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LES CAS GAGNES

PAR NOS ANTENNES

DANS LA RUBRIQUE
"DOSSIERS GAGNES"


LE COUP DE GUEULE DU CONSOMMATEUR

Vous désirez  exprimer votre colère aprés une arnaque ou un litige qui pourrait intéresser l'ensemble des consommateurs

Envoyer votre message sur la messagerie : indecosacgt17@gmail.com, nous le mettrons dans notre rubrique "le coup de gueule du consommateur"

26 juillet 2017 3 26 /07 /juillet /2017 15:19

COUP DE POUCE

POUR AMELIORER LE QUOTIDIEN

 

PEUT-ON BENEFICIER D’AIDES ET A QUI S’ADRESSR POUR AMENAGER SON LOGEMENT ET AINSI RENDRE LA VIE PUS CONFORTABLE ?

 

Le vieillissement a ses conséquences mais un logement inadapté aggrave la perte d’autonomie. Des meubles de cuisine trop bas  ou trop hauts, des WC inaccessibles, une baignoire, un lit trop bas, des marches dans l’entrée d’une maison qui limitent les sorties du logement…. Autant de petits détails qui sont des obstacles aux gestes du quotidien ou qui sont aussi des causes d’accidents domestiques et de dépendance d’autrui.

Alors qu’il suffit parfois de barres d’appui dans un couloir, de poignées d’accès dans les WC, d’un banc dans la douche ou tout simplement d’un nouvel éclairage, d’un changement de revêtement de sol ou d’un lit médicalisé et le quotidien en est rendu plus simple…

L’obstacle à tout cela est souvent financier. Les personnes âgées en perte d’autonomie ne veulent pas ou ne peuvent pas investir dans des frais d’accessibilité. Cependant, il existe plusieurs possibilités pour faire face à ces difficultés.

 

L’aide à l’amélioration de l’habitat (AAH)

La Caisse Nationale d’assurance vieillesse propose, aux retraités appartenant à son régime, une aide pour l’amélioration de l’habitat. Elle finance des travaux d’amélioration (sécurité, confort, salubrité, aménagement pour personne handicapée). Cette aide s’adresse à toute personne retraitée résidant en France et bénéficiant d’une pension de retraite versée par la CNAV ou une pension de réversion de la Sécurité Sociale. Le bénéficiaire peut-être propriétaire, locataire, occupant à titre gratuit ou usufruitier. Cette aide est soumise à conditions de ressources.

 

La subvention de l’Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat (ANAH)

            Cet organisme s’attache principalement à lutter contre les problèmes de logement dont l’adaptation de celui-ci pour les personnes en perte d’autonomie. Elle est rattachée, localement, à la Direction Départementale des Territoires (DDT). Dans le cas d’une personne en perte d’autonomie, l’ANAH peut subventionner entre 35 à 50% du montant des travaux (sous conditions de ressources et dans la limite de 40 000€ par logement). Il faut néanmoins fournir un justificatif de handicap ou une perte d’autonomie ainsi qu’un document prouvant l’adéquation des travaux aux besoins de la personne.

 

L’Aide Pour l’Autonomie (APA)

C’est une aide départementale octroyée après analyse du dossier par la Sécurité Sociale et avec l’accord du président du Conseil Départemental. Elle permet, en outre, de financier du matériel médicalisé  (fauteuil roulant, lit médicalisé, canne, déambulateur….). les conditions pour être éligible à l’APA sont d’avoir plus de 60 ans, résider en France avec un logement fixe et être catégorisé entre les GIR 1 et 4 (moyennement dépendant à très dépendant).

 

Le Plan d’Action Personnalisé (PAP)

Ce plan d’action vise à répondre aux besoins des personnes âgées en trouvant des solutions personnalisées pour chacun. Pour pouvoir en bénéficier, il faut avoir plus de 70 ans et être classé en GIR 5 ou 6 ou présenter une invalidité. Cette aide est soumise à conditions de ressources. Si la demande est éligible, la visite d’un évaluateur déterminera les besoins et établira le plan d’action comportant les prestations d’aides à domicile ou le matériel nécessaire à l’adaptation du logement.

 

Et les CLIC dans tout cela ?

Dans tous les cas, il existe les CLIC, Centres Locaux d’Information et de Coordination gérontologique. Ces points d’information locaux ont une mission d’accueil, d’écoute, d’information, de conseil et de soutien aux personnes âgées et à leurs familles. Ils ont pour objectif de faciliter l’accès aux droits pour tous les retraités et personnes âgées, de manière à améliorer leur vie quotidienne, d’apporter tous les renseignements nécessaires pour faire face à une situation de perte d’autonomie.

 

Arnaud FAUCON

 

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18 juillet 2017 2 18 /07 /juillet /2017 18:06

CREDITS :

A QUOI SERT LE TAUX DE L'USURE ?

12/07/2017

Le taux de l’usure correspond au taux maximum légal que les établissements de crédit sont autorisés à pratiquer lorsqu’ils accordent un crédit. Ce taux varie en fonction du type de prêts. Il est fixé à la fin de chaque trimestre pour le trimestre suivant par la Banque de France et publié au Journal officiel. Retour sur ces seuils qui visent à protéger l’emprunteur d’éventuels abus.

 

https://www.economie.gouv.fr/files/styles/articles_vous_orienter/public/fotolia-assurance-910.jpg?itok=mmQ1lQG4

 

Qu’est-ce que le taux de l’usure ?

Le taux (ou le seuil) de l'usure est le taux annuel effectif global (TAEG, anciennement TEG) maximal auquel un prêt peut être accordé. Un prêt est considéré comme usuraire lorsqu’il est consenti à un TAEG qui excède du tiers le taux effectif moyen pratiqué au cours du trimestre précédent.

Selon l'article L314-6 du Code de la consommation : « Constitue un prêt usuraire tout prêt conventionnel consenti à un taux effectif global qui excède, au moment où il est consenti, de plus du tiers, le taux effectif moyen pratiqué au cours du trimestre précédent par les établissements de crédit et les sociétés de financement pour des opérations de même nature comportant des risques analogues ».

Le TAEG est le taux auquel on se réfère pour apprécier si une offre de crédit dépasse le seuil usuraire. Il comprend :

  • le taux d'intérêt de base (ou taux nominatif),
  • les frais, commissions et rémunérations diverses (frais d'inscription, frais de dossier, par exemple),
  • et éventuellement des primes d'assurance, lorsqu'une assurance obligatoire est souscrite simultanément auprès de l'établissement prêteur.

L’usure est un délit passible d’un emprisonnement de deux ans et/ou d'une peine d'amende de 45 000 euros.

Mise à jour : le TAEG remplace le TEG

Le «taux annuel effectif global» (TAEG) remplace le «taux effectif global» (TEG). Le TAEG concerne à la fois les crédits à la cosommation et les crédits immobiliers. Il comprend  désormais :

  • le taux d'intérêt de base (ou taux nominatif)
  • les frais de dossier ;
  • les frais payés ou dus à des intermédiaires intervenus de quelque manière que ce soit dans l'octroi du prêt ;
  • les coûts d'assurance et de garanties obligatoires ;
  • les frais d'ouverture et de tenue d'un compte donné, d'utilisation d'un moyen de paiement permettant d'effectuer à la fois des opérations et des prélèvements à partir de ce compte ainsi que les autres frais liés aux opérations de paiement ;
  • le coût de l'évaluation du bien immobilier, hors frais d'enregistrement liés au transfert de propriété du bien immobilier.

Lire aussi : Crédit : à quoi correspond le taux annuel effectif global (TAEG) ?Emprunts : quels sont les différents types de taux ?

Comment est-il calculé ?

La Banque de France fixe le taux de l'usure à partir des taux effectifs moyens pratiqués par les établissements de crédit augmentés d’un tiers. Les seuils de l’usure sont publiés au Journal officiel à la fin de chaque trimestre pour le trimestre suivant.

Ces seuils varient en fonction des catégories de prêts (crédit à la consommation, prêts à taux fixe ou variable, découvert en compte, crédit renouvelable...), du montant emprunté et de la durée.

Liste des différents seuils de l'usure [Direction générale du Trésor]

Exemple des crédits à la consommation

Crédits à la consommation : les taux de l'usure au 1er juillet 2017

Type de prêts

Taux effectif pratiqué au second
trimestre 2017 par les établissements de crédit

Seuil de l'usure applicable à compter du 1er juillet 2017

Prêts d'un montant inférieur ou égal à 3 000 euros

15,45 %

20,60 %

Prêts d'un montant supérieur à 3 000 euros et inférieur ou égal à 6 000 euros

9,84 %

13,12 %

Prêts d'un montant supérieur à 6 000 euros

4,80 %

6,40 %

 

À quoi sert le taux de l'usure ?

La fixation d'un taux de l'usure permet de protéger l'emprunteur contre des taux excessifs qui lui seraient proposés.

Des taux d'intérêt trop élevés pourraient placer l'emprunteur dans une situation financière difficile, et, à plus grande échelle, déstabiliser l'économie globale. Le taux de l'usure joue donc un rôle de régulateur.

Obligations légales liées à l’accord de prêt

Le crédit à la consommation est soumis à une stricte réglementation. Pour souscrire un prêt, des formalités doivent être respectés :

  • Une offre de contrat de crédit (dont les conditions doivent être maintenues durant 15 jours minimum) doit être remise à l’emprunteur en double exemplaire.
  • L’offre doit obligatoirement mentionner le taux annuel effectif global (TAEG), c’est-à-dire le coût total du crédit (intérêts, éventuels frais de dossier et/ou d’assurance…).
  • L’emprunteur doit disposer de 14 jours pour se rétracter après la signature du contrat de prêt (délai valable depuis le 1er mai 2011).
  • Le taux proposé ne doit pas être supérieur au taux de l'usure.

Lire aussi : Crédit immobilier : les informations préalables obligatoiresPrêt entre particuliers : quelques conseils de prudence

 

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18 juillet 2017 2 18 /07 /juillet /2017 18:04

VOYAGES ET LOCATIONS

DE VACANCES :

AVEC LA DGCCRF,

CONNAISSEZ VOS DROITS

05/07/2017

Pour voyager en toute sérénité, la direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) vous informe sur vos droits concernant les voyages et les locations à travers ses fiches pratiques.

 

https://www.economie.gouv.fr/files/styles/articles_vous_orienter/public/Fiches_vacances_voyage_DGCCRF.jpg?itok=w6HvInVM

Forfaits touristiques

Lorsque vous partez en vacances, vous pouvez décider d’acheter les différentes prestations  touristiques une par une : transport, hébergement, excursions… Mais vous pouvez opter pour un « forfait touristique » qui comprend un package de ces prestations. En achetant un forfait touristique, vous êtes protégés par une réglementation propre aux voyages. Quelles garanties s’offrent à vous en cas d’imprévu ?

>> Voir la fiche

Lire aussi : Séjour à l'hôtel : comprendre vos droits en 5 questions

 

Locations saisonnières

Vous souhaitez louer un bien immobilier durant vos vacances : quelles sont les informations préalables au contrat ?  Que doit-il contenir ? Quelles sont les règles applicables en matière d’arrhes, d’acomptes, de dépôt de garantie ou de caution ? Quels sont les droits et obligations du locataire ? Que faire en cas de litige ?

>> Voir la fiche

 

Voyages en avion

Quels sont vos droits avant et pendant le voyage ? Quelle est la liste des compagnies aériennes dangereuses ? Que faire en cas de refus d’embarquement ? D’annulation ou de retard ? De perte de bagages ? Quels droits pour les personnes handicapées ou à mobilité réduite ? Que faire en cas de litige ?

>> Voir la fiche

Lire aussi : Refus d’embarquement pour cause de surbooking : quels sont vos droits ? | Annulation d'un billet d'avion : quel remboursement pouvez-vous obtenir ?

 

Voyages en bateau / croisières

Lorsque le port d’embarquement ou celui de débarquement se situe au sein de l’Union européenne, les passagers sont protégés par sa règlementation. Quels sont vos droits avant et pendant le voyage ? Quels sont vos droits en cas d’interruption de voyage ? En cas de perte de vos bagages ? En cas d’accident ?

>> Voir la fiche

 

Locations de véhicules

Vous souhaitez louer un véhicule durant vos vacances : comment trouver la meilleure offre ? Quelles sont les assurances qui s’appliquent ? Quels sont vos droits durant la location ? Quelles sont les obligations du locataire ? Quelles démarches effectuer au retour du véhicule ?  Que faire en cas de litige ?

>> Voir la fiche

Lire aussi : Tous les conseils pour des vacances d’été réussies

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18 juillet 2017 2 18 /07 /juillet /2017 18:03

DECOUVERT BANCAIRE :

QUELS FRAIS PEUVENT

VOUS ETRE FACTURES ?

06/07/2017

Un compte bancaire doit par définition être créditeur, le découvert étant exceptionnel. Une dépense imprévue, une baisse de revenus... peut mettre le compte au rouge. Aussi les banques proposent des autorisations de découvert à leurs clients, sous certaines conditions. Elles facturent en contrepartie des agios. Retour sur ces frais bancaires.

 

https://www.economie.gouv.fr/files/styles/articles_vous_orienter/public/comptes-fotolia-550.png?itok=P6DOUhBY

 

Chaque banque possède sa propre politique en matière de découvert, de montants, de durée ou de taux. Les taux d'intérêt pratiqués varient d'une banque à l'autre, la dénomination et le montant des commissions également.

Comment obtenir une autorisation de découvert bancaire ?

Dans tous les cas, l'autorisation de découvert n'est pas automatique. Elle est à demander expressément à votre banque pour un montant, une durée et un taux à négocier.

  • lors de la signature de la convention de compte
  • par courrier adressé à l'agence où vous détenez votre compte

L'autorisation peut être ponctuelle ou à durée indéterminée.

Résilier une autorisation de découvert

Vous pouvez résilier une autorisation de découvert ou diminuer son montant ou sa durée à tout moment, par courrier librement rédigé et adressé à votre agence bancaire.

La banque peut également résilier une autorisation de découvert ou réviser à la baisse son montant ou sa durée, à la condition de respecter les deux conditions cumulatives suivantes :

  • respecter ses engagements écrits (dont ceux inscrits dans la convention de compte),
  • ne pas vous porter brutalement un préjudice important (en l'absence de faute de votre part) ni disproportionné (en cas de comportement fautif de votre part).

Lire aussi : Comparez gratuitement et simplement les tarifs bancaires

Combien coûte une autorisation de découvert bancaire ?

Même si vous restez dans votre découvert autorisé, la banque prélèvera à chaque utilisation de découvert des sommes rémunérant le service rendu, à savoir des agios qui comprennent les intérêts débiteurs, des frais divers et des commissions. Vous devez être informé du taux d'intérêt applicable avant l'utilisation du découvert autorisé.

Comme les taux d’intérêt sont souvent élevés, il est parfois plus intéressant de souscrire un crédit à la consommation dont le taux est beaucoup plus faible que de recourir à l'utilisation fréquente du découvert.

En savoir plus sur les agios

Agios forfaitaires

La plupart des établissements bancaires facture un minimum forfaitaire pour toute situation de découvert quel que soient son montant et sa durée.

Agios proportionnels

Les agios proportionnels sont des sommes calculées en fonction de la durée et du montant moyen de l'utilisation de découvert rapportés à un taux d'intérêt : le taux effectif global (TEG).

Lorsqu'ils leur sont supérieurs, les agios proportionnels se substituent aux agios forfaitaires.

Lire aussi : à quoi correspond le taux annuel effectif global (TAEG) ?

Quels sont les frais en cas de dépassement de découvert ?

Si le découvert du compte est supérieur à l'autorisation de découvert, la banque peut accepter d'enregistrer les opérations nouvelles au débit d'un compte. Mais cela constitue un incident de paiement qui entraîne souvent des frais supplémentaires et l'obligation de rééquilibrer le compte courant via la souscription d'un crédit par exemple.

Un taux majoré

Cette facturation prend la forme d'agios proportionnels calculés sur les sommes en dépassement rapportées à un TEG supérieur au TEG initialement convenu pour l'autorisation de découvert. Ce TEG majoré prend en compte les frais de forçage et autres commission d'intervention. Il ne peut être supérieur au taux de l'usure.

Lire aussi : à quoi sert le taux de l'usure ?

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18 juillet 2017 2 18 /07 /juillet /2017 18:01

SAVEZ-VOUS COMBIEN DE TEMPS

 

CONSERVER VOS PAPIERS PERSONNELS ?

21/06/2017

Quittances de loyer, contrat d’assurance, contrat de prêt immobilier, talons de chèques, jugement de divorce, factures d’électricité, bulletins de salaires... les documents de la vie quotidienne sont nombreux. Leur délai légal de conservation varie selon la nature du document. Quelques rappels des délais par type de documents.

 

https://www.economie.gouv.fr/files/styles/articles_vous_orienter/public/doc-xs550.jpg?itok=RevSZ6G0

 

La conservation des documents personnels a pour objectif de permettre de prouver l’existence d’un droit ou le respect d’une obligation. Les délais de conservation varient en fonction de la nature des pièces. Certains documents doivent être conservés à vie, d’autres ont des délais de conservation plus courts prévus par la réglementation.

Conservation des documents liés à votre situation familiale

Les documents liés aux questions familiales doivent la plupart du temps être conservés de façon permanente. C'est notamment le cas pour :

  • les actes d'état civil (copies intégrales et extraits),
  • les jugements de divorce ou jugements d'adoption,
  • les contrats de mariage (documents relatifs aux biens apportés ou acquis lors du mariage par donation ou legs),
  • les livrets de famille et diplômes.

Lire aussi : Entreprises, combien de temps devez-vous conserver vos documents ? 

Conservation des documents lié à votre assurance

En matière d’assurance, les quittances, avis d’échéance, courriers de résiliation doivent être conservés 2 ans à compter de la date du document, de même que le contrat d'assurance.

Les contrats d’assurance vie doivent être conservés 10 ans, par le bénéficiaire de l’assurance, dès qu’il a connaissance du contrat.

Lire aussi : Assurance, banque, commerce... : plus de 150 modèles de lettres pour régler vos litiges | Ce qu'il faut savoir sur l'assurance scolaire | Achat immobilier : pouvez-vous changer d’assurance emprunteur ? | Assurance habitation, auto, complémentaire santé : comment résilier son contrat ?

Conservation des factures

Les factures d’électricité et de gaz doivent être conservées 5 ans, de même que les factures d’eau.

Lire aussi : Des conseils pour réduire sa facture d’électricitéDécouvert bancaire : quels frais peuvent vous être facturés ?

Conservation des documents liés à votre logement

Les preuves du paiement des charges de copropriété, correspondances avec le syndic, procès-verbaux des assemblées générales de copropriété doivent être conservées 10 ans.

Les quittances de loyer, contrats de location, états des lieux doivent être conservés 3 ans après la durée de la location. Ces délais s’appliquent aux logements loués comme résidence principale, vides ou meublés.

Lire aussi : Logement étudiant : 5 conseils avant de signer

Conservation des documents liés à votre activité professionnelle

Les bulletins de salaire, contrat de travail et certificats de travail doivent être conservés jusqu’à la liquidation de la retraite. Les attestations d’Assedic ou Pôle emploi doivent être conservées jusqu’à l’obtention de l’allocation chômage. Ces documents sont également utiles dans le cadre du calcul des droits à la retraite.

Retrouver le détail des délais par thématiques (assurance, véhicule, banque, famille, scolarité, logement, impôts et taxes, travail, chômage, retraite, santé, décès) ainsi que les textes de référence sur le portail service-public.fr

Les modalités de numérisation des factures papier

L’arrêté du 22 mars 2017 [JORF du 30 mars 2017] fixe les modalités de numérisation des factures papier et les règles de conservation des factures numérisées.

Les contribuables -  assujettis à la taxe sur la valeur ajoutée - qui le souhaitent peuvent désormais numériser leurs factures papier dès l'envoi ou la réception de ces dernières et peuvent les conserver sous forme dématérialisée jusqu'à la fin de la période de conservation fiscale (six ans).

Cette mesure a pour objet de favoriser la dynamique de dématérialisation des process.

Elle permet en outre aux assujettis à la taxe sur la valeur ajoutée de réaliser des gains de productivité en ayant recours à un archivage dématérialisé moins onéreux qu'un archivage de documents papier.

L’arrêté du 22 mars 2017 prévoit également les modalités de numérisation des factures établies originairement sur support papier

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14 juillet 2017 5 14 /07 /juillet /2017 07:51

VOYAGE EN AVION :

CE QU'IL FAUT SAVOIR AVANT DE PARTIR

 

Publié le 11 juillet 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

 

 

Surréservation, bagage perdu, retardé ou abîmé, refus d'embarquement, vol annulé ou retardé, objets interdits dans les bagages en cabine... Avec la période des vacances estivales, Service-public.fr fait le point sur tout ce qu'il faut savoir avant de prendre l'avion.

Surréservation, bagage perdu, retardé ou abîmé, refus d'embarquement, vol annulé ou retardé, objets interdits dans les bagages en cabine... Avec la période des vacances estivales, Service-public.fr fait le point sur tout ce qu'il faut savoir avant de prendre l'avion.

Service-public.fr rappelle la réglementation en vigueur en matière de :

  • surréservation (légalité du surbooking, assistance et prise en charge, remboursement du billet, indemnisation forfaitaire) ;
  • bagage perdu, retardé ou abîmé (vols et bagages concernés, démarches à effectuer, montant de l'indemnité, réclamation en cas de refus d'indemnisation de la compagnie aérienne) ;
  • refus d'embarquement, vol annulé ou retardé (prise en charge, indemnisation) ;
  • objets interdits dans les bagages en cabine (rasoirs, restrictions sur les transports de liquides...).

  À noter :

Pour rappel, en cas d'annulation d'un vol par une compagnie aérienne, le règlement n° 261/2004 du 11 février 2004 prévoit qu« 'Il il incombe au transporteur aérien effectif de prouver qu'il a informé les passagers de l'annulation d'un vol ainsi que le délai dans lequel il l'a fait »  (article 5.4).

Le règlement ne prévoyant pas les détails, la Cour de Justice de l'Union Européenne (CJUE) a dû se prononcer sur ce point le 11 mai 2017.

Textes de référence

Règlement n°261/2004 du 11 février 2004 établissant des règles communes en matière d'indemnisation et d'assistance des passagers en cas de refus d'embarquement et d'annulation ou de retard important d'un vol

Cour de justice de l'Union européenne - Communiqué de presse n° 51/17 Luxembourg, le 11 mai 2017 Arrêt dans l'affaire C-302/16

Et aussi sur service-public.fr

Voyage en avion

Liste noire des compagnies aériennes interdites dans l'Union européenne : des changements récents ?

Pour en savoir plus

DGCCRF - Voyager en avion 

Ministère chargé de l'économie

INC – Annulation de vol aérien 

Institut national de la consommation (INC)

 

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14 juillet 2017 5 14 /07 /juillet /2017 07:20

L’INFORMATION SUR LES PRIX

POUR CERTAINS BIENS ET SERVICES

 

Date de publication : 13/07/2017 - Commerce/services

http://www.conso.net/sites/default/files/prix-3-252.jpg

Les prix de vente des biens et de fourniture de services sont par principe librement fixés par les professionnels. Le prix est un critère de choix parmi l’offre de marché, tout spécialement pour les achats sur Internet. C’est pourquoi, pour pouvoir faire jouer la concurrence, choisir en toute connaissance de cause, vous devez être informé sur les prix avant d’acheter, de conclure un contrat.

 

Cette fiche pratique de l’Institut national de la consommation (INC) vous informe sur les règles relatives à l’information sur les prix de certains produits ou services. Pour en savoir plus sur les règles générales sur l’information sur les prix, reportez-vous à la fiche pratique "L’information sur les prix : généralités".

 

1 - L’INFORMATION SUR LE PRIX DES PRODUITS

Certains prix doivent être affichés à l’unité de mesure 

Certains produits font l'objet de règles spécifiques

 

2 - L’INFORMATION SUR LE PRIX DES SERVICES

Certains services font l'objet de règles spécifiques

Le devis : un moyen pour choisir son prestataire de services

Les frais de livraison, d’installation et de mise en service : sont-ils inclus dans le prix ?

 

3 - LES SANCTIONS ET RECOURS

 

Fiche pratique J 105 - 2ème partie : http://www.conso.net/content/linformation-sur-les-prix-pour-certains-biens-et-services

 

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14 juillet 2017 5 14 /07 /juillet /2017 07:15

L'INFORMATION SUR LES PRIX :

GENERALITES

 

Date de publication : 13/07/2017 - Commerce/services

http://www.conso.net/sites/default/files/prix-2-252_0.jpg

Les prix de vente des biens et de fourniture de services sont par principe librement fixés par les professionnels. Le prix est un critère de choix parmi l’offre de marché, tout spécialement pour les achats sur Internet.

 

C’est pourquoi, pour pouvoir faire jouer la concurrence, choisir en toute connaissance de cause, vous devez être informé sur les prix avant d’acheter, de conclure un contrat.

 

Cette fiche pratique de l’Institut national de la consommation (INC) vous informe sur les règles relatives à la fixation des prix, à l’information des consommateurs et au paiement, tout en vous donnant les clés pour faire valoir vos droits si ces derniers ne sont pas respectés.

 

 

1 - LE NIVEAU DES PRIX

La libre fixation des prix

Les prix peuvent être encadrés

Les prix trop élevés peuvent-ils être contestés ?

Et les prix (trop) bas ?

La révision du prix

 

2 - L'INFORMATION SUR LES PRIX

Quelles obligations d'information sur le prix ?

Quels sont les moyens d'information sur le prix ?

Les annonces de réduction de prix sont-elles encadrées ?

3 - LE PAIEMENT DU PRIX

Le moment du paiement

Des acomptes et des arrhes

Les moyens de paiement

Doit-on me délivrer une note ou un ticket ?

Le prix annoncé n'est pas respecté

 

4 - LES SANCTIONS ET RECOURS

 

5 - PETIT LEXIQUE SUR LES PRIX 

Fiche pratique J 105 - 1ère partie : http://www.conso.net/content/linformation-sur-les-prix-generalites

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14 juillet 2017 5 14 /07 /juillet /2017 07:13
DON D'ORGANES :
VOUS AVEZ LE DROIT DE REFUSER

 

Depuis le 1er janvier 2017, chacun est présumé consentant au prélèvement d'organes après son décès. En cas d'opposition, une inscription sur le registre national automatisé des refus peut aujourd'hui être réalisée en ligne sur le site du Registre national des refus.

La loi de modernisation du système de santé du 26 janvier 2016 a posé le principe du consentement présumé de chacun au prélèvement d'organes et de tissus post-mortem, sauf si un refus de don a été exprimé de son vivant.

Aujourd'hui, l'opposition suppose une inscription sur le Registre national des refus qui peut être réalisée :

  • par une demande d'inscription auprès de l'Agence de biomédecine par papier libre ou par internet sur le site : registrenationaldesrefus.fr
  • par un document personnellement écrit, signé et daté confié à un proche (en cas d'impossibilité de réaliser soi-même cet écrit, le document peut être rédigé par un tiers dont le contenu devra être attesté par deux témoins).

Comme pour l'inscription au Registre national des refus réalisée par courrier, l'inscription en ligne nécessite la fourniture d'une copie de sa pièce d'identité. Le site internet permet à chacun de modifier son inscription au registre ainsi que de la supprimer, si on revient sur sa décision.

  À savoir :Si vous formulez oralement votre refus au prélèvement d'organes sans réaliser d'inscription sur le registre avant votre décès, il sera demandé à vos proches d'en préciser les circonstances et de signer une retranscription écrite auprès d'une équipe médicale. L'inscription sur le registre garantit donc le respect de votre opposition

Rappel : il n'appartient pas aux proches du défunt de décider du prélèvement d'organes et tissus.

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14 juillet 2017 5 14 /07 /juillet /2017 07:11

POINT SUR LES DIAGNOSTICS

IMMOBILIERS

A REALISER POUR METTRE

UN LOGEMENT EN LOCATION

 

Depuis le 1° juillet 2017 deux nouveaux diagnostics s’imposent aux bailleurs.

 

  1. diagnostics à fournir

 

- un état de l’installation intérieure de gaz et d’électricité, si celles-ci ont plus de 15 ans

Cette obligation  en vigueur  depuis le 1° juillet, concerne les appartements dont le permis de construire est antérieur au 1 er janvier 1975, et à partir du 1er janvier 2018 pour ceux construits après 1975 ainsi que pour les maisons individuelles.

 

-la performance énergétique du logement (DPE), validité=10 ans.

 

-la détection du plomb (CREP), validité= 6 ans (définitif en l’absence de traces de plomb).

 

-ainsi que l'état des risques naturels miniers et technologiques (ERNMT), validité = 6 mois.

 

La surface habitable, définie par l'article R 111-2 du Code de la construction et de l'habitation, doit aussi figurer dans le contrat de bail.

 

Le diagnostic amiante qui était prévu par la loi Alur du 24/03/14, n’est pas encore entré en vigueur faute de décret.

Une information sur le radon devait être communiquée à partir du 1er juillet dans les zones géographiques où ce gaz radioactif est présent (Bretagne, Corse, Massif central et Vosges), mais le décret d'application est toujours en attente de parution.

 

  1. réaliser les diagnostics

 

Les diagnostics doivent être établis par un professionnel certifié, en personne.

La loi autorise les propriétaires à renseigner sur certains diagnostics (ex :l’ERNMT à partir des informations figurant sur le site prim.net) ; ainsi que d’effectuer le mesurage de la surface habitable (mais il est conseillé de passer par un professionnel afin de limiter tout risque contentieux).

Le diagnostic de performance énergétique (DPE) doit figurer sur les annonces de mise en location.

Le propriétaire doit disposer d'un dossier complet pour la signature du bail.

 

3. conséquences d'un  diagnostic manquant ou erroné

 

Attention, si certains diagnostics sont manquants, le propriétaire ne pourra pas s’exonérer de la garantie de vices cachés.

Le locataire pourrait même obtenir des dommages et intérêts, voire la résiliation du bail, suivant le préjudice subi.

Par ex : si la surface du logement est inférieure d'au moins 5 % à celle annoncée, il a le droit de réclamer une diminution proportionnelle du loyer. A son tour le propriétaire pourra se retourner contre le professionnel qui a effectué le mesurage.

Si le résultat d’un audit a été délibérément falsifié, le locataire peut invoquer le dol et obtenir le dédommagement du préjudice ou la résiliation du contrat.

 

Textes de référence :

Art.L134-1 et ss. du code de la construction et de l’habitation

Art.L1334-5 et ss. du code de la santé publique

Art.L125-5 du code de l’environnement

Décrets numéros 2016-1104, et numéros 2016-1105 du 11 août 2016

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