dont le projet initial confédéral, amendé par quelques camarades de la commission logement d'INDECOSA-CGT nationale, a été validé par le Bureau Confédéral !

Ce premier aboutissement HIS...TO...RIQUE, non je ne radote pas, ce premier aboutissement, car tout laisse penser qu'il y en aura d'autres, ne s'est pas fait d'un coup de baguette magique. Il est le fruit d'un intense travail collectif de la commission logement d'INDECOSA-CGT nationale, ainsi que du travail politique de Jean-Raymond MURCIA que j'ai, en son temps convaincu de m'accompagner au Collectif Confédéral Logement dont j'avais reçu mandat, là aussi, en son temps, de notre CA.

 

Je sais qu'à la CGT on n'aime pas personnaliser, mais j'estime qu'un chat doit être appelé un chat, selon l'expression bien connue.

Et c'est bien aussi par une réunion décentralisée à Rennes de la Commission Logement d'INDECOSA-CGT que se sont constitués les prémices de cette action avec l'aval et la participation active du Secrétaire Général de l'UD de Rennes, consolidés par une deuxième rencontre de Jean-Raymond à l'UD de Rennes pour finaliser cette organisation. Cela a soulagé l'emploi du temps de Fabrice ANGEI qui, sinon, aurait dû s'y atteler.

 

Nul doute, pour moi, que si mandat du CA nous est reconduit dans cette commission logement d'INDECOSA-CGT nationale, d'autres fruits en seront recueillis et pourquoi pas, enfin, une reconnaissance officielle par la CGT avec tout ce que cela comporte, de la présence encouragée et généralisée d'INDECOSA-CGT dans les élections des représentants des locataires, dès les prochaines prévues fin 2014 !

 

Après la réalisation des fiches logement par notre commission logement d'INDECOSA-CGT nationale, qui constitue quand même un résultat du travail collectif engagé par cette commission, même si elles n'ont pas eu la publicité escomptée logiquement lors de la dernière AG, puisque c'est bien au cours d'une AG que se rend compte l'activité de toutes les structures de l'organisation, c'est un nouveau résultat qui s'engrange par cette action HIS...TO...RIQUE, découlant de ce Congrès HLM, bien que nous ne soyons soumis à aucune obligation de résultat, ni à des objectifs.

 

Serons-nous capables de faire plus et mieux lors du prochain Congrès HLM de Lille des 24-25-26 septembre 2013 pour la visibilité et la crédibilité d'INDECOSA-CGT et de toute la CGT ?

Ce serait bon pour la CGT que nous nous fixions, au moins, ce premier objectif ! 

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 15:50

 

PROJET DE DESSERTE

 

FERROVIAIRE

 

 

« ORIGINE SURGERES -

 

 

"DESTINATION MARANS ».

 

Compte Rendu rencontre CDA du 21 septembre 2012

En mairie de LA ROCHELLE.

 

A notre demande le Vendredi 21 Septembre 2012 de 16h30 à 18h20 une délégation CGT : Jean Yves COUTURIER, Jean Noël VANDENBOSSCHE, Nicolas ROBERT, Gérard GOUET est reçue par Monsieur Denis LEROY Vice Président CDA de LA ROCHELLE, Conseiller Municipal de LA ROCHELLE - Mobilité et Transports.

 

Monsieur Camille BOURON service étude et prospective de la CDA LA ROCHELLE chargé de mission participait à cette rencontre.

 

L’objet de notre demande est en particulier le  projet de desserte ferroviaire « Origine SURGERES - Destination MARANS ».

 

En effet lors d’une réunion d’échange organisée le 10 juin 2011 sous l’égide de la Région POITOU-CHARENTES, il a été présenté les conclusions d’une étude réalisée par le cabinet « INGEROP » concernant la desserte périurbaine de LA ROCHELLE.

Lors de ce comité de pilotage –Phase 2- plusieurs scénarios de desserte ont été évoqués.

Le projet de desserte TER « Origine SURGERES et Terminus MARANS » répertorié « Scénario 2 » n’a pas manqué de nous interroger et nous souhaitions en savoir plus et intervenir dans les choix à venir.

 

Ce projet de desserte a été également évoqué lors du comité de ligne LA ROCHELLE-POITIERS du 23 mai 2012.

 

Nous disons :

« Dans ce projet,  nous apprécions qu’un regard soit porté sur la desserte Nord de LA ROCHELLE.

Par contre, il semble qu’il y ait peu de flux de voyageurs entre ces deux villes (MARANS et SURGERES) ce qui nous amène à nous interroger sur cette desserte « Origine-Destination » !

 

Tout d’abord, limiter ce projet de desserte à la ville de MARANS nous semble être restrictif sachant qu’une grande partie des habitants de cette ville expriment des besoins de déplacements au-delà, en direction de LUCON, LA ROCHE/YON et NANTES. Une relation vers le Sud-Vendée serait plus judicieuse.

 

Par conséquent, il nous apparaît plus souhaitable que la Région Poitou-Charentes engage une réflexion avec celle des Pays De La Loire pour regarder ensemble quels sont les moyens (mutualisés) à mettre en œuvre pour établir une desserte TER entre LA ROCHELLE et LA ROCHE/YON-NANTES.

Cela redonnerait vie à la ligne d’aménagement du territoire (NANTES-BORDEAUX) et contribuerait à pérenniser les infrastructures ferroviaires.

 

Côté SURGERES, nous faisons le même constat concernant le terminus dans cette gare.

Les besoins ne se limitent pas non plus à cette ville mais au minimum à celle de NIORT, en atteste la synthèse de la consultation que nous avons effectué auprès des usagers de la ligne LA ROCHELLE-NIORT-POITIERS pour le Service Annuel de décembre 2013.

Pour ce qui est des infrastructures à mettre en œuvre pour réaliser ce projet de desserte « Origine SURGERES-Destination MARANS », il est envisagé des installations type « terminus ».

Si nous comprenons bien, cela sous entend l’installation d’appareillage de voie type « aiguillage » à MARANS et SURGERES ainsi que l’aménagement ou construction d’un quai pour assurer la desserte.

 

Nous rappelons à Monsieur LEROY que la même méthode a été mise en œuvre lors de la création de la desserte Porte Dauphine (aiguillage, quai et buttoir). Cette configuration fait qu’aujourd’hui, le projet d’extension de desserte vers La Pallice n’est plus envisagé. Quid de l’extension de la desserte de ROCHEFORT jusqu’à TONNAY CHARENTE. Nous craignons les mêmes conséquences pour la desserte de MARANS.

De plus pour cette commune, une telle configuration des installations sur une voie d’évitement (un seul quai sur voie en impasse) écarterait la possibilité, pour les usagers, de pouvoir emprunter matin et soir, le TER qui relie les villes de LA ROCHELLE à NANTES et retour, quotidiennement.

 

Plus généralement, le projet de desserte « Origine SURGERES et Terminus MARANS » s’inscrit dans le principe d’une « mission dédiée ». Cela sous-entend l’utilisation de sillons et de matériels spécifiques localisés en périphérie Rochelaise. Nous n’y sommes pas favorables car cela occasionnerait des coûts supplémentaires en matière d’achat de matériel TER (estimé à 5 rames soit 35 M€), de sillons et handicaperait l’optimisation de l’utilisation du matériel TER actuel.

Nous préconisons d’utiliser les sillons existants entre POITIERS et LA ROCHELLE et de réfléchir à une desserte à la demi-heure aux heures de pointe de déplacements, matin et soir.

Pour ce qui est de la desserte Sud-Vendée, elle doit être organisée au minimum jusqu’à LA ROCHE/YON avec du matériel mutualisé avec les deux régions. De nouveaux points de desserte doivent être créés. Une priorité doit être portée pour la commune de VELLUIRE qui pourrait devenir un point de rabattement intéressant pour les habitants du pays de FONTENAY LE COMTE. Cela sous-entend qu’un regard soit porté sur la desserte routière entre ces villes.

 

Pour conclure, nous portons une appréciation positive pour un projet de desserte vers le nord de LA ROCHELLE.

Nous aimerions qu’une étude soit engagée pour une desserte entre NIORT et LA ROCHELLE, LA ROCHELLE et LA ROCHE/YON pour le Sud-Vendée, avec du matériel TER existant apte à 160 km/h afin d’optimiser au mieux les capacités du matériel roulant (matériel Bi mode, Bitension) et des lignes ferroviaires.

Nous ne sommes pas favorables à l’idée d’une desserte type « Tram Train » qui nécessiterait, l’achat de nouveaux matériels roulant ayant une capacité de transport inférieure aux TER régionaux et une vitesse (100 km/h) inférieure aux TER actuels (160 km/h) ainsi que l’achat de sillons ferroviaires supplémentaires. Ajoutons que si cette option était retenue, elle viendrait à réduire à néant l’objectif recherché par l’investissement et les travaux, de mise en Block Automatique Lumineux et d’augmentation de la vitesse à 200 km/h entre NIORT, SURGERES et LA ROCHELLE.

 

En préalable, Monsieur LEROY revenant d’un Conseil d’Administration du GART (Groupement des Autorités Responsables de Transport regroupant 263 autorités organisatrices de transports, dont 185 communautés d'agglomération et communautés urbaines, 59 conseils généraux et 19 conseils régionaux) nous fait part des difficultés économiques auxquelles sont confrontées nombre de collectivités locales et régionales, diminution importante du Versement Transport (VT) accentuées par la mise en place pour 2015 des nouvelles normes obligatoires concernant les Personnes à Mobilité Réduite (PMR).

Ces nouvelles normes risquent d’influer sur les décisions de maintien de certains points d’arrêt non gérés (exemple: PRIN DEYRANCON).

 

Concernant le projet de desserte « SURGERES-MARANS », il est remis à Monsieur LEROY un tract largement distribué sur la ville de MARANS reprenant une des propositions du collectif qui se mobilise pour rétablir une desserte ferroviaire pour la population marandaise.

 

Monsieur LEROY nous dit que la région POITOU CHARENTES qui porte le projet a jugé prioritaire la desserte de MARANS.

Une étude en cours sera présentée aux élus intéressés mi-octobre 2012 (dossier d’initialisation concernant les arrêts à Marans, La Jarrie, Aigrefeuille et Surgères).

Pour Marans, 3 projets ont été étudiés, un proposé par RFF et deux par le collectif de Marans.

Il y a une demande de la région pour la réouverture de la gare de MARANS.

Les décisions ne semblent pas être arrêtées sur les infrastructures techniques pour organiser la desserte.

La région n’a pas tranché pour la gare terminus à SURGERES. Elle cible les besoins de desserte de préfecture à préfecture soit entre LA ROCHELLE et NIORT.

 

Notre échange se porte ensuite sur la liaison NANTES-BORDEAUX.

 

En effet cette liaison, qui intéresse les régions Pays de La Loire, Poitou Charentes et Aquitaine, les départements de Charente Maritime et de Vendée ainsi que la Communauté D’Agglomération de LA ROCHELLE, a fait l’objet d’une étude demandée à l’état et RFF « étude INEXIA ».

 

Les résultats de cette étude diagnostique ont été présentés au comité de pilotage (dont les co-financeurs) le 5 mai 2011 ; depuis qu’en est-il de la préservation de cette ligne et de son développement ?

 

Notre délégation a relevé que l’étude prévoyait plusieurs scénarios dont une mise en voie unique de 30 ou de 70 Km  entre LA ROCHE SUR YON et LA ROCHELLE, ce sur quoi nous manifestons notre désaccord.

 

Pour Monsieur Denis LEROY, si les suites à donner se font attendre, c’est que les financements par les régions concernées posent problème (financement par les régions en fonction des kilomètres de ligne qui traverse leur région avec une répartition de l’ordre de 50% Pays de la Loire, 40% Poitou- Charentes, 10 % Aquitaine).

Au regard de cette répartition, la région Pays de La Loire ne semble pas être sensibilisée au delà de LA ROCHE SUR YON vers LA ROCHELLE-BORDEAUX.

Monsieur Denis LEROY s’interroge sur l’absence d’étude commerciale (pourtant demandée) et sur la mise en œuvre de l’étude RFF.

Lui même ni Le Maire Maxime BONO ne sont partisans de la mise en voie unique, une expression du Conseil Communautaire a d’ailleurs été prise en ce sens précise-t-il.

 

Nous relevons qu’au comité de ligne LA ROCHELLE-ROCHEFORT-SAINTES- BORDEAUX du 21 juin 2012, Madame CAZAUX de la Direction régionale RFFresponsable commerciale et gestion du réseau présente l'important programme de travaux prévu sur l’axe NANTES-BORDEAUX en 2013. Elle souligne qu'il s'agit notamment de redonner à la ligne entre LA ROCHELLE et LA ROCHE SUR YON les caractéristiques nécessaires à l'exploitation voyageurs. Compte tenu de l'impact très lourd (12 semaines de fermeture), un travail important d'organisation des chantiers a visé à les regrouper sur ces 12 semaines.

 

La presse fait état que «  pendant 15 semaines (en janvier, février et octobre 2013) des travaux de maintenance vont perturber le transport. Pendant 12 semaines, la ligne sera carrément fermée entre La Rochelle et Nantes, sauf le week-end. Cela entraînera en cascade la suppression de certains trains Intercité entre Nantes et Bordeaux. Les solutions de substitution (par car) restent on ne peut plus floues. L'État, en charge de trouver ces solutions, ne s'est toujours pas manifesté ».

 

Notre délégation s’étonne du non recours aux dispositions de voies uniques temporaires (VUT), qui permettent souvent de réaliser une partie importante de l'offre. Par ailleurs nous interpellons Monsieur LEROY sur le fait que l’on ne peut laisser les usagers dans l’expectative sur des transports de substitution.

 

Monsieur LEROY se renseigne.

Sur cette liaison NANTES-BORDEAUX il voit 2 étapes :

Une étude plus fine du potentiel,

La sollicitation du Conseil Général de la Vendée

Il souhaite savoir ce que veut la région des Pays de La Loire pour la liaison NANTES-BORDEAUX

 

Nous faisons remarquer qu’au delà de la situation des infrastructures la question des moyens matériels voyageurs et traction diesel est soulevée, ces derniers sont à bout de souffle (+ de 40 ans). Pour pérenniser l’offre de transport, l’acquisition de nouvelles rames voyageurs (Régiolis) ou de nouvelles locomotives (achat, location) doit être envisagée.

 

D’autres points sont rapidement abordés :

1)     Nous réaffirmons le besoin d’arrêts TGV à SAINT PIERRE DES CORPS pour la totalité de la desserte PARIS-LA ROCHELLE. Ceux-ci ont été supprimés depuis décembre 2011 et influent sur le taux d’occupation des TGV.

 

2)     Nous avons fait part du nombre croissant des ratés de correspondance TGV-TER à POITIERS pour la destination de LA ROCHELLE (retard TGV Inter secteur).

 

3)     Détournement FRET LA PALLICE par DOMPIERRE. Le déménagement des sièges du Crédit Agricole de NIORT et SAINTES sur LA ROCHELLE à CHAGNOLET près de DOMPIERRE est un élément nouveau pour la desserte MARANS-LA ROCHELLE notamment avec la création future d’un arrêt à DOMPIERRE (Il n’y a pas de gare à CHAGNOLET comme cela a pu être écrit !!).

La mise en double voie de la voie banalisée SAINT MAIXENT-LUSIGNAN sera prioritaire sur le détournement Fret.

 

4)     L’avenir de la halte d’AYTRE. La CDA constate qu’elle ne répond plus aux objectifs de départ (JO de 2012) et qu’elle se situe dans une zone désertifiée suite aux mesures liées à l’après « XINTIA ». Nous avons proposé qu’une réflexion soit engagée pour une correspondance par bus depuis cette halte vers les Minimes.

 

 

Monsieur LEROY ne néglige pas l’ensemble de ces questions.

Il précise la visibilité de la desserte TGV LA ROCHELLE- PARIS après 2017, date de fin des travaux de la ligne SEA, il y a un objectif d’un gain de temps de 16 minutes et souhaite une visibilité pour l’après 2017 (passage ou non des TGV par la gare de POITIERS) sachant que l’objectif est de réduire le temps de parcours.

Dans le cadre du pôle multimodal de la gare de La Rochelle,  la traversée des voies en gare s’effectuera par une passerelle avec ascenseur ; cette passerelle située en bout de gare coté NANTES donnera aussi accès au parking silo qui sera implanté sur un terrain actuellement à disposition du CE SNCF.

 

La délégation remet à Monsieur LEROY différents courriers de Monsieur Pascal BIRONNEAU, Conseiller Général du Canton de SAINT LOUP LAMAIRE (Deux Sèvres), qui interpellent le Ministre Délégué aux Transports et le Ministre du Redressement Productif sur la réouverture des lignes PARTENAY-POITIERS et THOUARS-PARTHENAY-NIORT.

Ces démarches sont motivées par un besoin de transport FRET (sable et convoiement de voitures pour l’entreprise ALSTHOM) entre la Charente Maritime et les Deux Sèvres, par un service à apporter aux populations des Deux-Sèvres mais aussi des départements voisins que sont le Maine et Loire et la Charente-Maritime qui retrouveraient une liaison directe absente depuis 1980 ainsi que par une nécessité de faire bénéficier aux axes concernés d’une véritable politique d’Aménagement du Territoire.

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 16:16

 

 

indecosacgt national INDEMNISATION DES VICTIMES

 

DU MEDIATOR :

 

Y’A T’IL DEUX POIDS,

 

DEUX MESURES ?

 

  Communiqué de presse

 

 

Montreuil, le 4 octobre 2012

 

 

Ce matin, bon nombre de victimes du « Mediator » doivent se sentir abandonnées par les pouvoirs publics après les premiers résultats des demandes d’indemnisation faites auprès de l’office national des accidents médicaux (ONIAM).

 

Ainsi, sur les 7467 dossiers déposés, seulement 20 ouvrent droit à une indemnité. INDECOSA-CGT est indignée par cette méthode qui consiste à « déresponsabilisé » au maximum les laboratoires SERVIER dans cette affaire.

 

Le plus choquant, c’est que nous soupçonnons, tout comme la pneumologue Irène Frachon, l’Etat de réduire au maximum le nombre d’ayants droit pour ne pas avancer l’argent. Il n’y a pas si longtemps, un Président de la République avait dit que la « santé » n’avait pas de prix.

Malgré tout, cette mauvaise nouvelle conforte la stratégie d’INDECOSA-CGT qui avait fait le choix de porter plainte au pénal. En effet, dès la création du fonds d’indemnisation, comment ne pas rester perplexe sur la composition de ces membres ? Sur les 7 membres, seulement 2 sont des experts scientifiques et pour couronner le tout un représente les intérêts du groupe pharmaceutique.

 

Le gouvernement doit vite réagir et prendre des mesures immédiates sans quoi le sentiment d’injustice et de colère va s’installer parmi les victimes et leurs familles.

 

 

Contact :

Arnaud Faucon au 06 08 10 62 42

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29 septembre 2012 6 29 /09 /septembre /2012 14:39

 

LOGEMENT SOCIAL


DES MESURES INSUFFISANTES

 

A ENRAYER LA CRISE

 


Communiqué commun CGT et INDECOSA-CGT

 

9 millions de personnes vivant en France sous le seuil de pauvreté.

700.000 personnes sans domicile personnel ;

100.000 personnes à la rue dont un nombre croissant de travailleurs pauvres.

10 millions de personnes en situation de fragilité de logement (surpeuplement, impayés de loyer, hébergement chez des tiers…) dont 3,5 millions de très mal logés.

Près de 1.500.000 demandes de logement HLM non satisfaites. 50.000 ménages reconnus prioritaires au titre du droit au logement opposable (DAL0) non relogés.

500.000 personnes ayant dû renoncer à un emploi en raison des dépenses de logement.

Premier poste budgétaire des ménages représentant en moyenne près de 30 % du revenu.

C’est dire si le logement est un objet de préoccupation et de fortes attentes de nos concitoyens.

C’est dire aussi que la crise du logement est tout à la fois : sociale, sociétale, économique, environnementale. C’est dire encore qu’il y a urgence !

Encadrement des loyers de relocation dans 38 agglomérations, mobilisation du foncier public de l’État, renforcement des obligations des communes en matière de production de logement social, future loi d’orientation sur les rapports "propriétaires-locataires", …, le gouvernement prétend rompre avec les politiques passées de marchandisation et de financiarisation du Logement !

Produire les 150.000 logements sociaux par an dont la France a besoin demande une ambition plus forte et mieux affirmée.

Outre l’intervention de tous les acteurs (Hlm, Action Logement, Collectivités Locales, Caisse des Dépôts et Consignations, …), le financement de ce vaste plan exige de réorienter les avantages fiscaux dont bénéficie le privé en faveur de l’aide aux bailleurs sociaux pour la construction de logements ainsi que de réorienter progressivement l’aide à la personne vers l’aide à la pierre qui permettrait de baisser directement d’un tiers le montant du loyer des nouvelles constructions. Réformer le livret A, en doubler au plus vite le plafond pour mobiliser davantage d’épargne garantie vers les organismes Hlm et la production de logements sociaux est dans ce contexte une nécessité.

Cela ne peut donc passer par la création d’une nouvelle niche fiscale en matière d’investissement locatif, coûteuse à l’État et favorisant les plus hauts revenus. La poursuite de la politique de défiscalisation par un dispositif Duflot venant succéder aux Périssol, De Robien, Scellier et consorts n’est pas acceptable, même s’il est moins avantageux fiscalement et plus social.

La Cgt et son Association de Défense des Consommateurs INDECOSA-CGT demandent, pour une véritable application de la loi SRU, l’extension de l’obligation de logements sociaux à l’ensemble des villes et de réelles contraintes pour les maires contrevenants. Au-delà de la première liste des sites disponibles mis à cession des collectivités territoriales et des bailleurs sociaux, l’État doit s’engager, pour préparer l’avenir, à une politique foncière garantissant la disponibilité durable des terrains à bâtir pour pouvoir se substituer à des collectivités défaillantes, sans que celles-ci ne se désengagent de leurs obligations, sous peine de sanctions.

La conception des programmes de construction, leur définition, leur suivi, doivent associer les citoyens et les organisations syndicales. Cette concertation est à inscrire dans le cadre d’une politique de la ville favorisant le développement des quartiers par l’implantation de services publics afin de répondre aux besoins tout en évitant les phénomènes de ghettoïsation.

Baisser le coût du loyer plus les charges exige un dispositif d’encadrement des loyers s’appuyant sur les pratiques des pays européens (Allemagne, Pays-Bas, Suisse, Suède). Les loyers dans le secteur du logement social doivent servir de référentiel à ce dispositif, à partir d’un observatoire public des loyers avec pour corollaire une commission de conciliation au rôle affirmé et élargi.

Pour la CGT et son Association de Défense des Consommateurs INDECOSA-CGT, résorber la crise du logement, faire baisser durablement les loyers, relancer l’activité économique par les emplois directs et induits, oblige à des politiques publiques ambitieuses, contraires aux entraves qu’imposerait le traité européen.

Montreuil, le 27 septembre 2012

 

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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 14:44

etiquetteCampagne

« Made in Cambodge : le salaire de la faim »

 

EMBARGO JUSQU’AU MARDI 18 SEPTEMBRE 7H

COMMUNIQUE DE PRESSE - lundi 17 septembre 2012

 

Au Cambodge, les ouvrier(e)s du textile s’évanouissent les multinationales de l’habillement restent de marbre DIE-IN le mardi 18 septembre à 12H à Paris devant un magasin H&M pour exiger des marques le paiement d’un salaire décent aux ouvrier(e)s cambodgien(ne)s de la confection 

Le Collectif Ethique sur l’étiquette et le réseau européen Clean clothes campaign lancent une campagne pour exiger des marques textiles se fournissant massivement au Cambodge – H&M, Levi’s, Gap, et Inditex – le versement sans délai d’un salaire vital aux ouvrier(e)s fabriquant leurs vêtements.

Pour la seule année 2011, plus de 2 400 travailleur(euse)s se sont évanoui(e)s dans les usines de confection, conséquence d’heures de travail excessives et d’une sous-alimentation chronique.

Au Cambodge, le salaire minimum est de 61$ ; il devrait être 4 fois supérieur pour permettre aux ouvrier(e)s de couvrir leurs besoins de base et ceux de leur famille : alimentation, santé, logement, transport, eau, etc., alors que le prix de ces postes de dépense augmente régulièrement.

En dépit de la gravité de la situation, les marques d’habillement continuent à ignorent ce coût humain de la mode. Ces évanouissements sont le résultat de politiques basées sur la recherche du moindre coût de production, dont les salaires de misère constituent le socle.

Interpellées depuis plusieurs années sur cette question par le Collectif ESE et la CCC, les marques n’ont de cesse d’avancer des excuses pour ne pas considérer une augmentation des salaires. Ni la crise économique ni les codes de conduite ne constituent des arguments valables lorsque les droits humains fondamentaux sont bafoués.

Le Collectif ESE invite les citoyen(ne)s à écrire aux marques concernées pour qu’elles soutiennent une augmentation immédiate des salaires dans la confection et qu’elles adoptent un plan d’action visant la mise en œuvre d’un salaire vital.

Pour lancer cette campagne, le Collectif Ethique sur l’étiquette vous donne rendez-vous

 

Mardi 18 septembre 2012 à 12h

Au niveau du 54 boulevard Haussman, Paris 9e, à proximité du magasin H&M pour un « die-in » symbolisant les évanouissements d’épuisement des travailleurs cambodgiens de la confection privés d’un salaire suffisant pour se nourrir correctement

 

Contact presse :

Nayla Ajaltouni : 01 42 03 82 25 – 06 62 53 34 56

n.ajaltouni@ethique-sur-etiquette.org

 

> Dossier de presse complet disponible le 18 septembre

> Photos, film documentaire, supports de fond disponibles le 18 septembre sur

www.ethique-sur-etiquette.org

 

Le collectif Ethique sur l'étiquette regroupe une vingtaine d’associations de solidarité internationale, de syndicats, de mouvements de consommateurs et d'éducation populaire. Il œuvre à la promotion du respect des droits de l'Homme au travail dans le monde. Il est la branche française de la Clean Clothes Campaign. www.ethique-sur-etiquette.org

 

 

La Clean Clothes Campaign est un réseau international d’organisations de la société civile et d’experts qui a pour objectif l’amélioration des conditions de travail et le renforcement des organisations de travailleurs dans le secteur de l’industrie du vêtement. www.cleanclothes.org

 

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19 septembre 2012 3 19 /09 /septembre /2012 18:42
indecosacgt nationalCommuniqué de presse

 

 

 


PLAN DE RESTRUCTURATION

 

A LA BANQUE DE FRANCE :

 

LE GOUVERNEMENT DOIT REAGIR !

 

Montreuil, le 19 septembre 2012

 

Alors que près de 2 millions de personnes sont surendettées dans notre pays et que les plans sociaux se multiplient, la Banque de France se prépare à faire des « coupes sombres » sur l’ensemble du territoire.

 

Ce sont près de 2000 emplois menacés et des accueils physiques pour les usagers qui seront supprimés ou nettement diminués. C’est ainsi 40 caisses fermées, 12 antennes infra-départementales rayées de la carte et 50 succursales réduites au maximum avec un effectif qui ne dépassera  pas 10 agents. Cette situation n’est pas nouvelle, par le passé une grande partie des succursales ont été sacrifiées.

 

Alors que va s’ouvrir prochainement la conférence sur  « la lutte contre la pauvreté », nous nous interrogeons sur la volonté des pouvoirs publics de prendre à bras le corps le problème de la lutte contre les exclusions. 14 ans après la promulgation de la loi du 29 juillet 1998, nul doute que si ce plan de restructuration était mené à son terme, cela sonnerait le glas d’une partie des commissions de surendettement. Inévitablement, cela augmenterait le délai de traitement des dossiers et mettrait encore plus les consommateurs en difficulté.

 

L’association de défense des consommateurs INDECOSA-CGT demande au Premier Ministre d’intervenir auprès du gouverneur de la Banque de France pour qu’il sursoit à ce plan et que s’ouvre une véritable concertation avec la société civile, les représentants du personnel et les élus locaux.

 

 

Contacts :

Arnaud Faucon au 06 08 10 62 42

Bernard Filliat au 06 01 63 23 77

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